Après la guerre, Bouret se signale comme un des principaux acteurs de la polémique lancée par le premier Manifeste de l'homme témoin. Avec Bernard Lorjou, il est l'organisateur d'une exposition qui, le , réunit galerie du Bac, aux côtés de Lorjou et de sa compagne Yvonne Mottet, les peintres de la Ruche: Michel de Gallard, Paul Rebeyrolle et Michel Thompson. À cette occasion, Bouret, en prônant un retour à la figuration, incite les peintres à rompre avec les tendances de l'art contemporain. Un groupe de «l'homme témoin» se constitue alors, fondateur du mouvement connu par la suite sous le nom de «jeune peinture».
1972: L’École de Barbizon et le Paysage français au XIXesiècle, Neuchâtel et Paris, Ides et Calendes et La Bibliothèque des arts, , 272p. (OCLC635710914), iconographie et appendices par Joan Rosselet.
1976: Bardone, Neuchâtel et Paris, Ides et Calendes et La Bibliothèque des arts, , 192p. (OCLC419625755).
1976: Genis, Neuchâtel et Paris, Ides et Calendes et La Bibliothèque des arts, , 190p. (OCLC468957293, BNF37685756).
1977: André Minaux - Peintures, Monaco, éditions André Sauret, .
Sous le pseudonyme de Bifrons:
1965: 200 recettes secrètes de la cuisine française, Stock, (OCLC459552944).
Jean Bouret, «Les Pieds dans le plat!», in Dix ans d'art actuel, [catalogue du 10esalon Comparaisons, musée d'art moderne de la ville de Paris], 29 février 1964 , p.15.
Bibliographie
Pierre Basset et Florence Condamine, Les Insoumis de l'art moderne: La Jeune Peinture, Paris 1948-1958, Flassans-sur-Issole, Un certain regard, , 286p. (ISBN978-2-9531498-0-7, OCLC436342557)
Béatrice Wattel et Michel Wattel (en collaboration avec l'équipe rédactionnelle du Who's Who in France), Qui était qui, XXesiècle: Dictionnaire biographique des Français disparus ayant marqué le XXesiècle, Levallois-Perret, J. Lafitte, , 2eéd., 1980p. (BNF40029778).