Pierre Magnard enseigna plus de cinquante ans, au cours desquels il encadra cent quatre vingts thèses. Il fut chargé de trois mandatures au Conseil national de l'université (CNU), présida le Comité national du Centre national de la recherche scientifique de 1985 à 1991, et fut chargé de mission auprès du ministère des Universités, ensemble qui fait de lui une importante figure du monde de l’enseignement et de la recherche[5],[6],[7].
Nature et Histoire dans l’apologétique de Pascal, Paris, Belles Lettres, 1975[8],[9].
Pascal. La clé du chiffre, Paris, Mame/Presses universitaires, 1990[11]. Rééd. en poche, Paris, La Table ronde, coll. «La Petite Vermillon», 2006, 2007.
Le Dieu des philosophes, Paris, Mame/Presses universitaires, 1992[12]. Rééd. en poche, Paris, La Table ronde, coll. «La Petite Vermillon». 2006, 2007.
Fureurs, Héroïsme et métamorphoses (coll.), Peteers, 2007.
Marsile Ficin, les platonismes à la Renaissance, Paris, Vrin, 2001, 2007.
Métaphysique de l’Esprit (coll.), Paris, Vrin, 1996, 2007.
Nicolas de Cues: Trialogus de Possest, Paris, Vrin, 2007.
Pourquoi la religion?, Paris, Armand Colin, 2006[13], 2007.
Questions à l’humanisme, Paris, PUF, 2000, 2007; Paris, Le Cerf, 2012.
La demeure de l’être, étude et trad. du Livre des Causes, (collectif) Paris, Vrin, 1990, 2007.
La dignité de l'homme, (collectif), Paris, Honoré Champion, 1995, 2007.
L'homme délivré de son ombre, traduction du Livre du sage de Charles de Bovelles, Paris, Vrin, 1982. Nouvelle édition, avec une traduction entièrement refaite, en 2010.
L'étoile matutine, traduction du Livre du néant de Charles de Bovelles, Paris, Vrin, 1983. Nouvelle édition, avec une traduction nouvelle, 2014.
Soleil noir, traduction du Livre des opposés de Charles de Bovelles, Paris, Vrin, 1984.
Jean-Marc Gabaude, «Pierre Magnard, Nature et histoire dans l'apologétique de Pascal», Revue philosophique de Louvain, vol.75, no27, (lire en ligne, consulté le ).
Mustapha Naïmi, «Pierre Magnard, Pourquoi la religion?», Archives de sciences sociales des religions, no140, , p.157–310 (ISSN0335-5985, DOI10.4000/assr.11203, lire en ligne, consulté le ).