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boitier multimedia fourni par Free à ses abonnés à Internet, TV et téléphone. De Wikipédia, l'encyclopédie libre
La Freebox (en anglais : [ˈfɹiːˌbɑks]) est un appareil électronique fourni par le fournisseur d'accès à Internet français Free à ses abonnés haut débit et très haut débit, c'est également la première box à abonnement « triple play » en France. La Freebox a connu plusieurs versions et sous-versions différentes depuis son premier lancement.
Développeur | |
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Fabricant |
Free SAS |
Date de sortie |
Type | |
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Média |
Internet, télévision, téléphone, jeux vidéo, |
Unités vendues |
Avec abonnement triple play Free |
Environnement | |
Connectique |
Contrôleurs |
Télécommande Manette de jeu Applications dédiées |
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Services | |
Compatibilité |
Applications Elixir, divers formats son et vidéo |
Cet appareil sert principalement de modem xDSL ou FTTH, mais il est défini par la société Free comme « un appareil électronique servant d'interface entre l'équipement informatique et/ou audiovisuel de l'usager et le réseau de Free ». En ce sens, il ne sert pas seulement d'interface entre un ordinateur et l'Internet, mais permet aussi à Free de proposer des services ajoutés utilisant le réseau, comme la télévision ou la téléphonie sur IP, trio que l'on connaît sous l’appellation « triple play ». La Freebox peut également faire office de routeur et de point d'accès sans fil Wi-Fi. La Freebox est définie comme l’équipement terminal du réseau ; elle demeure la propriété de Free et n'est que prêtée aux abonnés.
La Freebox a été conçue par Sébastien Boutruche, responsable recherche et développement Freebox, avec son équipe, d'après le concept formulé par Xavier Niel et Rani Assaf en 2001[4],[5].
La Freebox est une première mondiale, elle est la première Box Triple Play[6], c'est-à-dire le premier terminal réseau offrant accès simultanément à Internet, à la télévision et au téléphone[7]. Depuis, de nombreux fournisseurs d'accès français ont donné à leur modem un nom se terminant par « box », imitant ainsi le nom de la Freebox.
Lors d'un abonnement haut débit ou très haut débit Free, une Freebox Server est remise à l'abonné. La partie Server n'est pas vendue, elle est une partie intégrante du réseau Free et agit en tant que point de livraison du service. Chaque Freebox en zone dégroupée est configurée pour n'être opérationnelle que sur l'IP client : l'adresse MAC de la carte réseau lui sert à s'identifier sur son DSLAM, qui l'autorise uniquement s'il y a correspondance entre l'adresse IP de connexion et l'adresse MAC dans la base client Free. En zone non dégroupée par Free, l'adresse MAC de la Freebox sert d'identifiant de connexion. Selon la zone de l'abonné xDSL la Freebox peut être :
Free permet à ses abonnés de passer d'un forfait à l'autre et donc d'un échange de matériel en contrepartie d'une compensation financière fixe (sauf cas particuliers), de l'acceptation des nouvelles conditions générales et d'une nouvelle grille tarifaire.
L'ancienneté était un paramètre permettant aux abonnés Freebox de diminuer la compensation financière dans le cas d'une résiliation en fonction de la durée de l'abonnement, mais à la suite d'une plainte déposée en 2009 par l'UFC-Que Choisir, cette donnée a disparu en avril 2011 pour laisser place à une compensation financière d'un montant fixe[8].
Cependant, le « player Devialet » de la Freebox Delta ne se loue pas ; il est possible de l'acheter à 480 €, ou à 10 € par mois pendant quatre ans[9].
En octobre 2023, Free commercialise trois Freebox : la Freebox Révolution, la Freebox Pop et la Freebox Delta. Selon un article de 60 Millions de consommateurs[10], Free se positionne alors en deuxième position derrière Orange dans le classement des prix moyens des opérateurs box (à 42 €/mois en moyenne, prix lissé sur cinq ans).
Type de Freebox | Prix 1re année | Prix 2e année | Engagement |
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Freebox Révolution Light | 29,99 € | identique | aucun |
Freebox Pop | 29,99 € | 39,99 € | aucun |
Freebox Ultra Essentiel | 39,99 € | 49,99 € | aucun |
Freebox Ultra | 49,99 € | 59,99 € | aucun |
La version est indiquée en dessous ou à l'arrière de la Freebox (en italique dans les tableaux).
La première Freebox est la première « box » xDSL au monde permettant d'avoir accès au triple play[12].
Les Freebox v1 et v2 ne sont plus distribuées et plus aucun abonné n'en dispose officiellement.
Version | Date de sortie | Changements par rapport à la version précédente |
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Freebox version 1 FBX-ADSL01 |
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Freebox version 2 FBX-ADSL02 |
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La Freebox v3 apporte une refonte du design (dont celui de la télécommande) avec une réduction importante du volume de la Freebox et l'ajout d'un affichage à LED sur la face avant permettant d'avoir l'heure ou d'autres informations (informations sur la connexion ou canal de la chaîne de télévision par exemple) que la v4 conserve.
Les Freebox v3 et v4 ne sont plus distribuées, les v4 peuvent être encore présentes chez certains abonnés non dégroupés mais une procédure d'échange gratuite pour un modèle plus récent est mise en place depuis mi-2013.
