Un testament évoque une communauté de lépreux à Herbet, au sud-est de Montferrand, en Auvergne, mais il ne sera fait mention explicite d'un lieu d'assistance, la léproserie Saint-Lazare, qu'en [3].
Première mention de l'hôpital de Solignac, au diocèse de Limoges, qui sera qualifié de léproserie en [4].
Vers 1195: Roger de Salerne (né vers ), chirurgien italien, auteur d'une importante Practica chirurgiae («Pratique de la chirurgie»), compilation de ses cours, rédigée dans les années par un de ses élèves, Gui d'Arezzo le Jeune, et plus connue sous le titre de Chirurgia magistri Rogerii («Chirurgie de maître Roger[11],[12]»).
Johan Picot, «Une chapelle de léproserie oubliée: Saint-Lazare d'Herbet, à Clermont-Ferrand», Revue de la Société française d'histoire des hôpitaux, no152 «Des loca religiosa: Les Léproseries organisées au Moyen Âge», , p.17 (lire en ligne).
Alfred Leroux, Inventaire-sommaire des archives hospitalières antérieures à 1790. Ville de Limoges, Limoges, impr. typo. D. Gély, impr. de la préfecture, 1884-1887 (lire en ligne), «Hôpitaux, léproseries et hospices dans l'ancien diocèse de Limoges», p.38.
Société typographique belge, Le Promeneur dans Bruxelles et dans ses environs, précédé d'une Histoire abrégée de la ville de Bruxelles, Bruxelles, Wahlen et Cie, , 172p. (lire en ligne), p.13.
Georges Tessier, «[compte rendu, référence: Paul Bonenfant, Cartulaire de l'hôpital Saint-Jean de Bruxelles (actes des XIIeetXIIIesiècles), Bruxelles, Palais des académies, 1953]», Bibliothèque de l'École des chartes, no1, , p.263-264 (lire en ligne).
Johan Picot, ««La Purge»: Une expertise juridico-médicale de la lèpre en Auvergne au Moyen Âge», Revue historique, vol.662, no2, , p.292-321 [§6, n.7 en ligne] (lire en ligne).