Octobre: Ambroise Paré reçoit le baptême du feu en Piémont, au cours de la huitième guerre d'Italie et, après l'assaut du château de Veillane, il applique pour la première fois sur les plaies d'arquebuse «le pansement «digestif» qui lui servait pour traiter d'autres blessures, un mélange fait de jaune d'œuf, d'huile rosat et de térébenthine[1]».
Première édition, à Rome du traité d'Alfonso Ferri(it) (†) De ligni sancti multiplici medicina, et vini exhibitione[5].
Johann Dryander(de) (-) fait imprimer à Marbourg, par Eucharius Cervicornus, ses Anatomiae, l'un des principaux traités anatomiques de la Renaissance[6].
Jacqueline Vons, «Les «Anatomies» d'André Vésale (1514-1564). Introduction», dans Histoire de la santé, Bibliothèque interuniversitaire de santé, s. d. (lire en ligne).
Adolphe Burggraeve, Précis de l'histoire de l'anatomie, comprenant l'examen comparatif des ouvrages des principaux anatomistes anciens et modernes, Gand, Hoste, , VIII-504p. (lire en ligne), p.253-254.
(la) Johann Dryander, Anatomiae, hoc est corporis humani dissectionis pars prior, in qua singula quae ad caput spectant recensentur membra [etc.], Marbourg, Eucharius Cervicornus, , [72], 21 pl., in-4° (lire en ligne).