Il a vécu à Rennes en Bretagne, de 1968 à 1975. Après le lycée, il exerce à Rennes différents métiers tels que manutentionnaire, aide-soignant, garçon de course, surveillant de lycée, etc.[1]
En 1975, il s'installe en Normandie, où il passe une licence en lettres modernes, tout en étant salarié et dispensé d'assiduité. Il consacre une maîtrise et un DEA au poète Jean Follain[2].
Il est ensuite professeur de Français dans deux collèges en Normandie (collège Pasteur et collège Lavalley à Saint-Lô), puis au lycée Sivard-de-Beaulieu à Carentan (Manche) avant d'être formateur à l'IUFM de Caen. Il termine sa carrière à l'IUT de Caen, antenne de Lisieux.
Il s'installe en Bretagne dans l'Ille-et-Vilaine à l'automne 2020.
Guy Allix est également auteur jeunesse, critique littéraire et chroniqueur; il a tenu une chronique poésie à Ouest-France (pages Manche et Saint-Lô) et à Normandie-Magazine. Il collabore régulièrement aux revues Les Cahiers du Sens et Spered Gouez / L'esprit sauvage.
Il est traduit en italien, breton, arabe, albanais, catalan et roumain.
La Tête des songes, avec un frontispice d'Aldo Guillaume Turin, collection Présence et regards, éditions de l'Athanor, 1re édition 1974, 2e édition 1975.
La Grande Forge, poème affiche, atelier La Feugraie, 1977.
L'Éveil des forges, avec cinq illustrations d'Aldo Guillaume Turin, éditions de l'Athanor 1976.
Mouvance mes mots, avec une préface de Hubert Juin, éditions Rougerie, 1984.
Lèvres de peu suivi de Le Nord avec une préface de Pierre Dhainaut, éditions Rougerie, 1993, (prix Théophile-Gautier 1994).
C'est quand rêve l'heure, Poème-affiche illustré par Janladrou, éditions Motus 1991.
Le Déraciné, éditions René Rougerie, 1997
Solitudes, avec une préface de Bernard Noël, éditions Rougerie, 1999
Le poème est mon seul courage, éditions Le Nouvel Athanor, préface de Jean-Luc Maxence, 2004.
Oser l’amour, Atelier du Groutel, tirage limité, 2007.
Oser l'amour (autres extraits), préface de Marie-Josée Christien, Atelier de Groutel, tirage limité, 2010.
Le Nord, Atelier de Groutel, tirage limité, 2010.
Correspondances, recueil à deux voix avec Marie-Josée Christien, Les Éditions Sauvages (collection Dialogue), 2011.
Survivre et mourir, éditions Rougerie, 2011
Le sang le soir, préface de Lucien Noullez, éditions Le Nouvel Athanor, 2015 (prix François-Coppée de l'Académie française 2016).
Au nom de la terre, préface de Ariane Mathieu, frontispice de J.G. Gwezenneg, Les Editions Sauvages (collection Ecriterres), 2018 (récompense du Prix Paul Quéré 2017-2018)[5], retirage 2021
Intégrale de OSER L'AMOUR suivi de D'AMOUR ET DE DOULEUR, images de Jean-François Hémery, ouvrage bibliophilique, Atelier de Groutel, 2018
Les amis, l'amour, la poésie, poésie et chansons, CD, 2020
Maman, j'ai oublié le titre de notre histoire, récits autobiographiques, Librairie-Galerie Racine, 2008.
Guy Allix, anthologie, présentation par Jean-Luc Maxence, collection «poètes trop effacés», Éditions Le Nouvel Athanor 2008.
Maman, j'ai oublié le titre de notre histoire, suivi de Félix, une voix sans parole, récits autobiographiques, nouvelle édition augmentée, Les Editions Sauvages (collection Phénix), 2016
Entre urgence et humilité, Chiendents no126, Editions du Petit Véhicule, 2018[6]
En chemin avec Angèle Vannier, essai, éditions Unicité, 2018
Je suis Georges Brassens, biographie, écrit avec Michel Baglin, Jacques André éditeur, collection "Je suis...", 2019
Vassal du poème (Eléments pour une poéthique), préface de Marie-Josée Christien, frontispice de Janladrou, coll. La Pensée Sauvage, Les Editions Sauvages, 2020