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commune française du département du Val-d'Oise De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Deuil-la-Barre[1] (souvent orthographiée localement Deuil-La Barre) est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.
Deuil-la-Barre | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Val-d'Oise | ||||
Arrondissement | Sarcelles | ||||
Intercommunalité | CA Plaine Vallée | ||||
Maire Mandat |
Muriel Scolan 2020-2026 |
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Code postal | 95170 | ||||
Code commune | 95197 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Deuillois | ||||
Population municipale |
22 510 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 5 987 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 58′ 33″ nord, 2° 19′ 39″ est | ||||
Altitude | 50 m Min. 40 m Max. 110 m |
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Superficie | 3,76 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Deuil-la-Barre (bureau centralisateur) |
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Législatives | 6e circonscription du Val-d'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | mairie-deuillabarre.fr | ||||
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Deuil-la-Barre est une ville résidentielle comprenant également des vergers et un coteau boisé à proximité immédiate de Paris.
La ville est labellisée « Ville fleurie », « Ville internet » et « Bien vieillir, vivre ensemble ».
Deuil-la-Barre[2] se situe à environ neuf kilomètres au nord des portes de Paris, à flanc de coteau de la butte-témoin portant la forêt de Montmorency.
Deuil-la-Barre est bordée par la route départementale 311 au nord, par la 928 au sud. La commune est limitrophe d’Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), Montmorency, Groslay, Montmagny et Enghien-les-Bains dans le Val-d'Oise.
Deuil-la-Barre dispose de deux gares sur son territoire : la gare de Deuil - Montmagny de la ligne d'Épinay - Villetaneuse au Tréport - Mers, située au nord-est de la commune à la limite de Montmagny, et la gare de La Barre - Ormesson de la ligne de Saint-Denis à Dieppe, située au sud-ouest de la commune en limite d'Enghien-les-Bains.
Les deux gares sont desservies par les trains de la ligne H du réseau Transilien Paris-Nord (branches Paris-Nord — Pontoise/Persan-Beaumont et Paris-Nord — Luzarches/Persan-Beaumont via Montsoult - Maffliers). La gare de Deuil - Montmagny est desservie à raison d'un train omnibus au quart d'heure toute la journée. Le trajet entre Deuil - Montmagny et la gare du Nord dure 14 minutes. La gare de La Barre - Ormesson, quant à elle, est desservie à raison de quatre trains omnibus à l'heure pendant tout le service (sauf pendant la dernière heure où il n'y a que deux trains). Le temps de parcours est de 13 min.
Le passage a niveau de la gare de Deuil-Montmagny est tristement connu pour être le passage a niveau ayant connu le plus d'accidents en France[5],[6]. Il sera supprimé en 2025[7].
Deuil-la-Barre est également desservie par plusieurs lignes de bus permettant de rejoindre les Portes de Paris, Enghien-les-Bains ou encore les gares du RER D :
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 670 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bonneuil-en-France à 8 km à vol d'oiseau[10], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 616,3 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Au , Deuil-la-Barre est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[16]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].
Deuil-la-Barre se compose de six quartiers :
Le lieu où se situe Deuil-la-Barre est mentionné en 862 sous l’appellation Diogilum[19], ainsi que Doguillum dans le cartulaire de Notre-Dame de Paris, et Diogilo dans un diplôme de Charles le Chauve et Dyoilum dans un autre ouvrage du IXe siècle[20]. Puis Villam Dueil dans un texte de 1070[20].
Le toponyme a une origine celtique : il est formé des racines divo- (= dieu) et ialo- (= clairière[21]), qui signifierait « clairière sacrée ou divine »[20].
Le [22], la commune prend le nom de « Deuil-la-Barre » par ajout du terme « la Barre » issu du toponyme barre qui ici a le sens de « barrière » ou « clôture » en ancien français[20], ou le nom d'un site naturel fortifié.[réf. nécessaire]
En 2002, la commune a organisé une consultation sur un éventuel changement de nom[23], jugé négatif : rétablir le nom « Deuil » ou « Dueil », ou adopter un nouveau nom « Deuil-Ormesson » ou « Dueil-Ormesson » ; 71 % des votants ont répondu ne pas vouloir changer le nom[24].
L'archéologie démontre que le site était peuplé dès l'époque gallo-romaine. Le nom de la ville dérive d'un mot celte, sa forme ancienne, Diogilo, signifie clairière sacrée.
