En poésie, il fait paraitre plusieurs titres dont Connaissance de la mort (Éditions Triptyque, 1988), Les guerres sont éternelles (Le Nordir, 1990), Fondement des fleurs et de la nuit (L'Hexagone, 1992), Patmos, suivi de, Nauplie, ou, L'adieu à la poésie, (Éditions du Noroît, 2003) ainsi que La mort d'Arthur Rimbaud (Éditions du Noroît, 2004)[2],[3],[4],[5],[6],[7].
Comme romancier, Gosselin publie Le Discours de réception (Lanctôt, 2003) ainsi que Le jardin du commandant (42e parallèle, 2003)[8].
2003 - Récipiendaire: Prix de poésie des terrasses Saint-Sulpice de la revue Estuaire (pour Patmos, suivi de, Nauplie, ou, L'adieu à la poésie)[2],[10]
André Brochu, «Idéologie et vérité romanesque / Yves Gosselin, Discours de réception, Montréal, Lanctôt, 2003, 168 p. / France Théoret, Les apparatchiks vont à la mer Noire, Montréal, Boréal, 2004, 252 p. / Andrée Dandurand, Sous la peau des arbres, Montréal, VLB, 2004, 190 p.», Lettres québécoises: la revue de l’actualité littéraire, no115, , p.17–18 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
Jocelyne Felx, «Beauté de la monotonie / Hélène Monette, Lettres insolites, Trois-Rivières, Écrits des Forges, 1990, 100 p. / Yves Gosselin, Les Guerres sont éternelles, Hearst, Le Nordir, 1990, 64 p. / Gaz Moutarde, no 4 et no 5, Montréal, 1990 / Le Bonnet de nuit, vol. 1, no 1 (décembre 1990), Montréal, 1990», Lettres québécoises: la revue de l’actualité littéraire, no62, , p.30–30 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
«Prix et distinctions», Lettres québécoises: la revue de l’actualité littéraire, no115, , p.62–63 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )