Étoile-sur-Rhône
commune française du département de la Drôme De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Étoile-sur-Rhône est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Étoile-sur-Rhône | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Valence Romans Agglo | ||||
Maire Mandat |
Françoise Chazal 2020-2026 |
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Code postal | 26800 | ||||
Code commune | 26124 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Etoiliens, Etoiliennes | ||||
Population municipale |
5 526 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 129 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 50′ 16″ nord, 4° 53′ 40″ est | ||||
Altitude | Min. 93 m Max. 241 m |
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Superficie | 42,79 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Valence (banlieue) |
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Aire d'attraction | Valence (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Loriol-sur-Drôme | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Ses habitants sont dénommés les Étoiliens et Étoiliennes.
La commune d'Étoile-sur-Rhône est située à 13 km au sud du centre-ville de Valence, préfecture du département de la Drôme.
La ville se situe également à 104 km de Grenoble et à 115 km de Lyon.
Étoile est un carrefour le long de la vallée du Rhône et mène, à l'est, vers la vallée de la Drôme (Crest) et le Diois (Die).
Soyons (Ardèche) Charmes-sur-Rhône (Ardèche) |
Portes-lès-Valence | Beauvallon Montéléger |
||
Saint-Georges-les-Bains (Ardèche) Beauchastel (Ardèche) |
N | Montmeyran | ||
O Étoile-sur-Rhône E | ||||
S | ||||
La Voulte-sur-Rhône (Ardèche) Livron-sur-Drôme |
Livron-sur-Drôme Montoison |
Montoison |
Sites particuliers :
En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 870 mm, avec 7,1 jours de précipitations en janvier et 5,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 904,5 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,7 | 1,8 | 4,5 | 7,1 | 10,9 | 14,3 | 16,3 | 15,9 | 12,6 | 9,8 | 5,4 | 2,5 | 8,6 |
Température moyenne (°C) | 4,9 | 5,9 | 9,6 | 12,6 | 16,5 | 20,4 | 22,7 | 22,4 | 18,3 | 14,2 | 8,8 | 5,5 | 13,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,1 | 9,9 | 14,7 | 18 | 22,1 | 26,5 | 29,2 | 28,9 | 24 | 18,5 | 12,3 | 8,5 | 18,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−13,2 11.01.10 |
−10,1 05.02.12 |
−10,4 02.03.05 |
−4,4 08.04.21 |
2,3 07.05.19 |
6 10.06.1987 |
8,4 18.07.00 |
7,4 30.08.1993 |
2,9 30.09.1995 |
−2,7 26.10.03 |
−5,9 23.11.1998 |
−8,4 30.12.05 |
−13,2 2010 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19,5 10.01.15 |
21,8 23.02.1990 |
26 25.03.1994 |
30,2 24.04.07 |
33,6 24.05.09 |
38,9 29.06.19 |
39,3 24.07.19 |
40,8 13.08.03 |
33,9 03.09.05 |
28,8 09.10.23 |
23,2 11.11.1995 |
20,6 18.12.1989 |
40,8 2003 |
Précipitations (mm) | 62,4 | 41,8 | 49,5 | 74,2 | 80,9 | 61,6 | 55,3 | 66,4 | 108,4 | 129,3 | 118,2 | 56,5 | 904,5 |
Située dans l'agglomération valentinoise, à proximité de quelques-uns des plus grands réseaux de communication du territoire, la commune d'Étoile-sur-Rhône permet un accès rapide et facile aux grands marchés rhônalpins et du sud-est de l'Europe.
En matière d'infrastructure routière et autoroutière, la commune d'Étoile est à proximité immédiate :
Depuis l'aéroport de Valence-Chabeuil (à 10 min d'Étoile), Lyon-Saint-Exupéry et Marseille Provence sont à 1 h et 1 h 50.
Au , Étoile-sur-Rhône est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[6]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valence, une agglomération inter-départementale dont elle est une commune de la banlieue[7],[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (86,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,2 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), cultures permanentes (5,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,7 %), zones urbanisées (4,3 %), eaux continentales[Note 2] (4,3 %), forêts (3,3 %), mines, décharges et chantiers (1 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Site Géoportail (carte IGN)[12] :
Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :
(non daté)[réf. nécessaire] : Étoile-sur-Rhône.
Le nom de la localité est attesté sous la forme latine Stella en 1157. Outre le sens « étoile », Ernest Nègre lui donne le sens géographique de « rond-point »[15], autrement dit de « carrefour ». Il sera francisée par la suite en Étoile.
Estela signifie « étoile » en ancien occitan et en occitan[réf. nécessaire].
Étoile est un carrefour naturel entre le nord, le sud et l'est. Il constitue aussi un poste de surveillance idéal de la vallée du Rhône.
Le Néolithique moyen est représenté uniquement par trois fragments de silex (deux lamelles et une esquille) extraits du sédiment de surface d'un empierrement. La présence de ces éléments pose un problème d'attribution chronologique de l'empierrement. Est-ce un vestige du Néolithique moyen isolé dans un contexte d'occupation du Bronze ancien ? Ces éclats de silex sont-ils en position secondaire à la surface d'une structure du Bronze ancien ? Il est difficile de trancher. On peut simplement déduire que l'existence de vestiges du Néolithique moyen sur ce secteur reste une probabilité très faible[16].
