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personnalité politique française De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Jérôme Nury, né le , est un homme politique français. Membre du parti Les Républicains, il est député de la 3e circonscription de l’Orne depuis 2017.
Jérôme Nury | |
Jérôme Nury en juin 2017. | |
Fonctions | |
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Député français | |
En fonction depuis le (7 ans, 6 mois et 5 jours) |
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Élection | 18 juin 2017 |
Réélection | 19 juin 2022 7 juillet 2024 |
Circonscription | 3e de l’Orne |
Législature | XVe, XVIe et XVIIe (Cinquième République) |
Groupe politique | LR (2017-2024) LDR (depuis 2024) |
Prédécesseur | Yves Goasdoué |
Premier vice-président du conseil départemental de l'Orne | |
– (1 an, 11 mois et 2 jours) |
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Prédécesseur | André Dubuisson |
Successeur | Alain Lambert |
Conseiller général puis départemental de l'Orne | |
En fonction depuis le (20 ans, 8 mois et 28 jours) |
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Élection | 28 mars 2004 |
Réélection | 27 mars 2011 22 mars 2015 20 juin 2021 |
Circonscription | Canton de Tinchebray (2004-2015) Canton de Domfront en Poiraie (depuis 2015) |
Président de la communauté de communes du Pays de Tinchebray puis communauté de communes du canton de Tinchebray puis Domfront Tinchebray Interco | |
– (9 ans et 3 mois) |
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Successeur | Bernard Soul |
Maire de Tinchebray-Bocage | |
– (2 ans, 6 mois et 25 jours) |
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Prédécesseur | commune crée |
Successeur | Josette Porquet |
Maire de Tinchebray | |
– (6 ans, 9 mois et 3 jours) |
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Prédécesseur | Thérèse Lemorellec |
Successeur | commune fusionnée |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Valence (Drôme) |
Nationalité | Française |
Parti politique | UDF UMP LR |
Diplômé de | Université Lumière-Lyon-II |
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Après avoir été élève au lycée du Sacré-Cœur à Privas (Ardèche), Jérôme Nury est étudiant en histoire à l'université Lumière-Lyon-II où il obtient un DEA dans sa spécialité.
Ancien assistant parlementaire du député-maire de Privas et centriste UDF Amédée Imbert, il s'installe dans l'Orne[1] en 1997, et prend de l'importance dans la vie politique locale, devenant l'attaché parlementaire pendant quinze ans de Sylvia Bassot, mais aussi le 1er adjoint de Tinchebray en 2001, puis le maire en . Par la suite, il devient conseiller général de l'Orne en 2004 et conseiller régional de Basse-Normandie en 2010.
Il est le créateur, le , de l'une des premières communes nouvelles[2],[3] en Basse-Normandie, Tinchebray-Bocage, regroupement de sept communes[4],[5] ; cité en exemple dans d'autres départements[6],[4]. Pour cette initiative, il reçoit le prix des acteurs publics à l'Assemblée nationale ainsi qu'au Sénat[7], destiné à maintenir et renforcer les services publics et à lancer des projets au service des habitants.
Précurseur dans le numérique, il reçoit le des mains de Jean-Michel Baylet, ministre de l’Aménagement du territoire, de la ruralité et des collectivités territoriales, le prix de l'innovation périurbaine pour le dispositif « Auto Free », service d'écomobilité partagée proposant aux 2 800 habitants de la commune quatre voitures électriques à un tarif abordable[8], qui avait déjà été récompensé par le concours national des Marianne d'or de la République le [9].
En , Tinchebray-Bocage[10] est doté d'une salle de spectacle, le « Colys'haie »[11] pouvant accueillir 2300 personnes, projet dont il est à l'origine.
Président du groupe Les Républicains de l'Orne, il soutient[12] la candidature de François Fillon à la présidentielle de 2017.
Candidat dans la troisième circonscription de l'Orne pour les élections législatives de 2017, il arrive en seconde position du premier tour derrière la candidate LREM avec 33,47 % des suffrages. Le , il remporte le second tour avec 56,08 % des voix[13],[14].
Candidat dans le canton de Domfront en Poiraie, il est réélu avec 78,02 % des voix dès le premier tour le [15].
En 2022, lors des législatives, il est réélu député avec 69,66 % des voix face au candidat du Rassemblement national Anthony Frémont[16].
Après la dissolution de l'Assemblée le , il se représente aux législatives. Il dénonce le rapprochement avec le Rassemblement national[17].
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