Version | Date de sortie | Changements par rapport à la version précédente |
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Freebox version 3 FBX-ADSL03 |
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Freebox version 4 (A) FBX-ADSL04 |
fin | |
Freebox version 4 (B) FBX-ADSL04B |
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Freebox version 4 (C) FBX-ADSL04C |
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Freebox version 4 (R) FBX-ADSL04R |
entre avril et |
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À partir de sa cinquième version, la Freebox est divisée en deux boîtiers distincts :
Les deux boîtiers sont reliés entre eux par câble Ethernet ou par Wi-Fi pour les premières versions des Freebox v5 HD et Ô HD, puis via Ethernet ou CPL ensuite.
Le boîtier réseau Freebox v5 reprend le même design que les Freebox v3 et v4 mais la couleur est passée au gris-bleu argenté. Il était distribué aux abonnés ADSL (et VDSL) ayant choisi l'offre de base, en zone non dégroupée (sans boîtier TV) et aux abonnés de la Fondation Free. Sous une apparence différente, ce boitier est également distribué aux abonnés de la marque Alice Box Initial.
Le boîtier réseau Freebox Ô est identique à la Freebox v5 hormis la connectique, elle arrive en 2008, en même temps que le lancement des offres commerciales fibre optique. Il était distribué aux abonnés fibre avec l'offre de base.
Le boîtier réseau Freebox Crystal 1 reprend la philosophie épurée des boîtiers de la Freebox v6 Révolution dans un coloris blanc avec les composants de la Freebox v5. Il était distribué aux abonnés ADSL et VDSL ayant choisi l'offre Crystal qui remplaçait l'offre de base ADSL, et est dorénavant disponible uniquement pour les abonnés en zones non dégroupées et dégroupées.
Version | Date de sortie | Changements par rapport à la version précédente |
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Freebox version 5 (00) FBX-ADSL05-00 |
Réorganisation totale de la Freebox :
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Freebox version 5 (01) FBX-ADSL05-01 |
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Freebox version 5 (02) FBX-ADSL05-02 |
Du fait de la fabrication en Chine, contrairement aux anciennes versions de Freebox fabriquées en France, les finitions ont changé[15] :
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Freebox version 5 (A) F-ADSL05A |
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Freebox version 5 (B) F-ADSL05B |
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Freebox version 5 (C) F-ADSL05C |
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Freebox Crystal 1[16] F-ADSL05R |
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Freebox Ô 1 (A) nom de code Ophélie F-OPT01A-0-MN |
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Freebox Ô 1 (B) F-OPT01B 0-SR |
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Freebox Ô 2 (A) F-OPT02A 0-RN |
Le boîtier multimédia Freebox HD arbore un design de parallélépipède rectangle complètement nouveau. Il était distribué aux abonnés ADSL ayant choisi l'offre de base en zone dégroupé et aux abonnés de la Fondation Free. Il était aussi distribué aux abonnés à l'option Multi-TV, même ceux possédant une Freebox Révolution.
Le boîtier multimédia Freebox Crystal 2 est identique au boîtier réseau Freebox Crystal 1 qui reprend la philosophie épurée des boîtiers de la Freebox v6 Révolution dans un coloris blanc avec les composants de la Freebox HD. Il était distribué aux abonnés ADSL ayant choisi l'offre Crystal qui remplaçait l'offre de base ADSL. Il est actuellement[Quand ?] distribué aux abonnés ADSL situés en zone non dégroupée.
Version | Date de sortie | Changements par rapport à la version précédente |
---|---|---|
Freebox HD version 1 FBX-HD01 |
Réorganisation totale de la Freebox : présence de deux boîtiers reliés par Wi-Fi MIMO ou Ethernet. Celui-ci totalement nouveau (notamment au niveau du design) reprend uniquement les fonctions télévisuelles de la version 4, en y ajoutant les fonctionnalités suivantes :
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Freebox HD version 2 FBX-HD02-00 |
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Freebox HD version 2.2 F-HD01A F-HD01B F-HD01C 0-LR F-HD02A F-HD02B |
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Freebox HD version 3 F-HD02A-TN F-HD02A-0-TN F-HD02C-0-TN F-HD02D-0-TN F-HD02E-0-TN |
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Freebox Crystal 2[16] |
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Le , Xavier Niel a dévoilé la nouvelle mouture de la Freebox : la version 6 dite « Révolution ». Ce boîtier, esthétiquement conçu par Philippe Starck, offre de nombreuses nouveautés dont un disque dur de 250 Go, un lecteur de DVD et de Blu-ray 3D ready (uniquement sur sortie hdmi et péritel depuis le firmware 1.1.0)[20], un Tuner TNT-HD, le son 7.1, une télécommande à liaison radio dotée d'un gyroscope et d'un accéléromètre, un commutateur réseau Ethernet gigabit, le WiFi 802.11n à 450 Mbit/s. Le tout architecturé autour d'un SoC Intel CE4150 (Sodaville)[21],[22], soit un processeur Intel Atom à 1,2 GHz et une carte graphique PowerVR (licenciée sous l'appellation Intel GMA 500) à 400 MHz pour le boîtier Player.
