Loading AI tools
homme politique français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Jean-Yves Le Bouillonnec est un avocat et un homme politique socialiste français, né le à Cachan (Val-de-Marne).
Jean-Yves Le Bouillonnec | |
Fonctions | |
---|---|
Vice-président de la Métropole du Grand Paris | |
En fonction depuis le (8 ans, 9 mois et 25 jours) |
|
Élection | |
Président | Patrick Ollier |
Président du Conseil de surveillance de la Société du Grand Paris | |
– (2 ans, 8 mois et 12 jours) |
|
Élection | |
Prédécesseur | André Santini |
Successeur | Patrick Braouezec |
Député français | |
– (15 ans et 1 jour) |
|
Élection | 16 juin 2002 |
Réélection | 17 juin 2007 17 juin 2012 |
Circonscription | 11e du Val-de-Marne |
Législature | XIIe, XIIIe et XIVe (Cinquième République) |
Groupe politique | SOC (2002-2007) SRC (2007-2016) SRC (2016-2017) |
Prédécesseur | Claude Billard |
Successeur | Albane Gaillot |
Maire de Cachan | |
– (19 ans, 5 mois et 25 jours) |
|
Élection | |
Prédécesseur | Jacques Carat |
Successeur | Hélène de Comarmond |
Conseiller général du Val-de-Marne | |
– (4 ans, 3 mois et 19 jours) |
|
Circonscription | Canton de Cachan |
Prédécesseur | Patrice Hernu |
Successeur | Alain Blavat |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Cachan (Val-de-Marne, France) |
Nationalité | Française |
Parti politique | PS |
|
|
Maires de Cachan | |
modifier |
Il est maire de Cachan de 1998 à 2018 et député de la 11e circonscription du Val-de-Marne de 2002 à 2017. De 2015 à 2018, il est président du comité de surveillance de la société du Grand Paris, qui réalise le réseau de métro automatique Grand Paris Express, poste dont il démissionne pour raisons de santé.
Il est au centre de l'attention médiatique, lors de l'affaire du relogement des squatteurs du centre régional des œuvres universitaires et scolaires (CROUS) de Cachan, à l'automne 2006. Les logements étudiants occupés illégalement ayant été évacués de force par les compagnies républicaines de sécurité (CRS), le maire loge d'urgence les squatteurs dans le gymnase de l'école Belle-image pour éviter les troubles à l'ordre public qui pourraient survenir s'ils étaient laissés à la rue. Le gymnase est occupé pendant une période bien plus longue, les étrangers en situation irrégulière en ayant fait un symbole et voulant éviter d'être séparés par la force publique[1].
En 2008, il publie un rapport, passablement critique, sur la loi Robien concernant l'immobilier[2], et en 2010, un livre Logement: le bien premier, édition Jean Jaurès Fondation[3].
En 1983, Jean-Yves Le Bouillonnec rejoint l'équipe municipale de Jacques Carat, pour en devenir l'un de ses adjoints. En 1998, Jacques Carat démissionne et remet son écharpe de maire à Jean-Yves Le Bouillonnec.
En 2001, il mène la liste aux élections municipales, élue avec le soutien du Parti socialiste, des Verts, des radicaux de gauche, du Mouvement des citoyens, ainsi que du parti local DNV[4]. Sa liste gagne les élections municipales de 2008 dès le premier tour avec 59,61 % des suffrages exprimés[5].
Candidat aux élections législatives de 2012 dans la onzième circonscription du Val-de-Marne, il obtient 41,17 % des voix au premier tour. Dans la commune dont il est maire il obtient 49,99 % des suffrages. Le candidat du Front de gauche Gilles Delbos, arrivé en deuxième position, se retire et appelle à le soutenir. Le , Jean-Yves Le Bouillonnec est élu avec 100 % des suffrages. Candidat à la présidence de la Commission des lois, il est battu par le député du Finistère Jean-Jacques Urvoas.
Il ne se représente pas aux élections législatives de 2017 dans le Val-de-Marne[6].
Le , il annonce sa démission du mandat de maire de Cachan lors d'un conseil municipal[7],[8].
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Every time you click a link to Wikipedia, Wiktionary or Wikiquote in your browser's search results, it will show the modern Wikiwand interface.
Wikiwand extension is a five stars, simple, with minimum permission required to keep your browsing private, safe and transparent.