Méru
commune française du département de l'Oise De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Méru est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Méru | |||||
De haut en bas et de gauche à droite: l'Hôtel-de-Ville; panorama de la ville; la tour des Conti; l'église St-Lucien; maison à colombages. |
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Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | CC des Sablons | ||||
Maire Mandat |
Nathalie Ravier 2020-2026 |
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Code postal | 60110 | ||||
Code commune | 60395 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Méruviens, Méruviennes | ||||
Population municipale |
14 320 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 627 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 14′ 12″ nord, 2° 08′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 72 m Max. 184 m |
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Superficie | 22,83 km2 | ||||
Type | Centre urbain intermédiaire | ||||
Unité urbaine | Méru (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Méru (bureau centralisateur) |
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Législatives | 3e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.ville-meru.fr/ | ||||
modifier |
La ville est une commune périurbaine du sud de l'Oise située dans le pays de Thelle, à 22 km de Cergy, 27 km de Beauvais et à 40 km de Paris.
Elle est desservie par l'ex-RN 327 (actuelle RD 927) et est aisément accessible par l'autoroute A16.
La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le cours d'eau 01 de la Chenevière[1] et le cours d'eau 01 du Bois de Buquet[2],[3],[Carte 1].
L'Esches, d'une longueur de 20 km, prend sa source dans la commune et se jette dans l'Oise à Persan, après avoir traversé six communes[4]. Les caractéristiques hydrologiques de l'Esches sont données par la station hydrologique située sur la commune de Bornel. Le débit moyen mensuel est de 0,66 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 4,05 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 7,51 m3/s, atteint le même jour[5].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 679 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 20 km à vol d'oiseau[8], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Au , Méru est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Méru[Note 3], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[14].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (68,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,9 %), zones urbanisées (15,3 %), forêts (14,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %), prairies (1,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Méru est desservie par les trains TER Hauts-de-France de la ligne Paris-Nord - Persan - Beauvais.
Le réseau de transport urbain dénommé Sablons Bus dessert la ville et les communes environnantes. Il est composé de 5 lignes régulières (A, B, C, D et E).
La ville est également desservie, en 2023, par les lignes 603, 621, 622, 6108, 6112, 6121, 6131, 6132, 6133, 6134 et 6234 du réseau interurbain de l'Oise[16].
Les mentions anciennes de Méru sont : villa Matrius 626[17],[18] ; Mairiu en 862[17],[18],[19] ; de Meruaco en 1094[19] ; Meruvium en 1099[18],[19] ; Meru, de Merudio, Mairu en 1099[19] ; Meruacum en 1119[17] ; Mairu en 1123[18] ; Meru in Telis en 1325[18].
Albert Dauzat considère ce toponyme comme obscur tout en proposant sans conviction un anthroponyme latin Matrius, suivi du suffixe -ivum[17]. Quant à Ernest Nègre, il choisit une solution radicalement différente fondée sur l'adjectif latin major « plus grand », qui devint maire et rivus « ruisseau »[19] > français ru[20].
La ville se trouve sur le cours supérieur de l'Esches[21].
On a trouvé, sur le territoire communal, des pointes de silex préhistoriques (lances).
Des différentes tribus qui occupaient les lieux, l'on peut retenir les Véliocasses dans la partie sud et ouest du canton de Méru et les Silvanectes qui occupaient la partie est.
Après la conquête de Jules César, la région fait partie de la province de la Gaule belgique (en Gaule transalpine). Par ailleurs, les fouilles menées sur le site de la station d'épuration ont confirmé la présence d'habitats datés du Haut Empire gallo-romain (IIe siècle apr. J.-C.).
Au IVe siècle, sous Dioclétien, la contrée reste dans la seconde Belgique dont Reims était la métropole ; Méru se trouve alors presque à cheval sur la voie romaine allant de Beauvais à Pontoise et Paris.
Cette voie est connue sous le nom de chemin de la Reine Blanche.
Après la mort de Clovis, la région de Méru entre dans le royaume de Paris. En 626, la Villa Matrius (Méru) est donnée à l'abbaye royale de Saint-Denis. En 862, Charles le Chauve confirme la donation de « Mairiu ». Par la suite, le site de la villa Matrius ou "Domaine de la Mère" est christianisé sous le patronage de saint Lucien, célébré le 16 octobre, peut-être pour remplacer un culte des eaux à la "Déesse Mère", sur le ru de Méru.
Toujours au IXe siècle, la région est ravagée par les Normands ce qui explique la présence de certains souterrains.