Son nom latin Dyoiluin serait mentionné dès le Ve siècle dans l'histoire de saint Eugène qui fut martyrisé à Deuil. La création du village et de son église relèvent du mystique, c'est du moins la manière dont les moines de Saint-Denis l'ont racontée, vers le IXe siècle. Le seigneur Ercolde, propriétaire de la villa Diogilo, à l'époque mérovingienne, aurait été mystérieusement averti dans son sommeil que saint Eugène, archevêque de Tolède et compagnon de saint Denis avait été martyrisé à Deuil par les Romains, et que son corps avait été jeté dans le lac. On découvrit, intact, le corps du saint, qui fut ensuite placé dans un lourd sarcophage attelé à des bœufs qu'on laissa libres de porter le corps : là où ils s'arrêtèrent fut décidée la construction de l'église. De là peut-être le nom Divoialum — clairière sacrée — à l'origine du nom de Deuil.
Cette seigneurie appartenait à l'abbaye de Saint-Denis. Les deux hameaux de la Barre et d'Ormesson en dépendent. Diogilum, c’est-à-dire Deuil, a ensuite appartenu à la famille des Montmorency, fondée par Bouchard le Barbu.
Le premier seigneur de Deuil a été Hervé de Montmorency, dans la seconde moitié du XIe siècle. Pendant des siècles, Deuil-la-Barre a été un petit bourg agricole — vignoble, principalement. Avec la Révolution, la paroisse de Deuil devient une municipalité.
Durant le mois de janvier 1871, lors du siège de Paris, les Prussiens installent une batterie à Deuil pour bombarder le fort de la Briche[25].
Le , un missile balistique V2 s'écrase sur l'actuelle « place des Victimes-du-V2 », détruisant un quartier et une partie de l'église, et faisant des dizaines de victimes.
Antérieurement à la loi du [26], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles après un transfert administratif effectif au .
La commune faisait partie de 1793 à 1964 du canton de Montmorency, date à laquelle elle est rattachée au canton d'Enghien-les-Bains[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais le bureau centralisateur du canton de Deuil-la-Barre, constitué des communes Saint-Brice-sous-Forêt, Groslay, Montmagny, et Deuil-la-Barre.
Deuil-la-Barre fait partie de la juridiction d’instance de Montmorency, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[28],[29].
Deuil-la-Barre était membre de la communauté d'agglomération de la vallée de Montmorency (CAVAM), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPTAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine pour former, le , la communauté d'agglomération Plaine Vallée, dont la commune est désormais membre.
Au second tour des élections municipales et communautaires de mars 2014[30], la liste UDI menée par Muriel Scolan. remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 4 057 voix (55, 49 %, 28 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires), battant largement les listes menées respectivement par[31],[32] :
- Fabrice Rizzoli (DVG, 1 636 voix, 22,31 %, 4 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Jean-Claude Noyer, maire sortant (UMP, 1 622 voix, 22,18 %, 3 conseillers municipaux élus, dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, 49,17 % des électeurs se sont abstenus.
Au deuxième tour des élections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise, la liste centriste de la maire sortante Muriel Scolan remporte la majorité des suffrages exprimés, avec 1 872 voix (45,49 %, 26 conseillers municipaux élus, dont 6 communautaires), devançant les listes menées respectivement par[33],[34] :
- Vincent Gayrard (écologiste, 1 539 voix, 37,39 %, 6 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Jean-Marie Roy (DVD, 704 voix, 3 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin marqué par la crise de la pandémie de Covid-19 en France, 71,10 % des électeurs se sont abstenus.
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 20 000 et 29 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 35[35].
Depuis la Libération, sept maires se sont succédé :
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1944 | 1945 | Maurice Petit | PCF | |
1945 | 1947 | André Le Roy | PCF | |
1947 | 1962 | Mathieu Chazotte | ||
1962 | mars 1989 | Henri Hatrel | CD puis UDF-CDS |
Conseiller général d'Enghien-les-Bains (1964 → 1982) |
mars 1989 | novembre 1997[36] | Jean-Pierre Delalande | RPR | Directeur de presse Député du Val-d'Oise (2e circ. puis 6e circ.) (1978 → 1981 et 1986 → 2001[37])) Démissionnaire |
novembre 1997 | avril 2014[38],[39] | Jean-Claude Noyer | RPR puis UMP |
Retraité Vice-président de la CAVAM [Quand ?] |
avril 2014[40] | En cours (au 27 juin 2021) |
Muriel Scolan | UDI[41] | Professeure de lycée retraitée Conseillère départementale du canton de Deuil-la-Barre (2015 → ) Vice-présidente du conseil départemental du Val-d'Oise (2015 → ) Vice-présidente de la CA Plaine Vallée (2016 → ) Réélue pour le mandat 2020-2026[42] |
La commune s'est dotée d'un conseil municipal des jeunes (CMJ) depuis 1996 qui étudie et propose des projets ou aménagements destinés à améliorer la vie quotidienne et se réunit une fois par mois, sous la responsabilité du maire ainsi que sous l'encadrement de conseillers municipaux. Cette instance permet également aux enfants de la ville de mettre un pied dans la vie citoyenne active.