Basée sur le logiciel libre VLC, la prise en charge de la lecture des disques Blu-Ray n'est pas complète. En fonction du niveau de protection BD+ ou Cinavia, les disques peuvent ne pas être lus par le Player de la FreeBox[23],[24],[25],[26].
Les boîtiers Server et Player sont communs aux abonnés xDSL et Fibre. Ils sont distribués aux abonnés ayant choisi l'offre Révolution.
La Freebox Révolution abandonne l'affichage de messages comme le message « Rock'n'Roll » qui s'affichait, soit sur l'écran de télévision pour les versions 1 à 4 soit sur l'afficheur frontal de la Freebox HD ou même un simple « Rock » sur l'afficheur frontal de la Freebox Ô, tout cela pour signifier que la partie TV des box est prête à être utilisée. Elle abandonne aussi le message qui s'affichait lors de certains passages au nouvel an sur les afficheurs frontaux des versions 3 à 5.
Le , à l'occasion d'une présentation au siège d'iliad, Xavier Niel annonce une nouvelle Freebox baptisée « Freebox Mini 4K »[27], afin de remplacer la Freebox Crystal. La particularité de cette nouvelle Freebox est sa petite taille comparée à la Freebox Revolution, ainsi que la prise en charge de la 4K et le système d'exploitation Android TV.
Le 3 novembre 2022, Free met fin à sa Freebox Mini 4K après quatre-vingt-douze mois de commercialisation[28].
Les boîtiers réseaux de la Freebox v6 Révolution et Mini 4K sont nommés « Freebox Server ».
Version | Date de sortie | Caractéristiques techniques et évolutions par rapport à la version précédente | Système d'exploitation |
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Server v6 Révolution |
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Server v6 Révolution, version r2 |
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Server v6 Révolution, version r3 | |||
Server Mini 4K, versions r1 et r2 |
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Les boîtiers multimédia de la Freebox v6 Révolution et Mini 4K sont nommés « Freebox Player ».
Version | Date de sortie | Caractéristiques techniques | Système d'exploitation |
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Freebox Player v6 |
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Le Freebox Player v6 tourne sous un système d'exploitation basé sur Linux développé par Free. Il inclut de nombreuses fonctionnalités "Smart TV", dont un navigateur web, une app webradio et un lecteur multimédia réseau compatible avec de nombreux formats audio et vidéo. Des mises à jours ont été déployées par Free ajoutant de nombreux services au fil du temps, dont YouTube, Twitch, Netflix, Deezer, Qobuz et d'autres. Freebox Player est compatible avec le protocole AirPlay d'Apple à travers une implémentation open-source, ce qui permet de streamer de la musique, des vidéos ou de faire de la recopie d'écran à partir d'appareils Apple. Une boutique d'applications, le FreeStore, est également disponible, bien que la quantité d'applications présentes soit relativement faible.
Version | Date de sortie | Caractéristiques techniques | Système d'exploitation |
---|---|---|---|
Freebox Mini 4K
Player r1 F-BG01B |
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Freebox Mini 4K
Player r2 F-BG01C |
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Le Player Freebox Mini 4K tourne sous Android TV avec une surcouche Free ajoutant des paramètres et services supplémentaires. Il est certifié par Netflix depuis décembre 2019.
Initialement prévue pour 2015, la version 7 de la Freebox a subi d’année en année de multiples reports, avant d'être finalement présentée le (pour une disponibilité client avant Noël 2018), avec près de trois années de retard sur le planning initial. Alors que les rumeurs allaient bon train sur les caractéristiques de cette nouvelle box (technologie G.fast[36], déclinaison de la box en deux modèles, etc.), Xavier Niel a dévoilé la V7, déclinée en deux modèles : la Freebox One et la Freebox Delta[37].
La Freebox One consiste en un seul boitier intégrant le matériel Player et Server qui doit être branché à la fois au raccordement Fibre/xDSL et au téléviseur. Le serveur intégré au boitier Freebox One est identique au Server Mini 4K, lui même basé sur le Server V6 de l'offre Revolution. Quant à la partie Player, le matériel est globalement identique à celui du Freebox Player Devialet, la connectique et les fonctionnalités en rapport avec le système audio Devialet en moins.
Le , après dix-huit mois de commercialisation, la Freebox One n'est plus commercialisée et n'est donc plus disponible sur le site de Free, elle est finalement remplacée par la Freebox Pop[38],[39].
L'offre inclut un abonnement Netflix Essentiel.
Version | Date de sortie | Caractéristiques (Server) | Caractéristiques (Player) | Systèmes d'exploitation |
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Freebox One r1 | 4 décembre 2018 |
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L'offre Freebox Delta est constituée initialement :
Un disque dur 1 To ainsi qu'un un pack sécurité composé d'une télécommande, d'un détecteur d'ouverture, d'une caméra de sécurité, d'un détecteur de mouvement[40] sont proposés en option lors de la souscription ou sur la boutique de l'espace abonné. L'offre inclut les services Netflix Essentiel, Amazon Prime et TV by Canal.
Une offre Freebox Delta S est également disponible, celle ci faisant l'impasse sur les services TV ainsi que le Freebox Player Devialet, bien qu'il soit possible pour les abonnés aux offres Freebox Mini 4K et Révolution d'y migrer en gardant son Player actuel ainsi que l'option Freebox TV.