Ensuite, la ville appartient aux comtes de Beaumont jusqu'en 1191, époque à laquelle elle obtient une charte de coutumes, premier pas vers la reconnaissance communale.
En 1331, lors du recensement de la population, l'on compte 180 feux (900 habitants environ) à Méru. À titre comparatif, Bornel en a 80 (400 habitants environ) et Lardières 50 (250 habitants environ). Lors des jacqueries, de 1358, Méru est brûlée et rasée.
En 1521, Méru est reliée au domaine des Montmorency.
En 1582, Méru est incorporée au bailliage de Beauvais créé par Henri III.
Ensuite, des dernières années du XVIIe siècle et pendant la plus grande partie du XVIIIe, les princes de Conti et leurs descendants possèdent le bourg.
De leur château, il ne reste aujourd'hui qu'une tour dite la « Tour des Conti » que la ville et le district (aujourd'hui communauté de communes des Sablons) ont inscrit à leur programme de restauration.
La ville de Méru reste le centre d'un important bassin industriel qui s'est développé à partir du XVIIe siècle avec l'introduction progressive d'un artisanat tabletier importé de Paris par le biais des nourrices revenant de Paris.
La tabletterie, qui consiste en la fabrication d'objets divers (usuels, religieux, jeux, boîtes) au moyen de matières premières telles que le bois, l'os, la corne, l'ivoire, l'écaille ou encore la nacre, y fut d'abord pratiquée par les paysans de la région en manque de ressources durant les mois d'hiver.
Au XIXe siècle, cette activité s'industrialise et la production s'intensifie. La profession s'organise et différentes spécialisations émergent : confection de boutons, de dominos, d'éventails, etc. Le travail de la nacre prend de l'importance. Rapidement, la ville de Méru s'illustre en tant que pôle de production sous le surnom de Capitale mondiale de la Nacre. Les débouchés sont nombreux, la clientèle internationale, la qualité du travail est appréciée bien au-delà des frontières de la France (Europe, Russie, États-Unis, anciennes colonies).
Les échanges avec la capitale, où se trouvent la plupart des grossistes, sont très actifs. Les tabletiers méruviens viennent s'y procurer les matières premières qu'ils façonnent et y déposent les produits de leur fabrication. L'ouverture de la gare de Méru, en 1875, facilite ce commerce.
À la fin du XIXe siècle cependant, la tabletterie subit une récession économique qui amorce son déclin. Toutefois et malgré les tensions dont témoignent les grèves du début du XXe siècle, l'industrie du bouton connaît encore quelques décennies prospères avant de disparaître presque complètement du pays de Thelle.
En 1909, une grande grève éclate dans le secteur de la boutonnerie. Le patronat réduit d'un tiers les salaires, « pour faire face à la concurrence ». La grève concerne dans la journée les quatre usines de la commune d'Andeville, mais tout le canton de Méru est rapidement concerné. Les premières négociations sont convoquées par le préfet pour le à Méru, mais ne débouchent sur rien, le patronat refusant de revenir en tout ou partie sur sa décision. Les maisons des patrons sont vandalisées, le une vingtaine de femmes sont blessées par la gendarmerie nationale. Le gouvernement Clemenceau envoie l'armée, commandée par le général Joffre. Le soutien national se développe, et les dirigeants de la CGT viennent sur place, jusqu'à ce que les salaires soient rétablis au niveau de 1908. À Méru le , 3000 personnes participent au meeting, avant la fin de la grève le [22].
Les reconversions dans la bijouterie ou les matières plastiques n'ont pas suffi à sauver l'industrie du bouton autrefois très florissante présentée aujourd'hui au musée de la Nacre et de la Tabletterie où l'on peut découvrir, outre les collections d'objets, de véritables ateliers reconstitués à l'identique. De nouvelles industries ont pris le relais dans la zone industrielle ouverte au sud de Méru dans les années 1950.
Le l'usine Rochel de Méru, qui conditionne des aérosols, explose à la suite d'une fuite de gaz ; on compte 3 morts et 49 brûlés, principalement des ouvrières[23]. En 1969 lors du procès le tribunal de Beauvais condamne le PDG « coupable d'une faute inexcusable » pour « homicide par imprudence » ; il avait en particulier refusé l'application de mesures de sécurité réglementaires[24]. La peine est de un an de prison avec sursis et 20 000 francs d'amende[24]. Il est amnistié dans les mois qui suivent et fait construire une autre usine. Les victimes sont mal indemnisées et ne peuvent pas se porter partie civile[24]. Simone de Beauvoir va à la rencontre des victimes, et écrit un article à leur sujet[25].
