Geoffrey Kelley, né le à Montréal, est un enseignant et homme politique québécois.
Geoffrey Kelley | |
Fonctions | |
---|---|
Ministre responsable des Affaires autochtones Ministre délégué (2005-2007) | |
– (4 ans, 5 mois et 25 jours) |
|
Premier ministre | Philippe Couillard |
Gouvernement | Couillard |
Prédécesseur | Élizabeth Larouche |
Successeur | Sylvie D'Amours |
– (1 an, 7 mois et 16 jours) |
|
Premier ministre | Jean Charest |
Gouvernement | Charest |
Prédécesseur | Pierre Corbeil |
Successeur | Élizabeth Larouche |
– (2 ans et 2 mois) |
|
Premier ministre | Jean Charest |
Gouvernement | Charest |
Successeur | Benoît Pelletier |
Député à l'Assemblée nationale du Québec | |
– (24 ans et 19 jours) |
|
Élection | 12 septembre 1994 |
Réélection | 30 novembre 1998 14 avril 2003 26 mars 2007 8 décembre 2008 4 septembre 2012 7 avril 2014 |
Circonscription | Jacques-Cartier |
Législature | 35e, 36e, 37e, 38e, 39e, 40e et 41e |
Prédécesseur | Neil Cameron |
Successeur | Gregory Kelley |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Montréal (Canada) |
Nationalité | Canadienne |
Parti politique | Parti libéral du Québec |
Enfants | Gregory Kelley |
Diplômé de | Université McGill |
Profession | Enseignant |
modifier |
Il est député de la circonscription provinciale de Jacques-Cartier et, du jusqu'au ministre responsable des Affaires autochtones dans le gouvernement de Philippe Couillard. Il avait déjà occupé ce poste comme ministre délégué de 2005 à 2007, puis comme ministre responsable de 2011 à 2012 dans le gouvernement Charest.
Biographie
Jeunesse et formation
Geoffrey Kelley est détenteur d'un baccalauréat (1974) et d'une maîtrise (1985) en histoire à l'Université McGill. Il a fait ses études collégiales au Collège John Abbott à Montréal. Il est le père du député Gregory Kelley et le beau-père de la députée Marwah Rizqy.
Kelley travaille durant plusieurs années comme enseignant au secondaire, collégial et à l'Université. Il est également directeur des communications et de la recherche pour Alliance Québec de 1986 à 1990.
Carrière politique
Il commence à s'impliquer en politique en tant qu'attaché politique pour Claude Ryan durant le gouvernement Bourassa. Il est finalement directeur de cabinet de Monique Gagnon-Tremblay lorsqu'elle est vice-première ministre et présidente du Conseil du trésor en 1994.
Il se présente, avec succès, à l'élection de 1994 dans la circonscription de Jacques-Cartier. Depuis cette première élection, Kelley remporte des majorités s'approchant des 30 000 voix. Cette majorité est réduite à 18 508 aux élections de 2007, en raison du faible taux de participation, et est restée à peu près semblable aux élections de 2008 et de 2012. En 2014, il retrouve une majorité de près de 30 000 voix.
Pendants ses mandats, il occupe de nombreuses fonctions parlementaires et ministérielles. Il est président de la Commission de l'administration publique de 1999 à 2003 et vice-président de la Commission spéciale sur le nouveau cadre de gestion pour la fonction publique du au . Il est par la suite président de la Commission de l'éducation de 2003 à 2005. Il est nommé ministre délégué aux Affaires autochtones dans le cabinet Charest du au . Il est président de la Commission des affaires sociales de à , et du au . Il est ensuite adjoint parlementaire au ministre de la Sécurité publique de à , président de la Commission de la santé et des services sociaux de à et président de la Commission spéciale sur la question de mourir dans la dignité de à . Il est également adjoint parlementaire à la ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport du au . Il est nommé ministre responsable des Affaires autochtones du au , puis est président du caucus de l'opposition officielle du au . De 2014 à 2018, il est ministre responsable des Affaires autochtones. Geoffrey Kelley ne s'est pas représenté en 2018[1].
Distinctions et prix
Le , il est récipiendaire d'un doctorat honoris causa de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue[1].
Références
Voir aussi
Wikiwand in your browser!
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Every time you click a link to Wikipedia, Wiktionary or Wikiquote in your browser's search results, it will show the modern Wikiwand interface.
Wikiwand extension is a five stars, simple, with minimum permission required to keep your browsing private, safe and transparent.