À partir du [41], à la suite de la présentation du nouveau Freebox Player v8 (Player Pop), Free élargit son offre Freebox Delta en proposant le Player Pop à la place du Player Devialet. Un des deux boîtiers CPL de l'offre est remplacé par un répéteur Wi-Fi. Le Player Pop est relié au Freebox Server en Wi-Fi 5, ou bien via une liaison Ethernet 100 Mbps.
Version | Date de sortie | Caractéristiques | Système d'exploitation |
---|---|---|---|
Freebox Server V7 r1 | 4 décembre 2018 |
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Le Freebox Server V7 tourne sous Freebox OS 4, système d'exploitation basé sur Linux, déjà utilisé pour le Freebox Server V6. Il possède néanmoins quelques nouveautés qui lui sont exclusives dues à son matériel plus récent, comme la capacité de créer des machines virtuelles, le RAID (0, 1, 5 ou 10) ou la gestion domotique.
Version | Date de sortie | Caractéristiques | Système d'exploitation |
---|---|---|---|
Freebox Player Devialet/v7 R1 | 4 décembre 2018 |
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Le Freebox Player Devialet est doté d'un nouveau système d'exploitation (bien que basé sur celui du Freebox Player V6) possédant une nouvelle interface et de nouveaux services, dont Spotify Connect, Alexa, Ok Freebox, un récepteur audio Bluetooth, l'application Amazon Prime Video et autres. Il reste compatible avec les applications développées pour le Freebox Player V6, et incorpore la plupart des fonctionnalités et services existants de ce précédent modèle. Le nouveau Player est également capable de lire des vidéos en 4K HDR via le lecteur multimédia ou les services de VOD et la compatibilité avec les formats audio Dolby Atmos et DTS, la compatibilité eARC disponible depuis le . Le design des Freebox One et Delta a été conçu par l'Anglais Jasper Morrison[42].
Au niveau des performances, la Freebox V8 (Pop) propose un débit maximal potentiel de 5 Gb/s en descendant et 700 Mb/s en montant, et est accompagnée d'un répéteur Wi-Fi[43]. Le boitier TV de la Freebox Pop V8 tourne sous Android TV 9 et a accès ainsi aux applications du Google Play Store. OQEE by Free permet par ailleurs d'accéder à plusieurs centaines de chaînes. Les services Canal+, Netflix et Amazon Prime Video sont par ailleurs accessible sur cette Freebox[44].
La Freebox Pop remplace son prédécesseur qui est donc la Freebox One[45].
Version | Date de sortie | Caractéristiques | Système d'exploitation |
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Freebox Pop Server | 7 juillet 2020 |
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Version | Date de sortie | Caractéristiques | Système d'exploitation |
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Freebox Pop Player | 7 juillet 2020 |
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Une nouvelle Freebox v9 est prévue pour début 2024. Xavier Niel, lors de la 18ème édition de la journée des communautés Free, avait annoncé la sortie d'une nouvelle Freebox v9 pour 2023[47]. Mais elle a finalement été repoussée à une date ultérieure en attendant que le Wi-Fi 7 soit commercialisé. La commercialisation devrait avoir lieu 30 janvier 2024[48],[49],[50]. Nommée Freebox Ultra, elle a été annoncée en matinée avec son offre allégée nommé Freebox Ultra Essentiel, pour une commercialisation dans l'après-midi.
Version | Date de sortie | Caractéristiques | Système d'exploitation |
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Freebox Ultra Server | 30 janvier 2024 |
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Freebox OS est un système d'exploitation basé sur Linux développé par Free présent sur les Freebox Server v6 et ultérieurs. Il inclut notamment une interface de configuration web avancée permettant de modifier les paramètres du routeur (DHCP, IPv4, IPv6, NAT/DMZ), de la carte réseau WiFi et Ethernet, de gérer son réseau CPL, les fonctions téléphoniques/DECT, les partages réseau et le stockage.
Freebox OS inclut de nombreuses fonctionnalités, dont une seedbox, un serveur et client VPN, des fonctionnalités NAS avec partages DLNA, SMB 1, AFP et FTP, le contrôle parental et filtrage MAC, un client Freebox TV, un bloqueur de pubs et sur certains modèles de Freebox Server il permet de créer des machines virtuelles et possède des fonctionnalités domotiques.
Les deux premières versions de la Freebox ont le même design et sont constituées d'un boîtier relativement imposant, ayant deux diodes frontales pour afficher son état de fonctionnement. La seule différence entre les deux modèles était l'alimentation interne ; le circuit basse tension était identique.
La Freebox v3 dotée d'un boîtier entièrement nouveau est plus petite, plus légère, de couleur noire et vue du dessus a la forme d'un coquillage. Elle dispose d'un petit afficheur frontal quatre fois sept segments. La Freebox v4, apparue à la rentrée 2004, conserve le même boîtier.
La Freebox version 5, sortie en 2006, se compose de deux modules séparés :
Les premières versions de la Freebox v5 comportent trois antennes Wi-Fi à l'arrière de chacun des deux boîtiers. Les versions suivantes n'en comportent plus que deux, puis aucune.