Le Bronze ancien est une période en revanche bien attestée (présence importante de mobilier céramique, plusieurs structures de types fosses et empierrements (foyers à pierres chauffées). On note la présence de vases à double cordon digité, des anses larges et des fragments de tasses à carènes et anses. Ce lot est comparable aux corpus des céramiques des sites des grottes du défilé de Donzère (Vital, 1990), des Croisières à Guilherand-Granges (Néré, 2012), de la ZAC du Bouquet à Montélimar (Cordier, 2013), de la ZAC de la Motte à Valence (Néré, in Réthoré, Ronco, 2013) et du plateau de Lautagne à Valence (Néré, in Réthoré, 2011 et 2012, et Ferber, 2010)[16]. La densité des vestiges observés et le type de céramique (domestique) permettent d'envisager l'existence d'un site d'habitat au Bronze ancien[16].
La période suivante, le Bronze final, plus précisément le Bronze final IIa, est représenté par six ensembles fossoyés (fosses). Cette période apparaît beaucoup plus discrète que la précédente. Le mobilier céramique retrouvé dans les différentes fosses constitue un lot très cohérent. Son niveau de conservation est exceptionnel. Ce mobilier s'apparente à celui des sites de la grotte de La Balme à Donzère (Vital, 1990), de Laprade à Lamotte-du-Rhône (Billaud, 2002) ou encore de la ZAC du Bouquet à Montélimar (Cordier, 2013). À proximité des zones de diagnostic, des occupations ou des vestiges du Bronze final sont attestées également sur les sites proches de La Lauze à Livron-sur-Drôme (Vicard, 2008), du Clos Chauvin à Loriol-sur-Drôme (Cordier, 2012) et plus au nord sur la ZAC de la Motte à Valence (Réthoré, Ronco, 2013)[16].
Habitat gallo-romain[17],[16].
On aurait trouvé les traces d'un camp militaire (fortifié) romain[réf. nécessaire].
Au Moyen Âge, le rôle de « sentinelle » d'Étoile se renforce, rôle qu'elle partage avec Livron-sur-Rhône, Savasse et la Garde-Adhémar[réf. nécessaire].
L'établissement à Étoile d'une importante communauté cistercienne contribue grandement à l'attraction culturelle et commerciale d'Étoile[réf. nécessaire].
La seigneurie[14] :
1448 (démographie) : la population d'Étoile se compose de sept ecclésiastiques, trois familles nobles, 35 familles solvables et 111 familles ne payant pas d'impôts[14].
À la fin du Moyen Âge, Étoile est une cité florissante, qui aurait abrité plus de 5 000 habitants[réf. nécessaire].
La cité semble être restée assez longtemps à l'abri des troubles liés aux guerres des Religions. Toutefois, en 1566 (l'année de la mort de Diane), les huguenots prennent possession du bourg et le conservent pendant deux ans. Ils l'envahissent à nouveau en 1588 mais ne peuvent obtenir la reddition de la garnison retranchée dans le château. Ils repartent après avoir pillé le village[réf. nécessaire].
La cité perd son statut de place forte. Richelieu (1585-1642), qui craint que certains lieux stratégiques du sud-est ne deviennent des poches de résistance huguenote, ordonne la destruction d'un grand nombre de fortifications. Étoile en fait partie et ses murailles sont en partie détruites[réf. nécessaire].
Le passage répété de troupes aurait contribué à l'appauvrissement de la collectivité. Les dragons ont laissé un très mauvais souvenir à la population (vols, saccages, maltraitances)[réf. nécessaire].
1688 (démographie) : 600 familles[14].
Avant 1790, Étoile était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Valence.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence dont l'église, dédiée à la sainte Vierge, et les dîmes appartenaient au prieur du lieu, qui présentait à la cure (voir Saint-Marcellin)[14].
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[18].
Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoit (de la dépendance de l'abbaye de Saint-Chaffre-le-Monestier) dont le titulaire était collateur et décimateur dans la paroisse d'Étoile[18].
Dès l'été 1789, la communauté s'organise autour du curé Chaix. Ce dernier devient premier échevin. Le colonel Melleret prend la tête de la milice bourgeoise[réf. nécessaire].
Le , se produit un événement d'une grande portée : la fête de la Fédération qui regroupe les 17 communes des régions de Valence et de La Voulte-sur-Rhône (une autre aura lieu le à Montélimar). C'est le point de départ d'un mouvement qui aboutira à la constitution d'une véritable armée patriotique nationale, comme l'a expliqué Michelet dans sa célèbre Histoire de la Révolution française[réf. nécessaire].
En 1790, Étoile devient le chef-lieu d'un canton du district de Valence, comprenant les municipalités de Beaumont-lès-Vaience, Étoile, Fiancey, Montéléger, Montmeyran, Upie et la Vache. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de Valence[14].
1790 (démographie) : 546 chefs de famille[14].
