Dyanik Zurakowska naît au Congo belge, d'une mère polonaise et norvégienne[1],[2].
Elle débute dans le cinéma espagnol au milieu des années 1960, et joue principalement des seconds rôles, surtout dans des westerns spaghetti, ainsi que dans des comédies et des films d'horreur qui mettaient en relief ses cheveux blonds et ses traits de mannequin[1]. Elle joue dans plus de trente films, mais son accent était tel qu'elle devait toujours être doublée[1].
Elle disparaît des médias au milieu des années 1970. Elle aurait continué de jouer aux États-Unis et en France[1].
Elle meurt dans l'oubli et la solitude en janvier 2011[3]
Vie familiale
Elle a été pendant un temps la compagne de José García Galisteo, et donc la belle-soeur de Carmen Sevilla[1].
Fabricio Ojeda, «Dyanik Zurakowska, la belleza congoleña del cine español que fue cuñada de Carmen Sevilla», amomama.es, (lire en ligne, consulté le )
(es) David Pizarro, «Dyanik Zurakowska, la caída de la estrella», El buque maldito, no35, , p.18 (lire en ligne, consulté le ):
«En 2010 se le diagnosticó un cáncer pulmonar en estado muy avanzado que le afectó la movilidad y la respiración. Tras sufrir varias sesiones de radioterapia, en enero de 2011 se le empezó a suministrar morfina para contrarrestrar los devastadores efectos físicos sufridos. Fue inútil. Su muerte, sucedia el 24 de enero de 2011 en Vélez, Málaga, olvidada por todo y todos, rehén de la desmemoria, víctima de la soledad, implica una enorme tristeza. Tal y como nos relata su propia hija "murió sola, añorando sus años de cine, añorando sus amigos, añorando sonreír". [En 2010, on lui a diagnostiqué un cancer du poumon très avancé qui affectait sa mobilité et sa respiration. Après avoir subi plusieurs séances de radiothérapie, elle a reçu en janvier 2011 de la morphine pour contrecarrer les effets dévastateurs. C'était inutile. Sa mort, survenue le 24 janvier 2011 à Vélez, Málaga, oubliée de tout et de tous, prisonnière de l'oubli, victime de la solitude, cause une immense tristesse. Comme nous le raconte sa propre fille, «elle est morte seule, nostalgique de ses années de cinéma, nostalgique ses amis, nostalgique du sourire».]»