La version Révolution de la Freebox, sortie début 2011, se compose toujours de deux modules qui ont tous deux une apparence quasiment jumelle réalisée par Philippe Starck, carrée, noire, posée sur un port USB frontal et ayant une suite de mots découpée en guise de grille d'aération recouvrant le dessus :
Free propose un pied circulaire à la vente pour pouvoir disposer une Freebox à la verticale ou de travers.
La Freebox dispose d'un système d'exploitation basé sur le noyau Linux utilisant BusyBox qui est administrable à distance par Free, tout en fournissant des services supplémentaires « à la carte ».
Les Freebox v1 et v2 s'articulent autour du processeur de communication 32 bits RC32355. Presque toutes les Freebox v1 ont été remplacées par des V2 pour cause de problèmes électriques (le transformateur est interne).
La quatrième version comporte un nouveau chipset ADSL compatible ADSL 2+, un support de la norme Wi-Fi 802,11 g pour les versions v4 C et v4 R. La dernière évolution de la Freebox v4 est sortie en version « R », ceci signifiant qu'elle est aussi compatible nativement avec le Re-ADSL 2.
La Freebox v5 possède, dans le boîtier télévision, un disque dur interne de 40 Go utilisables (jusqu'à 160 Go matériellement présents) permettant l'utilisation de la Freebox comme un magnétoscope numérique, disposant d'un décodeur TNT. La puce de décodage vidéo est une Sigma Designs SMP8635 fonctionnant à 300 MHz.
La Freebox Révolution dispose d'un disque dur qui peut contenir 250 Go, et qui se trouve dans le boîtier Server. Le processeur du boîtier Server repose sur une architecture ARM9 à 1,2 GHz, et le boîtier Player dispose d'un SoC Intel CE4150[21],[22], reposant sur une architecture x86 à 1,2 GHz et une carte graphique Intel GMA 500 à 400 MHz (dérivée d'une PowerVR SGX535). Le boîtier Server contient 512 Mo de mémoire vive, et le boîtier Player, 1 Go, de type DDR3 SDRAM.
La Freebox Mini 4K, quant à elle, reprend pour la partie serveur le même matériel que le Freebox Server v6 initial, mais sans inclure de disque dur. La Femtocell intégrée est dotée d'un contrôleur Broadcom BCM61650, compatible 3G+ 21 Mbit/s en téléchargement et 5,76 Mbit/s en upload, accompagné par 256 Mo de RAM DDR2. Du côté du boîtier Player, on trouve un processeur Broadcom BCM7252 A15 double cœur 1,5 GHZ avec 2 Go de RAM DDR3. Il y a aussi une mémoire flash de 8 Go (3 Go dédié pour le système d'exploitation) ainsi qu'une puce Wi-Fi 802.11n et Bluetooth 4.0. Il y un port USB et un slot SD en façade avant (micro-SD pour la v2).
Connecteurs | v1 v2 |
v3 | v4 | v5 | v6 | |||||||||
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HD | Crystal | Révolution | Mini 4K | |||||||||||
v5 | HD | Ô | 1 | 2 | Server | Player | Server | Player | ||||||
Alimentation électrique | IEC C7 230 V AC / 5,5 mm 12 V DC | 1 / - | - / 1 | - / 1 (ou 9 V DC) |
- / 1 | |||||||||
Internet | xDSL | RJ-11 FXS | 1 | - | 1 | - | 1 | - | 1 | - | ||||
FTTx | SC (SFF) / Port SFP | - | 1 / 1 | - | (1 [a]) / 1 | 1 / 1 | ||||||||
Ethernet | RJ-45 | 100BASE-T / 1000BASE-T | 1 / - | 1 + 4 / - | 1 / - | - / 4 | 1 + 4 / - | 1 / - | - / 4 | - / 1 | - / 4 | [51]1 / - | ||
Wi-Fi | Fente PCMCIA ou CardBus | - | 1 | - | ||||||||||
RP-SMA (antennes) | - | 3, 2 ou 0 | - | |||||||||||
Femtocell | Slot Pci express x1 | - | 1 | - | 1 | - | ||||||||
Téléphone(s) | RJ-11 | 2 | 1 | - | 1 | - | 1 | 1 | ||||||
Ordinateur | USB type B | 1 | - | |||||||||||
Stockage | USB type A / eSATA | - | 2 / - | - | 2 / - | 2 / 1 | 3 | |||||||
Stockage | SD | - | 1 (v1) | |||||||||||
Stockage | micro-SD | - | 1 (v2) | |||||||||||
Imprimante | USB type A | - | 1 | - | 1 | - | (2) [b] | - | (2) [b] | - | ||||
Sorties Audio / Vidéo numérique |
HDMI (norme) |
- | 1 (1.1) |
- | 1 (1.1) |
- | 1 (1.3a) |
- | 1 (2.0) | |||||
S/PDIF | RCA / TosLink | 1 / - | - / 1 | - | 1 / 1 | - / 1 | 1 / 1 | - / 1 | 1 / - | |||||
Sorties Audio / Vidéo analogique |
Péritel | standard / mini DIN | 1 / - | - / 1 | - / 1 | - | ||||||||
S-Vidéo / RCA vidéo | - | - | 1 / 1 | - | 1 / 1 | - | ||||||||
RCA audio | gauche / droite | 1 / 1 | (1 / 1) [c] | (1 / 1) [c] | (1 / 1) [c] | |||||||||
Jack audio | entrée / sortie | - | - | 1 / 1 | 1 / 1 | |||||||||
Entrées Audio / Vidéo analogique |
S-Vidéo / RCA vidéo | 1 / 1 | - | - | - | |||||||||
RCA audio | gauche / droite | 1 / 1 | ||||||||||||
Tuner TV | IEC 169-2 9,52 mm |
entrée / sortie | 1 / 1 ou 0 / 0 |
- | 1 / 1 | 1 / - | 1 / - | |||||||
Non utilisés | Ultra-ATA / SATA | 1 / - | - / 1 | - | - | - | ||||||||
RJ-11 (modem V.22bis) | - | 1 | 1 |
a. Le port SFP sert à enficher un transceiver SFP, livré seulement aux abonnés fibre optique v6, permettant de brancher la fiche SC de la fibre optique. La Freebox Ô intégrait déjà en son sein un transceiver SFP interne relié au connecteur SC (SFF) disponible, le port SFP ne servant qu'à la potentielle évolution de ce boîtier.
