Loading AI tools
productrice belge De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Jacqueline Pierreux, née le à Braine-le-Comte[1], est une productrice belge.
Naissance | |
---|---|
Nationalité | |
Activité |
Distinction |
Mira d'or () |
---|
Diplômée de l’INSAS (Institut national supérieur des arts du spectacle) section réalisation-production en 1966[2], elle assure la direction de production du film d’André Delvaux « L’homme au crâne rasé ». Elle continue comme directrice de production et à la régie générale sur des courts et longs métrages de réalisateurs belges tels que Luc de Heusch, Henri Colpi, Pierre Laroche ou encore Jean Brismée.
En 1969, elle fonde sa maison de production Pierre Films avec laquelle elle produit jusqu’en 1980 les courts et longs métrages de jeunes réalisateurs belges et notamment « La Fête à Jules » de Benoît Lamy, « La cage aux ours » de Marian Handwerker et « Io sono Anna Magnani » de Chris Vermorcken.
En 1980, Jacqueline Pierreux intègre la Radio-télévision belge de la Communauté française comme déléguée à la production avec pour tâche principale la direction de production des téléfilms produits par la RTBF.
En 1984, elle est nommée responsable des coproductions et en 1991 responsable des productions cinéma où elle reste jusqu’à la fin de sa carrière en 1997. Durant cette période elle produit « Gros Cœurs » de Pierre Joassin, « Le Maître de Musique » de Gérard Corbiau, dont elle est également co-scénariste, et « Blanval » de Michel Mees. Elle coproduit plus de 30 films dont notamment « La vie est belle » de Benoît Lamy et Mwezé Ngangura, « Australia » de Jean-Jacques Andrien, « Nuit et jour » de Chantal Akerman, « Toto le héros » de Jaco Van Dormael, « La partie d’échec » de Yves Hanchar, « La promesse » de Luc et Jean-Pierre Dardenne et « Ma vie en rose » d'Alain Berliner.
Depuis plusieurs années[Depuis quand ?], elle est membre du conseil d'administration du FIFF (Festival International du Film de Namur).
« J’ai d’abord été séduite comme spectatrice, en particulier par les grandes comédies sociales hollywoodiennes et par les sentiments positifs qu’elles procuraient. C’est cela qui m’a encouragé à m’orienter vers ce métier et qui a forgé ma volonté de toujours penser, comme productrice, au plaisir du public[3]. »
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Every time you click a link to Wikipedia, Wiktionary or Wikiquote in your browser's search results, it will show the modern Wikiwand interface.
Wikiwand extension is a five stars, simple, with minimum permission required to keep your browsing private, safe and transparent.