Henri Fursy dirigea aussi plusieurs cabarets, comme gérant ou propriétaire, dont le célèbre Chat noir, qu'il racheta après la mort de Rodolphe Salis en 1897 et rebaptisa par la suite «La Boîte à Fursy»[9],[10]. Il fut aussi parolier pour plusieurs artistes parisiens du début du XXesiècle.
Mort d'une crise cardiaque à l'âge de 63 ans[11],[12], Fursy fut d'abord enterré au cimetière du Montparnasse[13] dans la sépulture familiale Dreyfus, avant d'être réinhumé la même année au cimetière de Saint-Ouen (11ème division) où sa tombe, à l'abandon et très dégradée, est cependant toujours visible.
Le chansonnier Albert Michaut publie après son décès un hommage dans Le Cornet, où il précise que Fursy laisse une jeune veuve[14] et une fillette adoptive[15].
1905: Chansons rosses, 4e série, éditions Paul Ollendorf, Paris.
Mon petit bonhomme de chemin: souvenirs de Montmartre et d'ailleurs, autobiographie d'Henri Fursy, aux éditions Louis Quérelle, Paris, 1928, à lire en ligne sur Gallica
Octave Pradels, Trente ans de café-concert, souvenirs de Paulus (300 illustrations, 60 chansons), Paris, Société d'édition et de publications, 1908, 460p., p.448 [lire en ligne].