b. Les connecteurs USB du stockage servent aussi à brancher les imprimantes.
c. Adaptateur livré avec le boîtier, à brancher sur le connecteur mini DIN 9-pin vers Péritel (et deux RCA audio gauche/droite suivant le boîtier).
La Freebox permet d'accéder à Internet. Les débits maximum de la connexion dépendent, entre autres, de la version de la Freebox utilisée :
La Freebox dispose depuis la v3 d'un routeur qui fait office de :
Le routeur des v3, v4 et v5 est administrable depuis une console de gestion via une page internet du site de Free dans le compte utilisateur de l'abonné. La Freebox rapatrie les paramètres du routeur lorsqu'elle se synchronise au DSLAM, qui oblige à redémarrer la box après chaque série de changement pour qu'ils soient pris en compte, mais ce système permet de rester administrable à distance même sans que la Freebox concernée ne soit connectée.
La console d'administration de la Freebox Révolution Server permet de surveiller l'activité réseau, le paramétrage du routeur étant toujours réalisé via la console de gestion. Cette console web du boîtier Server permet aussi le paramétrage du NAS et l'utilisation de la seedBox. Elle est accessible directement par l'adresse IP locale de la Freebox.
Bien que la Freebox soit souvent présentée comme orientée vers les technophiles, le routeur souffre depuis ses débuts d'une grave limitation : contrairement aux offres concurrentes, il est impossible d'y définir des routes personnelles, ce qui rend impossible l'installation dans le réseau local d'un serveur VPN personnel en mode tunnel. Free offre un ersatz de contournement dans son routeur V6 en mettant à disposition des abonnés un serveur VPN intégré. Cette limitation complexifie également la possibilité d'avoir un réseau local complexe nécessitant du routage et/ou des VLANs.
Les Freebox v1 et v2 ne disposent pas de moyen intégré pour supporter le protocole Wi-Fi.
La Freebox v3 est la première version de la Freebox à pouvoir émettre du Wi-Fi, néanmoins, pour cela elle nécessite l'ajout d'une carte PCMCIA Wi-Fi 802.11b (11 Mbit/s maximum théorique), vendue par Free, pour activer cette fonction (chipsets : Prism 2/2.5, broadcom 43xx, Ralink RT2500, Orinoco et d'autres…). Certaines cartes équivalentes du commerce peuvent être également utilisées. Une fois la carte insérée dans la Freebox, l'utilisateur doit activer la fonction via sa console de gestion sur le site web de Free.
La Freebox v4 utilise le même système que la Freebox v3, cependant elle accepte aussi les cartes Wi-Fi 802,11 g (54 Mbit/s maximum théorique) depuis la v4C d'octobre 2004 dont le port PCMCIA a été remplacé par un port CardBus complètement rétrocompatible.
Les Freebox v5, Ô et HD utilisent une carte Mini PCI intégrée, comportant un chipset du constructeur Ralink.
Il existe deux types de Wi-Fi équipant ces Freebox suivant ses révisions :
Les Freebox v6 Révolution récentes (R3) sont compatibles avec le Wi-Fi 802.11ac (867 Mbit/s) grâce à une carte mini PCI Express Marvell 88W8366 (capable d'émettre aussi sur la fréquence de 5 GHz). Avant la mise à jour 2.1.0 en 2014, les Freebox V6 Révolution émettaient en 802.11n MIMO 3x3 seulement sur la bande de fréquence de 2,4 GHz (450 Mbit/s maximum théorique). Cette carte Wi-Fi permet aussi le fonctionnement en mode WDS pour l'extension de réseau mais à sa sortie, le firmware de la Freebox n'implémente pas cette fonctionnalité.
FreeWiFi est un réseau Wi-Fi communautaire réservé aux abonnés disposant d'une Freebox et qui acceptent de partager leur connexion avec les autres abonnés dégroupés Free ayant eux aussi activé cette fonctionnalité[61]. Celle-ci est réservée aux abonnés Free dégroupés en ADSL/VDSL et ceux qui sont fibrés, hors zones fibrées moyennement denses (ZMD).
