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Elle sera, comme l'écrit Ladislas Kijno, «avec des tas d'artistes et d'écrivain, un des piliers de ce qui fut appelé “l'École d'Antibes”… Dans les années 1950, nous nous réunissions tous les matins sur la place du Vieux Marché à Antibes pour refaire le monde à grands coups de gueules et cafés serrés»[N 1]
En 1960, elle part pour un tour du monde de trente ans. Elle visite l'Amérique du Nord et du Sud, l'Asie et l'Océanie dont elle reviendra avec plus de 30,000 clichés.
Ses amis disent d'elle que c'était une femme de cœur, aimant par-dessus tout les êtres[4]. Elle a participé à l'édition de plusieurs ouvrages avec Françoise Gilot, Prévert, Evert Taube, Verdet Carleton Beals, ainsi que Raymond Friday Locke. C'est aux États-Unis ou elle vécut qu'elle se lia d'amitié avec Anaïs Nin, Fritz Lang et Henry Miller.
Ses nombreux ouvrages ont été traduits en plusieurs langues.
Elle choisit de s'établir définitivement à Antibes dans les années 1980, où elle meurt le [2],[5].
Jacques Prévert, Vignette pour les vignerons [trois illustrations de Françoise Gilot et vingt huit photographies de Marianne Greenwood], Éditions Falaize, 1950, 60.p., nouvelle édition La Chambre d’échos, 2014(ISBN978-2-913904-56-9)
Ladislas Kijno, Marianne Greenwood, Lettres à André Vernet, Éd. Bénézit et Matarasso, 1957
Romuald Dor de La Souchère, Marianne Greenwwood, Picasso à Antibes, Éd. Fernand Hazan, 1960, in-4°, 65 (11) p, 98 illustrations en noir et blanc et couleur, illustré d'un dessin de Picasso.
Romuald Dor de la Souchère, Marianne Greenwwood, Picasso à Antibes [catalogue du musée Picasso d'Antibes], Paris, Éd. F. Hazan, 1960.
(sv) Evert Taube, Marianne Greenwwood, Återkomst, Stockholm, Rabén et Sjögren, 1961
(sv) Marianne Greenwood, Det tatuerade hjärtat, Stockholm, Rabén et Sjögren, 1964
(sv) Taube Evert, Marianne Greenwwood, Svarta tjurar, Stockholm, Rabén et Sjögren, 1965
(en) Beals Carleton, Marianne Greenwwood, Land of the Mayas: yesterday and today, Londres, Abelard-Schuman, 1966
(en) Beals Carleton, Marianne Greenwwood, The incredible Incas: yesterday and today, New York , Éd. Abelard-Schuman, 1973, (ISBN0-200-71901-7)
(sv) Marianne Greenwood, Varför gråter puman?: eller Historien om kockens gula kanariefågel, 1984, Bra böcker, Höganäs
(sv) Marianne Greenwood, Resa i min adressbok, Stockholm, Éd. Trevi, 1989, (ISBN91-7160-885-0)
André Verdet et Marianne Greenwood, Albert Tarika, 22.p., illustrations en noir et blanc et couleurs, Éd. galerie Dina Vierny, 40 exemplaires numérotés, avec signature de l'artiste et de l'auteur avec une œuvre en couleur d'Albert Tarika
2005: musée ethnographique de Stockholm, Marianne Greenwood;
2006: Les couleurs du voyage, avec le musée ethnographique de Stockholm et TransArtcafé à Antibes. Deux soirées furent consacrées dans le cadre de l'exposition à la présentation de La vie et l'œuvre de Marianne Greewood;
2007: Marianne Greenwood, exposition au Texas en provenance de Stockholm.
2005: prix Women of Discovery Award de la ville de New York.
Citation rapportée par Patricia Dao et Patrick Rosiu, dans le cadre de la présentation de l'exposition qui c'est tenue avec la collaboration du musée ethnographique de Stockholm: Les couleurs du voyage de Marianne Greenwood au lieu d'exposition TransArtcafé d'Antibes, du 22 septembre au 22 octobre 2006.