la jauge de charpentier, réglet gradué de 35 cm de long et de 3 cm de large, permettant de tracer les tenons et les mortaises de 3 cm et qui se porte dans la poche à mètre avec le double mètre et le crayon de charpentier;
la jauge Saugnac, pour mesurer l'évolution des désordres sur des ouvrages ou des constructions (fissure, déplacement, glissement, inclinaison);
la jauge à carburant ou la jauge à huile sur une voiture automobile, servant à évaluer la quantité de carburant dans le réservoir, ou la quantité d'huile dans le carter;
la jauge connectée, permettant à l’utilisateur de visualiser la capacité de sa cuve avec un suivi fiable et continu en temps réel[1].
La jauge d'une salle de spectacle est sa capacité d'accueil du public (assis ou debout selon les cas) en fonction des caractéristiques du lieu et des règles de sécurité[2].
L'invariance de jauge est une transformation des potentiels électromagnétiques ne modifiant pas les champs.
En architecture navale, la jauge brute est un règlement donnant la capacité de transport d'un navire en volume, de même que la jauge nette. Il s'agit d'une jauge exprimée originellement en tonneaux de jauge, puis en unité du système UMS (universal measurement system), à ne pas confondre avec le déplacement (poids exprimé en tonnes).
Une jauge de course est un règlement imposé par une autorité nautique permettant de classer les voiliers lors d'une course à la voile.
La mise en jauge consiste à recouvrir légèrement de terre les racines d'une plantule ou d'un arbuste pour lui permettre d'attendre un repiquage ou une transplantation définitive.