Nicolas Richard est né le à Bois-Colombes (France)[1]. Il étudie au lycée Voltaire d'Orléans, puis à l'École supérieure de commerce de Lyon (aujourd'hui EM Lyon)[1]. Sa biographie officieuse, tant par le collectif Inculte dont il est membre que par la Société des gens de lettres, indique qu'il a «posé nu pour des étudiantes, retapé des appartements à Brooklyn, fait la vaisselle à Bâle, été bûcheron dans le Valais et manager de groupes de rock»[2].
Nicolas Richard traduit de l'anglais et de l'anglais américain vers le français depuis 1990[1].
Il a été l'un des premiers participants, avec Charles Recoursé, aux joutes de traduction[3] organisées par l'ATLF pour la première fois en France, en 2014[4].
David Lynch, Mon histoire vraie - Méditation, Conscience et Créativité, Sonatine, 2008 (Catching the Big Fish: Meditation, Consciousness and Creativity, 2006).
Al Pacino et Lawrence Grobel, Al Pacino, Sonatine, 2008 (Al Pacino: The Authorized Biography, 2006).
Rabih Alameddine, Hakawati, Flammarion, 2009 (The Hakawati, 2008).
Paul Beatty, Slumberland, Seuil, 2009 (Slumberland, 2008).
David Sedaris, Je suis très à cheval sur les principes, L'Olivier, 2009 (When You Are Engulfed in Flames, 2008).
Mark Blake, Qu'en pense Keith Richards?, Sonatine, 2010 (Stone Me: The Wit & Wisdom of Keith Richards, 2008).
Nick Cave, Mort de Bunny Munro, Flammarion, 2010 (The Death of Bunny Munro, 2009).
Thomas Pynchon, Vice caché, Seuil, 2010 (Inherent Vice, 2009).
Mick Brown (trad.de l'anglais par Nicolas Richard), Phil Spector, le mur de son [«Tearing Down the Wall of Sound: The Rise and Fall of Phil Spector»], Paris, Sonatine, , 756p. (ISBN978-2-35584-034-0)
David Ohle, Motorman, Cambourakis, 2011 (Motorman, 1972).
Tom Drury, La Contrée immobile, Cambourakis, 2012 (The Driftless Area, 2006).