Rose Chalamet participe à la réforme des écoles maternelles et fonde en France la première école frœbelienne. Dans le cadre des Universités populaires de Paris, elle anime les Maisons universitaires, résidences sociales pour travailleurs intellectuels[5], en créant notamment, en 1897, la résidence University Hall au 95, boulevard Saint-Michel.
Série de 7 romans, histoire d'une famille pendant cent ans
1926: Armand Colin. Myrielle, jeune fille de France.
«étude (quasi-autobiographique) d'une jeune-fille née vers 1850, meurtrie par la guerre de 1870, qui lui tue son fiancé, et dont la devise sera désormais «que ta peine mûrisse en bonté»», Henriette Charasson in La Femme de France, 30/01/1927
Raoul Gout, L'Apostolat intellectuel et social d'Élise Chalamet.
Jean Elisabeth Pedersen (édité sous la direction de Nimisha Barton, Richard S. Hopkins), Practiced Citizenship: Women, Gender, and the State in Modern France, U of Nebraska Press, (ISBN1-49-620666-5)
Marie-Emmanuelle Chessel, Consommateurs engagés à la Belle Époque: La Ligue sociale des acheteurs, Presses de Sciences Po, 2012.
Pierre Moulinier, Un campus universitaire au Quartier latin? Le logement des étudiants français et étrangers à la Belle Époque, in La Babel étudiante, La cité internationale universitaire de Paris (1920-1950), édité par Dzovinar Kévonian et Guillaume Tronchet, Presses universitaires de Rennes, p.45-57, https://books.openedition.org/pur/112091?lang=fr.