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famille noble d'origine bretonne De Wikipédia, l'encyclopédie libre
La famille de La Bourdonnaye est une famille subsistante de la noblesse française de noblesse d'ancienne extraction sur preuves de 1427[1],[2], originaire de Bretagne.
de La Bourdonnaye | ||
Armes de la famille. | ||
Blasonnement | De gueules à trois bourdons d'argent | |
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Devise | Pro aris et focis[réf. nécessaire] | |
Branches | La Bourdonnaye La Bourdonnaye-Blossac |
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Période | XVe siècle - aujourd'hui | |
Pays ou province d’origine | Duché de Bretagne | |
Allégeance | Duché de Bretagne Royaume de France |
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Demeures | Hôtel de Blossac Château de Blossac |
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Charges | Sénateur de Maine-et-Loire Député de Maine-et-Loire Recteur |
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Preuves de noblesse | ||
Autres | ANF-1948 Maintenue de noblesse en 1668 |
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Sous l'Ancien Régime cette famille a occupé essentiellement des fonctions dans la magistrature et l'administration royale. Elle compte également des chevaliers de l'ordre de Saint Michel, un évêque, des officiers généraux, un député sous la Restauration, ministre du roi Charles X, un maire de Rennes, des députés, etc.
La famille de La Bourdonnaye a pour berceau la seigneurie de la Bourdonnais à Trégomar dans les Côtes d'Armor en France.[réf. nécessaire] Elle a ensuite pris racine dans la paroisse de Gévezé près de Rennes[3].
Les deux branches existantes actuellement ont pour auteur Bertrand IV de la Bourdonnaye, né en 1395, décédé en 1469[4] .
La branche ainée de La Bourdonnaye a pour origine Jehan 1er, ainé, né en 1420, décédé en 1480. S'ensuivent, Jehan II en 1445, Jehan III en 1470, François-Louis en 1500, Alain en 1530, Nicolas en 1565. La lignée se perpétua à Gévezé sans connaître l'ascension de la branche cadette.
La branche cadette a pour origine Olivier II, puiné, né en 1425, décédé en 1479. De cette branche cadette, partent deux sous branches qui ont pour auteur commun : Julien de La Bourdonnaye, écuyer, seigneur de Couettion[5], Bratz, Le Mottay, La Loherie, Le Boisguérin et Héréal, marié le à Claude de Kerguizec, dont :
La filiation est considérée comme établie depuis Guillaume II de La Bourdonnaye, écuyer. Il fut le père de Robin de La Bourdonnaye qui fit construire le château de La Bourdonnaye en la paroisse de Gévezé et qui fut marié à Jeanne de la Chapelle de la Maison de Molac[6],[7].
La filiation prouvée[8] remonte à son petit-fils : Bertrand de la Bourdonnaye Sgr du Valmarquer, vivant en 1427, marié à Anne de Boisguéhenneuc dont il a deux fils : Jean, l'aîné, auteur de la branche aînée de La Bourdonnaye, marié à Jeanne de Bezit, et Olivier, auteur de la branche cadette de Couettion, marié à Marguerite Rabet[9].
La famille de La Bourdonnaye est répertoriée dans le catalogue de la noblesse française : De gueules à 3 bourdons d'argent posés en pal 2 et 1, Bretagne (Rennes), ancienne extraction 1427, Honneurs de la cour, marquis en 1717[10]. Elle est inscrite à l'ANF depuis 1948. Louis de La Bourdonnaye, "comte de Blossac" (1627-1699), conseiller au Parlement de Bretagne, est maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le . Les terres et seigneuries de Couettion, La Gassilli, et des Bouexières en Carentoir (avec un autre château de La Bourdonnaye), furent unies et érigées en marquisat sous le nom de La Bourdonnaye par Lettres du mois de , enregistrées à Nantes le , en faveur d'Yves de La Bourdonnaye, conseiller d'État[11].
Les différentes branches de la famille de La Bourdonnaye reçurent les titres suivants :
Les principales alliances de la famille de La Bourdonnaye sont : de Vau-Marquer (1350), de La Chapelle, de Boisguéhenneuc (1419), de Gladonnet de Bratz (1482), de Kerguisec (1562), de La Bouëxière (1614), du Breil (1643), de Sesmaisons (1686), Boleylesve de Chamballan (1695), Tranchant du Tret (1765), Bertier de Sauvigny (1782) Vollaige de Vaugirault (1797), de Menou (1829), de Jouenne d'Escrigny (1867), Bernard de Montessus (1930), de Kerautem (1939), de Lassus Saint-Geniès (1942), du Trémolet de Lacheisserie, de Garidel-Thoron, de Goulaine, d'Harcourt.
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