4 octobre: Maurice Thorez, secrétaire général du parti communiste et mobilisé en tant que soldat, déserte et rejoint l'URSS, alors en paix avec l'Allemagne (paix formalisée par un pacte de non-agression).
Hitler propose la paix à la France et au Royaume-Uni. Dans un discours au Reichstag, Hitler lance un appel à la paix et propose de reconnaître le nouveau Statu quo en Europe orientale, blâmant les bellicistes de la situation actuelle[1].
Les dernières forces combattantes polonaises se rendent aux Allemands. Fin de la campagne de Pologne .
Un décret d’Hitler crée le Gouvernement Général sur les terres polonaises occupées par les Allemands mais non rattachées au Reich; Hans Frank est nommé gouverneur du Gouvernement Général.
Début de la déportation des juifs allemands vers Vienne et Prague.
14 octobre: torpillage du cuirassé britannique HMSRoyal Oak(08) par un sous-marin allemand. Sur les quelque 1 200 hommes d'équipage, il n'y a que 378 rescapés.
16 octobre: évacuation de Forbach par l'armée française. Cette opération allemande qui contraint à ce repli français est le pendant allemand de l'action menée en Sarre par quelques compagnies françaises. Ces escarmouches qui coutent tout de même la vie à plus de 10 000 soldats restent les seuls faits d'armes de la «drôle de guerre» .
18 octobre: quatre jours après la spectaculaire perte du cuirassé Royal Oak, Winston Churchill déclare qu'un tiers des sous-marins allemands ont déjà été coulés.
les troupes françaises occupant des enclaves en Allemagne depuis le se replient derrière la Ligne Maginot. C'est une décision «stratégique», alors que ces positions n'étaient pas menacés par les Allemands .
Premier service postal aérien France-États-Unis au départ de Marseille via les Açores.