La mise en service se fait par l'interface de gestion de FreeWifi[62] depuis sa propre Freebox. Il est nécessaire, par mesure de sécurité, de recopier un code s'affichant sur l'afficheur de la Freebox. L'utilisateur reçoit ensuite les identifiants lui permettant d'utiliser le service[61].
En octobre 2010, une société montpelliéraine, Osmozis, qui exploitait le nom de domaine « Freewifi.fr » depuis 2005 pour ses bornes de communication sans fil, a été condamnée à transférer gratuitement ce nom de domaine à Free et à lui verser 25 000 euros d'indemnités car Free est une société active depuis 1999 sur le marché français des communications électroniques. Par cette jurisprudence, l'ensemble des marques en France comprenant le terme « Free » sont réservées à Free, tant qu'elles sont en rapport avec son domaine d'activités[63]. Par exemple, Rent-A-Car n'a pas été inquiété pour sa marque de location de voitures Freeloc+, tout comme des marques d'opticiens à bas coûts commençant par « Free ».
Le 6 janvier 2021, Free annonce l'arrêt définitive du service FreeWiFi, seul FreeWiFi_secure reste cependant en service pour les abonnées de Free Mobile[64].
Les Freebox v5 livrées à partir du et les Freebox Révolution sont équipées de deux FreePlugs permettant de relier les deux boîtiers par l'intermédiaire d'une connexion CPL. Le boîtier HD de la Freebox v5 n'est depuis plus équipé de module Wi-Fi.
Les FreePlugs sont conçues selon la norme HomePlug AV qui n'est pas compatible avec d'autres boîtiers 85 Mbit/s plus anciens (distribués par Free ou d'autres marques), mais ils peuvent cohabiter sur le même réseau électrique, permettant de créer des réseaux indépendants. Autrement dit, des boîtiers FreePlug ne communiquent ainsi qu'entre eux en parallèle d'un autre réseau CPL, exception faite des FreePlugs de la Freebox v5 qui sont compatibles, à condition de respecter à la lettre la procédure d'association : Il est nécessaire de brancher un FreePlug v6 en tant que no 1 (« Émetteur sur le Server », c'est-à-dire branché sur le Freebox Server), pour lui ajouter ensuite plusieurs FreePlugs v6 ou v5. Cette configuration est notamment utilisée pour l'option deuxième télévision des abonnés ayant une Freebox v6 et dont le boîtier pour la seconde télé est un boîtier de Freebox v5.
Il est possible de brancher un téléphone classique pour disposer d'une ligne téléphonique VoIP. De nombreuses fonctions téléphoniques sont disponibles sur cette ligne sans surcoût : double appel, Ring Back Tone, etc.. Malheureusement pour les utilisateurs, le transfert d'appel, longtemps inclus aussi, est facturé à la minute depuis février 2011.
Depuis la Freebox v6 une station de base DECT (CAT-iq), gérant jusqu'à cinq combinés, est intégrée au boîtier Server, grâce à laquelle il n'est plus obligatoire de brancher physiquement les combinés téléphoniques à la norme DECT à l'arrière de la Freebox, ni même de disposer d'une base DECT. L'acquisition de combinés dit « supplémentaires » seuls est théoriquement possible.
L'équipementier qui fournit à Free sa plate-forme de VoIP est Cirpack. La signalisation des appels s’effectue en MGCP.
Tous les abonnés Freebox bénéficiaient gratuitement d'un compte SIP via leur interface de gestion qui leur permettait de bénéficier des appels gratuits vers les fixes et mobiles de particuliers en France depuis n'importe quelle connexion Internet dans le monde (via un logiciel ou matériel compatible SIP tel un téléphone mobile ayant accès à Internet via Wi-Fi ou 3G/4G). Pour des raisons de sécurité les appels via le compte SIP sont limités aux seuls appels vers les fixes et mobiles en France[réf. souhaitée]. Service abandonné fin décembre 2018.
De plus, les possesseurs d'une Freebox v5 peuvent utiliser la technologie SIP sur le réseau Freephonie, et ainsi profiter de la tarification identique à l'utilisation normale à partir de chez soi et ce aussi bien pour les appels sortants qu'entrants, en ayant un téléphone Wi-Fi compatible SIP et en téléchargeant les certificats WPA Entreprise disponibles sur sa console de gestion.
Pour utiliser le réseau Wi-Fi Freephonie, Free commercialisait aussi deux téléphones VoIP, le « white » Wi-Fi (d' à ) et le « Black » hybride Wi-Fi/GSM (d' à ). Le téléphone « Black » hybride permettait aussi d'utiliser le réseau classique de téléphonie mobile (GSM, GPRS, 3G…) de votre opérateur. La technologie UMA, qui peut permettre la continuité d'une conversation en changeant de réseau (passer du GSM au Wi-Fi ou inversement), n'est pas disponible avec l'offre de Free.
Free propose un service de télévision nommé Freebox TV qui est accessible via la Freebox aux abonnés dégroupés techniquement éligibles. Ce service était compris dans les forfaits internet de Free depuis ses débuts, mais depuis le 2011, il est soumis à un abonnement de 1,99 €.
