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peintre, graveur et lithographe français (1845-1918) De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Albert Auguste Georges Sauvage né le à Caen et mort le à Paris est un peintre, illustrateur et graveur français.
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Albert Auguste Georges Sauvage |
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Actif de 1874 à 1913, il fut également décorateur entre autres dans le monde du théâtre.
Georges Sauvage est né le à Caen (Calvados)[1], fils de Léon Pierre Sauvage, peintre en bâtiment, et de Marie Madeleine Françoise Pelfresne. L'un de ses parrains est l'artisan graveur sur or et fabricant de baromètres Auguste Pommereuil[2].
Étudiant aux Beaux-Arts de Paris[3], il débute sous le nom de Georges-Sauvage au Salon de 1874 avec une huile sur toile intitulée L'Hétaïre ; il est mentionné comme élève de Jean-Léon Gérôme et son adresse à Caen est au 15, rue Saint-Romain[4],[5]. Par la suite, il est présent de façon régulière au Salon, puis au Salon des artistes français, dont il devient membre. Il reçoit plusieurs récompenses : pour son Saint Jérôme au désert (1879, huile sur toile, médaille de 3e classe), ainsi que pour ses lithographies et ses eaux-fortes. Il a pour camarade Edmond Yon, dont il fera le portrait. Il est mentionné également comme ayant suivi les cours du peintre Jean-Jules-Antoine Lecomte du Nouÿ. Sa dernière participation au Salon semble dater de 1905 ; son adresse parisienne durant cette période est indiquée au 135 bis, rue de Rome[6]. Dans l'intervalle, il est présent à l'Exposition internationale de Bordeaux (1895)[7].
Installé rue de Vaugirard, impasse Ronsin, Georges Sauvage commence à produire à partir de 1880, des portraits peints pour des notables, des gravures et des dessins originaux, notamment pour l'éditeur Victor Palmé[8] et Paul Ollendorff. Il devient membre-trésorier de la société littéraire rennaise « La Pomme »[9].
En 1883, il devient membre de la Société des beaux-arts de Caen[10]. L'année suivante, il se met à produire des compositions destinées à la scénographie de pièces de théâtre, activité qu'il va poursuivre durant plusieurs décennies. Il illustre également des partitions musicales.
Vers la fin des années 1890, il livre des dessins issus de la scène théâtrale au magazine Le Monde artiste.
Il a une fille, Yvonne, qui, en tant que pianiste, apparaît vers 1900 à la tête d'un quatuor[11].
Domicilié à la fin de sa vie au 80, rue des Martyrs à Paris, il meurt le à l'hôpital Lariboisière dans le 10e arrondissement[12],[13] et est inhumé au cimetière du Montparnasse (14e division)[14].
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