Elle est diplômée en 1987 d’un Baccalauréat en arts plastiques de l’université Laval et en 2006 d’une maîtrise en arts plastiques de l’université Stanford[1].
Dans sa pratique de la sculpture Diane Landry utilise des objets ordinaires, qu’elle récupère dans le quotidien, le recyclage tient une part importante dans son processus de création. Elle souhaite à travers ses œuvres modifier la manière dont ces objets sont habituellement perçus en y intégrant une part poétique et émotive. Une autre facette de sa pratique est la performance. Elle s’autorise une perméabilité entre ces deux pratiques. Ce qui lui a peu à peu permis d’intégrer le mouvement dans ces sculptures, et les éléments sculpturaux dans ces performances, ce qui est visible dans ses installations[1].
Depuis 1987, elle expose au sein d’expositions individuelles et collectives au Canada et à travers le monde, elle a réalisé plusieurs résidences dans des centres d’artiste en Amérique et en Europe.
Son œuvre est présente dans plusieurs collections. Elle a également été récompensée de plusieurs prix prestigieux, de nombreuses bourses du Conseil des arts du Canada et du Conseil des arts et des lettres du Québec, et elle a fait partie des jurys du Conseil des arts du Canada, du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Prix Première Ovation, etc.
Elle est représentée par Vivianeart Gallery (Calgary, AB) et Carl Solway Gallery (Cincinnati, OH).
Expositions individuelles
1987: «New Work», Modern Fuel Artist-Run Centre, Kingston, ON, Canada[2]
«Toi/You, La rencontre», Espaces GM, Manif d’art 4 - Biennale de Québec, Québec, QC, Canada, commissaire Lisanne Nadeau[19]
2010: «Femmes artistes. L’éclatement des frontières, 1965-2000», Musée national des beaux-arts du Québec, QC, Canada, commissaire Pierre Landry[20]
2012
Correspondances, «Machines: Les formes du mouvement», Musée de l'Amérique française, Manif d'art 6 – Biennale de Québec, Québec, QC, Canada commissaire Nicole Gingras[21]
2017: «Illuminated (space)», Carl Solway Gallery, Cincinnati, OH, États-Unis[26]
2019: «L’esprit des lieux», «Si petits entre les étoiles, si grands contre le ciel», Galerie Michel Guimont, Manif d'art 9 – Biennale de Québec, Québec, QC, Canada, commissaire Sophie Jacques[27]
2020: École d’aviation, Mois Multi, l’Œil de Poisson, Québec, QC, Canada, commissaire Jeanne Couture[28]
2021: «Action & Structures», Carl Solway Gallery, Cincinnati, OH, États-Unis[29]
2022: Quatre révolucoeur, «Les illusions sont réelles», Grand Théâtre de Québec, Manif d’art 10 – Biennale de Québec, Québec, QC, Canada[30]
Lisanne Nadeau, Sylvie Nicolas, Karen Pick et Manifestation internationale d'art de Québec, Toi/You, la rencontre: Manif d'art 4, la biennale de Québec, Manifestation internationale d'art de Québec, (ISBN978-2-9807873-9-3 et 2-9807873-9-6, OCLC779071582, lire en ligne), p. 87
Lisanne Nadeau, Sylvie Nicolas, Karen Pick et Manifestation internationale d'art de Québec, Toi/You, la rencontre: Manif d'art 4, la biennale de Québec, Manifestation internationale d'art de Québec, (ISBN978-2-9807873-9-3 et 2-9807873-9-6, OCLC779071582, lire en ligne), p.48
Nicole Gingras et Manifestation internationale d'art de Québec, Machines: Manif d'art 6: la biennale de Québec, Manifestation internationale d'art de Québec, (ISBN978-2-9812978-0-8 et 2-9812978-0-5, OCLC780360826, lire en ligne), p. 116-119
Jonathan Watkins, Olivier Bhérer-Vidal, Manifestation internationale d'art de Québec et Musée national des beaux-arts du Québec, Si petits entre les étoiles, si grands contre le ciel = Small between the stars, large against the sky: Manif d'art 9: la biennale de Québec, (ISBN978-2-9812978-8-4, 2-9812978-8-0 et 978-2-551-26400-1, OCLC1088505553, lire en ligne), p.126
Steven Matijcio, Skawennati Tricia Fragnito, Maxime Coulombe et Jonathan Allen, Les illusions sont réelles: Manif d'art 10: la biennale de Québec = Illusions are real: Manif d'art 10: the Québec City biennial, (ISBN978-2-9818169-3-1 et 2-9818169-3-4, OCLC1267634829, lire en ligne), p. 93-94