«Figurez-vous que cette danseuse, avec laquelle j'ai eu l'occasion d'avoir au foyer la plus intéressante des conversations, est une personne tout à fait surprenante: en dehors des moments où elle danse, elle est pour ainsi dire une sorte d'archéologue de la chorégraphie. En ce moment, elle fait ses délices de l'Orchésographie de Thoinot Arbeau, un traité de danse de cour et de bals écrit à la Renaissance. Est-ce original[8]!».
C'est en 1888 qu'elle fait paraître la première réédition de l'Orchésographie, à Paris, chez Vieweg.
Laure Fonta, Les Danses de nos pères. Reconstitution des anciennes danses des XVIIeetXVIIIesiècles avec gravures théorie, musique réglées pour amateurs à l'usage des salons, Paris, Choudens, (lire en ligne)