Rue de Babylone
rue de Paris, en France De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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La rue de Babylone est une rue du 7e arrondissement de Paris.
7e arrt Rue de Babylone
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Situation | |||
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Arrondissement | 7e | ||
Quartier | Invalides École-militaire Saint-Thomas-d'Aquin |
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Début | 46, boulevard Raspail | ||
Fin | 35, boulevard des Invalides | ||
Morphologie | |||
Longueur | 860 m | ||
Largeur | 15 m | ||
Historique | |||
Création | Arr. du 26 août 1868 et Lettres patentes du 18 février 1720 | ||
Dénomination | Arr. du 3 septembre 1869 | ||
Ancien nom | Rue de La Fresnaye rue de Grenelle chemin de la Maladerie |
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Géocodification | |||
Ville de Paris | 0603 | ||
DGI | 0618 | ||
Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 7e arrondissement de Paris
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Images sur Wikimedia Commons | |||
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Longue de 860 mètres, elle commence 46, boulevard Raspail et finit 35, boulevard des Invalides.
Ce site est desservi par les lignes 10 et 12 à la station Sèvres - Babylone et par la ligne 13 à la station Saint-François-Xavier.
Jean Duval (1597-1669) connu sous le nom de « Bernard de Sainte-Thérèse », évêque latin de Babylone[1], est le fondateur en 1663 du séminaire des Missions étrangères 128 rue du Bac, qui donne aussi sur cette voie, renommée rue de Babylone en 1673 pour lui rendre hommage[2].
Elle s'appela d'abord la « rue de la Fresnaye », puis « rue de Grenelle » ou « de la Maladrerie » jusqu'en 1669.
En 1714, on n'y comptait que deux maisons, le reste était le cours de la ville, puis la barrière et la plaine de Grenelle.
Des lettres patentes du ordonnèrent qu'elle soit continuée jusqu'au nouveau rempart.
Quarante-cinq ans plus tard, ses constructions étaient bornées par la rue du Bac d'un côté, et par la rue Vaneau de l'autre. Le comte de Provence acquit un terrain à la suite, et la caserne Babylone y fut bâtie, vers l'année 1780, pour les Gardes françaises.
La rue de Babylone, en 1810, figurait parmi celles dont les numéros étaient rouges, et Saint-Victor venait d'y rapporter, dans son Tableau de Paris, les hôtels de Damas, de Châtillon, de Barbançon et de la Queueille.
La rue est prolongée au delà de la rue du Bac après la démolition de l'hospice des Petits-Ménages[3].
Le 30 mars 1918, durant la Première Guerre mondiale, un obus lancé par la Grosse Bertha explose dans la caserne Babylone, au no 49 rue de Babylone[4].
Une partie des monuments suivants sont protégés au titre des monuments historiques :
En 2021 sort chez Gallimard 57 rue de Babylone, Paris 7e d'Alix de Saint-André, qui raconte la découverte de cette adresse par la jeune femme à l'automne 1974[13].
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