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homme politique français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Jean-Charles Privet, né le au Creusot et décédé le à Argenteuil[1], est un homme politique français.
Jean-Charles Privet | |
Fonctions | |
---|---|
Député français | |
– (3 ans et 10 mois) |
|
Élection | 30 novembre 1958 |
Circonscription | 39e de la Seine |
Législature | Ire (Cinquième République) |
Groupe politique | SOC |
Prédécesseur | Circonscription créée |
Successeur | Étienne Fajon |
Maire d'Épinay-sur-Seine | |
– (9 ans) |
|
Prédécesseur | Georges Martin |
Successeur | René Desjames |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Le Creusot (Saône-et-Loire) |
Date de décès | (à 82 ans) |
Lieu de décès | Argenteuil (Val-d'Oise) |
Nationalité | Française |
Parti politique | SFIO puis SE |
Profession | Mécanicien EDF |
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Mécanicien EDF à la retraite, il est élu maire socialiste d'Épinay-sur-Seine en 1956, succédant à Georges Martin, décédé en fonction.
En 1958, il est candidat aux élections législatives pour la SFIO dans la 39e circonscription de la Seine. Au premier tour, il arrive en deuxième position derrière le communiste Étienne Fajon et accuse un retard de trente points sur son adversaire. Il parvient cependant à remporter le second tour de scrutin, avec 50,49 % des suffrages, bénéficiant d'un bon report de voix de la droite. À l'Assemblée nationale, il siège sur les bancs du groupe socialiste.
Réélu premier édile l'année suivante, il est candidat à un nouveau mandat de député lors des élections législatives de 1962[2]. Son adversaire communiste de 1958 est élu dès le premier tour et Privet arrive seulement en troisième position – avec 12,29 % des voix – derrière Étienne Fajon et le gaulliste Robert Rousseau.
Candidat à un nouveau mandat mayoral en 1965, il est exclu de la SFIO quelques semaines avant le scrutin par la commission des conflits de la fédération socialiste de la Seine[3]. Il maintient cependant sa candidature et fait face à trois autres listes : une liste d'union démocratique, comprenant des socialistes, des communistes et des radicaux, conduite par René Desjames et Fernand Belino[4], une liste UNR et une liste dissidente de la majorité sortante. À l'issue du scrutin, il perd son fauteuil de maire, largement défait par la liste Desjames-Belino.
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