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photographe sud-africain De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Santu Mofokeng, né le à Soweto en Afrique du Sud et mort le , est un photographe sud-africain.
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Santu Mofokeng débute en tant que photographe de rue dans les années 1970, en réalisant des portraits de sa famille et de ses amis à Soweto.
En 1988 il est chercheur à l'Institut d'études sociales de l'Université du Witwatersrand à Johannesburg.
En 1981, il est engagé par le journal Beeld comme assistant au laboratoire photo[1]. L’année suivante il travaille pour les journaux de la Chambre des Mines.
En 1985, il rejoint Afrapix, un collectif de photographes fondé en 1982, par un petit groupe multi-racial de photographes et de militants. Parallèlement, il commence à faire des reportages pour New Nation, un journal alternatif dirigé par Zwelakhe Sisulu (et Gabu Tgwana, qui remplaça Sisulu pendant sa détention), et à développer un projet intitulé Fictional Biography.
En 1986, Santu Mofokeng se lance dans son premier essai photographique : Train Church, une exploration des rituels religieux.
En 1988, il rejoint l’African Studies Institute (ASI), il a alors la fonction de chercheur[2] et de photographe pendant presque 10 ans. Il réalise à ce moment-là : Rumours / The Bloemhof Portfolio, un essai photographique.
En 1990, Santu Mofokeng est récompensé pour son exposition à la Johannesburg Market Galleries, Like Shifting Sand, qui montre la vie dans les fermes et le quotidien des communautés. Il reçoit la première bourse Ernest Cole[3], qui lui permet d’étudier un an au Centre international de la photographie (ICP) de New York.
En 1996, Santu Mofokeng entame son essai photographique intitulé Chasing Shadows[4].
Lors de la seconde Biennale de Johannesburg en 1997, il présente un diaporama : The Black Photo Album / Look: 1890–1950, Distorting Mirror: Townships Imagined
Malade depuis de nombreuses années[5], Santu Mofokeng meurt le à l’âge de 63 ans[6],[7].
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