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critique d’art et journaliste français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Jules Antoine Castagnary, né à Saintes (Charente-Inférieure) le et mort à Paris le , est un critique d’art et journaliste français.
Directeur École nationale supérieure des beaux-arts | |
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Directeur des Cultes (d) | |
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Ami et défenseur de Gustave Courbet[1], il collabora au Monde illustré, au Siècle et au Nain jaune. Il organisa la presse républicaine en province lors du siège de Paris en 1870.
Lors de la première exposition impressionniste, il reprend le terme dépréciatif d'« impressionniste » de Louis Leroy qu'il entérine sans hésiter[2], dans un sens positif dans son article Exposition du boulevard des Capucines. Les impressionnistes paru dans Le Siècle le : « Si l'on tient à les caractériser d'un mot qui les explique, il faudra forger le terme nouveau d'Impressionnistes. Ils sont impressionnistes en ce sens qu'ils rendent non le paysage, mais la sensation produite par le paysage »[3].
Il fut membre du Conseil d'État (1879) et membre du Comité des monuments historiques.
D' jusqu'à sa mort, il est directeur de l'École nationale supérieure des Beaux-Arts.
Il est à l'origine de l'achat par l'Etat le d'un tableau d'Alfred Sisley, Matinée de septembre, 1887, attribué l'année suivante au musée des beaux-arts d'Agen où il se trouve de nos jours[4].
Il meurt le à son domicile dans le 17e arrondissement de Paris[5].
Une rue et un square du 15e arrondissement de Paris portent son nom.
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