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footballeur français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Pierre Bianconi est un footballeur français né le à Bastia, et disparu le dans la même ville. Il évolue au poste de défenseur du début des années 1980 au début des années 1990.
Pierre Bianconi | ||
Biographie | ||
---|---|---|
Nationalité | Française | |
Naissance | Bastia (France) |
|
Décès | (à 31 ans) | |
Taille | 1,70 m (5′ 7″) | |
Poste | Défenseur | |
Parcours junior | ||
Années | Club | |
1979 | -EF Bastia | |
1980-1982 | INF Vichy | |
Parcours professionnel1 | ||
Années | Club | M. (B.) |
1982-1983 | SEC Bastia | 12 (0) |
1983-1984 | RCFC Besançon | 30 (0) |
1984-1985 | AS Cannes | 20 (0) |
1985-1986 | Nîmes Olympique | 16 (0) |
1986-1987 | SEC Bastia | 12 (2) |
1987-1988 | Paris SG | 7 (0) |
1988-1989 | SEC Bastia | 26 (2) |
1989-1990 | Paris SG | 0 (0) |
1990-1993 | SEC Bastia | 54 (1) |
Sélections en équipe nationale2 | ||
Années | Équipe | M. (B.) |
1989-1993 | Corse | 3 (0) |
1 Compétitions officielles nationales et internationales senior, incluant le parcours amateur et en équipe réserve. 2 Matchs officiels. |
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Formé à l'Étoile filante bastiaise et à l'INF Vichy, il évolue par la suite au SEC Bastia, au RCFC Besançon, à l'AS Cannes, au Nîmes Olympique et au Paris SG.
Il dispute un total de 18 matchs en Division 1, sans inscrire de but, et 148 matchs en Division 2, pour 5 buts inscrits[1]. Il inscrit notamment un doublé face au club de Clermont-Ferrand le [2].
Joueur très agressif et sanguin sur le terrain, il reçoit de nombreux cartons tout au long de sa carrière. En , lors d'un match amical opposant le Nîmes Olympique au Toulouse FC, il gifle Beto Marcico. L'arbitre décide de l'exclure, il déchire alors le carton rouge et assène un coup de tête à l'homme en noir. Il écope de 6 mois de suspension[3].
Le , il honore sa première sélection avec la Corse. La Squadra Corsa bat alors le SC Toulon 4-3[4].
Sympathisant nationaliste, proche du MPA, il disparaît mystérieusement le à 31 ans. Sa voiture est retrouvée sur le port de Bastia, mais sans aucune trace de son propriétaire[5].
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