Gail Jones est née à Harvey en Australie-Occidentale. Docteur ès lettres, elle a longtemps enseigné comme professeur associé au département de littérature de University of Western Australia, à Perth, et est aujourd'hui professeur à Sydney, au sein du comité de recherche sur l'écriture et la société (Writing and Society Research Group) de University of Western Sydney. Elle partage son temps entre l'écriture, la recherche et l'enseignement universitaire (écriture littéraire, théorie littéraire, littérature et littérature postcoloniale, cinéma et cultural studies).
Gail Jones est l'auteur de quatre romans: Sorry (2007), paru en français sous le titre Pardon (Mercure de France, 2008)[1], Dreams of Speaking (2006), Sixty Lights (2004) et Black Mirror (2002).
Ses premiers livres publiés ont été des recueils de nouvelles: Fetish Lives (1997); The House of Breathing (1992).
Elle est également l'auteur d'un essai, The piano (2007), sur le film homonyme de Jane Campion.
Romans
Sorry (Harvill Secker, Random House UK, Londres, 2007; Vintage Books, Random House Australia, Sydney, 2007)