Août: après les ordonnances de Philippe le Bel en 1312 et de Charles le Sage, en février 1321, le roi Jean le Bon, rappelant et complètant les statuts des pharmaciens de Paris, leur prescrit «qu'aucun ne pourra exercer, s'il ne sait lire, dépenser et confire[2]».
Fondation de l'hôpital Saint-Jacques-du-Pont-du-Rhône à Genève, par le jurisconsulte Pierre du Pont[3].
Ouverture à Utrecht, principauté du Saint-Empire, de l'hôpital Sainte-Barbara, destiné aux pauvres et dont, dans la pratique, les soixante-dix lits seront occupés par des femmes[4].
Antoine Chéreau, «Recherches historiques et chronologiques sur l'état de la pharmacie en France, avant 1789», Bulletin des travaux de la Société de pharmacie de Paris, dansJournal de pharmacie et des sciences accessoires, vol.19, no3, , p.176 (lire en ligne).
Jean-Jacques Chaponnière et Louis Sordet, «Des hôpitaux de Genève avant la Réformation: Hôpital de Saint-Jacques-du-Pont-du-Rhône», dans Mémoires et documents, vol.3, Genève et Paris, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, , 472p. (lire en ligne), p.216.
(en) Koen Goudriaan, Anna Dlabačová (éd.) et Ad Tervoort (éd.), Piety in Practice and Print: Essays on the Late Medieval Religious Landscape, Hilversum, Verloren, , 352p. (ISBN978-90-8704-569-2, lire en ligne), «Utrecht», p.37 et 71, «Woudrichem», p.73 et 137, n.11.
Ernest Wickersheimer et Guy Beaujouan (éd.), Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Âge, vol.2, Genève, Droz, coll.«Hautes études médiévales et modernes» (no34/2), (1reéd. 1936) (ISBN978-2-600-04716-6, lire en ligne), «Richard Garot», p.700, «Robert Hébert», p.712, «Jourdain de Cantuaria», p.513.