Ce service comporte plus de quatre cents chaînes dont près de deux cents incluses dans le forfait de base, plusieurs services de vidéo à la demande, un service de télévision de rattrapage, un EPG, plus de soixante-dix Radio FM et plus de mille deux-cents webradios.
Les internautes utilisant une Freebox Révolution ont également la possibilité de regarder l'ensemble des chaînes diffusées sur Freebox TV sur divers autres équipements connectés au réseau privé diffusé par une Freebox (ordinateurs, téléphones et tablettes multimédia), tandis que pour les précédentes versions de Freebox, quelques chaines, notamment des groupes TF1 et M6, sont absentes.
Il est également possible de s'abonner aux offres commerciales du groupe Canal+ tels Canalsat ou Canal+ Le Bouquet afin de les recevoir via la Freebox sans location de décodeur supplémentaire. Cette possibilité ne nécessite pas la souscription de l'abonnement Freebox TV.
Les abonnés disposant d'une Freebox à deux boîtiers ont la possibilité d'utiliser le boîtier multimédia sans supplément comme un magnétoscope numérique et un media center.
Il est possible d'enregistrer en qualité numérique les émissions de Freebox TV ou de la TNT (sauf les chaînes issues des bouquets Canal+ Le Bouquet — sauf via l'univers freebox — ou Canalsat et les radios qui ne sont pas enregistrables) directement sur le disque dur intégré de la Freebox. Il leur est également possible de programmer un enregistrement, manuellement ou via le guide des programmes visible sur la Freebox, ou de gérer le direct d'une émission, en appuyant simplement sur la touche « Pause ». La fonction « enregistrement à distance » est ajoutée en décembre 2009 : l'utilisateur programme ses enregistrements depuis sa console de gestion.
Le disque dur de la Freebox est également disponible sur un serveur FTP visible sur n'importe quel ordinateur branché sur le réseau de cette Freebox. On peut alors récupérer des fichiers vidéo préalablement enregistrés sur son ordinateur ou y déposer des vidéos qu'on a sur l'ordinateur afin de les regarder sur sa télévision (tout cela même si la Freebox est éteinte). La freebox ne peut lire que certains types de vidéos :
Les fichiers de sous-titres portant le même nom que le fichier vidéo sont pris en compte.
Il est possible de connecter un disque dur externe sur le port USB de la freebox. Les fonctionnalités disponibles sur le disque dur interne s'étendent alors à celui-ci. Toutes les chaînes peuvent être enregistrées, mais certaines chaînes interdisent d'exporter les fichiers d'enregistrement en FTP ou de les enregistrer sur le disque dur connecté sur le port USB pour des raisons de droit d'auteur.
La Freebox Révolution (v6) intègre dans son boîtier Player un lecteur Blu-ray compatible CD-DVD, et le nombre de formats de fichier lu a été revu à la hausse. Elle intègre aussi un NAS et une Seedbox.
À partir de la Freebox (à partir de la version 3) dispose d'une nouvelle fonction nommée « Freeplayer », qui permet de visionner sur sa télévision les différents fichiers multimédias (images, sons, vidéos) stockés sur son ordinateur, et de naviguer via une interface HTML simplifiée.
Depuis le lancement du service TV Perso le , Free a activé la fonction de codage vidéo des Freebox HD (v5). Ainsi, chaque abonné peut émettre un flux vidéo en branchant n'importe quel appareil sur une des entrées vidéo de la Freebox (connexions RCA ou S-Vidéo), ainsi que sur l'entrée son stéréo.
Le codage se fait :
Le service permet aussi de numériser une vidéo (par exemple d'un magnétoscope) sur le disque dur, puis de la transférer directement sur un PC pour la retoucher, compresser, etc.. Le codage est alors à 3,5 Mbit/s si la destination est le disque seul. Si la destination est aussi TV Perso, la vidéo est codée selon le choix de diffusion : 800 kbit/s max. pour une diffusion en « live » et 3,5 Mbit/s pour une diffusion différée.
La Freebox HD exploite le design manette de jeu de sa télécommande depuis le firmware 1.6.1 et l'ouverture de sa section « Jeux » le . Il est ainsi possible de jouer à des jeux développés par Iliad (Démineur, Solitaire, Morpion, etc.), des jeux développés avec le kit de développement Elixir ou à des jeux émulés de consoles de jeux des années 1990 et 1980 comme la Sega Master System, la Game Boy, la Game Boy Color et la Game Gear. Pour utiliser ces émulateurs, il suffit de disposer des ROM ou de les récupérer sur l’une des plateformes web de téléchargement légal existantes et de les copier sur le disque dur de la Freebox HD ou sur un périphérique de stockage externe USB que l’on connectera à la Freebox HD.
Le , la partie « Jeux » s'étend et devient une plateforme de téléchargement d'applications, le « Freestore », dans lequel sont intégrés les jeux mais aussi des applications.
Entre et , les abonnés Free Haut Débit pouvaient envoyer et recevoir des fax[65]. Il ne s'agissait cependant pas de relier un fax à sa Freebox, puisque tout se passait en ligne :
Depuis 2015, ce service était compris dans l'abonnement Free. Il devait être activé depuis l'Espace abonné Freebox[67]. Le service a été arrêté en novembre 2022[68].
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