La pratique de la tabletterie à Méru a donné lieu à la production de quelques œuvres littéraires telles que La fabrique blanche, de Serge Grafteaux, parue aux éditions Tallandier en 1990.
Les années 1980-1990 voient le début d'un essor démographique sans précédent pour la commune de Méru, puisqu'elle double sa population entre 1975 et 2017 grâce à une immigration extra-européenne qui modifie la composition et la répartition des communautés présentes dans la commune. La commune est classée en « zone de sécurité prioritaire », avec notamment des quartiers difficiles comme celui de La Nacre, par le ministère de l'Intérieur[26] en 2012.
La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Oise.
Elle est depuis 1833 le chef-lieu du Canton de Méru.
La commune fait partie de la Communauté de communes des Sablons, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre, créée en 2000.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1876 | 15 avril 1904 | Charles Boudeville | Républicain | Pharmacien Député de l'Oise (1877 → 1885 puis 1889 → 1895) Conseiller général du canton de Méru (1871 → 1895) |
15 mai 1904 | 17 mai 1925 | Louis Deshayes | RRRS | Député (1914-1919) |
17 mai 1925 | 19 mai 1929 | Pierre Fulgence Legrand | Rad. | Conseiller général du canton de Méru (1928 → 1934) |
19 mai 1929 | 03 juillet 1931 | Antoine Faye | Négociant | |
03 juillet 1931 | 07 juillet 1935 | Albert Degremont | SFIO | Avocat |
07 juillet 1935 | 11 août 1935 | Pierre Fulgence Legrand | Rad. | Conseiller général du canton de Méru (1928 → 1934) |
11 août 1935 | 26 novembre 1937 | Albert Degremont | SFIO | Avocat, conseiller d'arrondissement du canton de Méru (1931-1937) |
26 novembre 1937 | 11 mai 1953 | Marcel Coquet | SFIO | Commerçant |
11 mai 1953 | 14 mars 1959 | Antony Bernard | ||
14 mars 1959 | 20 mars 1977 | Maurice César | SFIO | Chirurgien dentiste Conseiller général du canton de Méru (1964 → 1970) |
20 mars 1977 | juin 1995 | Guy Vadepied[28] | PS | Publicitaire Député de la 5e circonscription de l'Oise (1981 → 1986) Député de l'Oise (1986 → 1988) Conseiller régional de Picardie (1977 → 2004) Conseiller général du canton de Méru (1977 → 1982) |
juin 1995 | avril 2014[29] | Yves Leblanc[30] | UDF puis UMP[31] | |
avril 2014[32],[33],[34] | En cours (au 2 décembre 2020) |
Nathalie Ravier | DVD[35] | Vice-présidente (2014 → 2020) puis présidente (2020 → ) de la CC des Sablons Réélue pour le mandat 2020-2026[36],[37] |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[38],[Note 5].
En 2021, la commune comptait 14 320 habitants[Note 6], en évolution de −2,6 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2021 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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14 320 | - | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 7 106 hommes pour 7 503 femmes, soit un taux de 51,36 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
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0,4 | 1,3 | |
4,0 | 5,7 | |
12,8 | 13,8 | |
20,0 | 17,6 | |
18,3 | 19,7 | |
20,4 | 18,5 | |
24,1 | 23,4 |
La commune dispose actuellement de 2 collèges publics :
Deux lycées publics sont également implantés sur la commune :
Méru accueille aussi le groupe scolaire privé "immaculée conception" allant du primaire au collège[45].
https://www.guide-piscine.fr/oise/piscine-aquoise-a-meru-1615_P
La commune abrite une fonderie appartenant au Groupe Norinco[46] et une usine du groupe Forvia.
Le Musée de la Nacre et de la Tabletterie attire de nombreux visiteurs, groupes et touristes individuels.
L'ensemble de la commune est classée en zone de sécurité prioritaire sous le gouvernement Jean-Marc Ayrault en 2012.
Méru ne compte aucun monument historique sur son territoire.
On peut néanmojns signaler :
Les armes de Méru se blasonnent ainsi : De gueules à la barre d'or chargée de 5 tourteaux de sable, accompagnée, en chef d'un éventail de quinze plis au naturel, en pointe d'une Marque à jouer tournée d'argent, et senestrée de deux dominos aussi d'argent pointés de sable, posés et rangés en pal, le "trois/zéro" sur le "quatre/deux". |
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