Le , la Compagnie du chemin de fer de Lyon à la Méditerranée (LM) ouvre la ligne de Valence à Avignon et la gare d'Étoile[19].
À la suite des élections municipales françaises de 2020, le conseil municipal est composé du maire (Françoise Chazal), de 7 adjoints (Yoann Durif, Florence Chareyron, Yves Pernot, Carine Courtial, Christophe Lavigne, Anne-Marie Dubois et Daniel Imbert) et de 21 conseillers municipaux (Jean-Christophe Chastang, Marie Claire Faure, Nathalie Ducros, Odile Mourier, Valérie Leclere, Christiane Péralde, Pierric Paul, Isabelle Leo, Anne Przyzycki, Adrien Chapignac, Christian Bernard, Christian Salendres, Christine Jargeat Goncalves, Dmitri Treuvey, Françoise Delamontagne, Fabrice Giraudeau, Cécile Robin, Alexandre Lapicotiere, Ghislaine Monna et Marcel Datin)
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire | ||||
1789 | 1790 | Charles-François Chaix[20] | ||
1790 | 1790 | Baltazar Morier[20] | ||
1790 | 1791 | Simon Roux[20] | ||
1791 | 1791 | Henri Navelle[20] | ||
1791 | 1792 | Joseph-Pierre Martin[20] | ||
1792 | an II | Pierre Margerie[20] | ||
an II | an III | Jean-Antoine Sayn[20] | ||
an III | an IV | Jacques Desaymar[20] | ||
an IV | 1811 | Jean-Joseph Bernard[20] | ||
1811 | 1815 | Pierre-Louis de Montelard[20] | ||
1815 | 1830 | Alexandre Paulin Garnier de Labareyre[20] | Officier d'infanterie[21] | |
1830 | 1842 | Félix Melleret[20] | ||
1842 | 1848 | mr. Guimard[20] | ||
1848 | 1850 | mr. Roux-Montagnère[20] | ||
1850 | 1852 | mr. Martin[20] | ||
1852 | 1853 | mr. Sérusclat[20] | ||
1853 | 1857 | mr. Lonier de Lubac[20] | ||
1857 | 1860 | mr. Montagnère[20] | ||
1860 | 1871 | Jean-Pierre Martin[20] | ||
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire | ||||
1871 | 1876 | mr. Revol[20] | ||
1876 (élect. partielle ?) |
1880 | Jacques François Vial[20] | ||
1881 (élect. partielle ?) |
1886 | Eugène Combier[20] | ||
1886 (élect. partielle ?) |
1895 | Alphonse Sausse[20] | ||
1895 (élect. partielle ?) |
1896 | Maurice Latune[20] | ||
1896 | 1896 | Auguste Montagnère[20] | ||
1896 (élect. partielle ?) |
1904 | Jules Faure[20] | ||
1904 | 1944 | Jules Bellier[20] | ||
1944 (élect. partielle ?) |
1947 | Paul Verd[20] | agriculteur aux Josserands président du comité de libération d'Étoile de sept. 1944 à mai 1945 | |
1947 | 1961 | Adrien Marchal[20] | ||
1962 (élect. partielle ?) |
1965 | Raoul Ducros[20] | ||
1965 | 1977 | Pierre Verd[20] | ||
1977 | 1995 | Maurice Maisonni[20] | ||
1995 | 2001 | Claude Villemin[20] | ||
2001 | 2014 | Sandro Duca[20] | PS | |
2014 | 2020 | Françoise Chazal[20] | UMP-LR | employée conseillère départementale |
2020 | En cours (au 24 février 2021) |
Françoise Chazal[22][source insuffisante] |
La commune d’Étoile-sur-Rhône fait partie du Département de la Drôme, faisant lui-même parti de la Région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est membre de la Communauté d'agglomération Valence Romans Agglo. Elle fait aussi partie de l’Arrondissement de Valence. Pour ce qui est du découpage électoral, la ville fait partie de la Deuxième circonscription de la Drôme, ce qui fait de Lisette Pollet sa députée. Enfin, elle fait partie du Canton de Loriol-sur-Drôme pour les Élections départementales, ce qui fait de la Maire d’Étoile-sur-Rhône, Françoise Chazal, et de l’ancien Maire de Loriol-sur-Drôme et actuel Vice-président du Conseil départemental, Jacques Ladegaillerie les conseillers départementaux.
En 2014, la commune obtient le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris[23].
Finances locales d'Étoile-sur-Rhône de 2000 à 2018[24].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2021, la commune comptait 5 526 habitants[Note 3], en évolution de +3,35 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2017 | 2021 | - | - | - | - | - | - | - |
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5 478 | 5 526 | - | - | - | - | - | - | - |
Étoile-sur-Rhône relève de l'académie de Grenoble et compte plusieurs établissements scolaires :
Principaux événements :
En 1992 : céréales, vignes, fruits, ovins, porcins[17].
La commune possède quatre zones industrielles: Blacheronde, Bosses, Basseaux et les Caires[42]
Étoile-sur-Rhône possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
La devise du village est Non Licet Omnibus.
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