La municipalité a mis en place en 2014 des comités de quartier[43] renforcés, qui se réunissent environ quatre fois par an pour chaque quartier. Chaque quartier possède un élu référent. Cette instance a pour but de créer un lien entre citoyens et élus et de renforcer le dialogue et l'implication des Deuillois dans la vie de leur quartier. Les comités de quartier organisent également régulièrement des diagnostics pédestres à travers les rues de chaque quartier, rassemblant élus, services de la mairie et citoyens, afin de recenser les problèmes et pouvoir y remédier rapidement.
Un conseil communal consultatif[44] a également été organisé en 2015 par la municipalité, rassemblant des citoyens possédant une expertise ou expérience dans tous les domaines de la vie communale, afin de travailler en lien avec le conseil municipal.
Enfin, la municipalité a également mis en place, dans un souci de démocratie locale renforcée, des cafés citoyens[45] qui se tiennent environ deux fois par an, et permettent des ateliers débat autour de thématiques précises.
La commune a engagé[Quand ?] une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[46].
Deuil-la-Barre bénéficie du label Ville fleurie (**)[Quand ?], du label Ville internet depuis 2010; elle est également l'une des rares villes de France à recevoir en 2010 le label "Bien Vieillir - Vivre ensemble" qui note la qualité du cadre de vie[47].
En 2003], la commune a reçu le label « Ville Internet @@ »[48] et @@@ en 2010[49].
Ce label est obtenu grâce à l'évolution du site internet municipal, qui propose aux Deuillois de nouveaux services tels que la mise en place d'une lettre d'information ou l'intégration de vidéos.
Au , Deuil-la-Barre est jumelée avec[50] :
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[55],[Note 4].
En 2021, la commune comptait 22 510 habitants[Note 5], en évolution de +1,92 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2021 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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22 510 | - | - | - | - | - | - | - | - |
Le territoire de la commune dépend de l'académie de Versailles. La ville compte seize établissements scolaires :
Deuil-la-Barre possède de nombreuses infrastructures sportives. Des équipements communaux : une salle omnisports, un gymnase, un Dojo. Mais également intercommunaux avec un stade (deux pistes d'athlétisme dont une homologuée, deux terrains de football dont un schiste et un synthétique homologué avec tribunes), plusieurs terrains de tennis (cinq terrains en terre-battue, deux en quick, deux en résine), un centre nautique situé sur le territoire de la ville voisine de Montmorency possédant un espace forme, ainsi qu'un deuxième situé sur le territoire de la ville de Soisy-sous-Montmorency (un bassin sportif de huit lignes d'eau, bassin d'initiation et d'activité, bassin loisirs) possédant également un espace forme, une piste de roller/skate et un terrain de basket[57].
La ville possède également une patinoire, fermée de puis septembre 2017 en raison de problèmes de sécurité[58].
Du loisir à la compétition de haut niveau, la ville dispose de nombreux clubs sportifs, grâce à une vie sportive et associative très active : clubs d'athlétisme (l'ESME-US Deuil où notamment était licenciée la sprinteuse Chantal Réga), de tennis, de handball, de basket, de pétanque, de boules lyonnaises, de golf, de budokan, de football, de patinage artistique[59].
Plusieurs infrastructures sont mises au service des parents et de leurs très jeunes enfants : la maison de la petite enfance (multi-accueil, relais assistantes maternelles, crèche collective, lieu d'accueil des parents…), un centre de PMI (protection maternelle et infantile), ainsi qu'une micro-crèche mise en place par la municipalité depuis 2015. La ville accompagne par de nombreux dispositifs les parents de jeunes enfants dans leurs démarches, notamment pour trouver des assistantes maternelles, place en crèche ou baby-sitter.
La commune compte une cinquantaine de professionnels de la santé, généralistes ou spécialisés (ophtalmologie, chirurgie dentaire, kinésithérapie, ostéopathie, podologie, laboratoires, pharmacie, orthophonistes…), et dispose d’un centre d'imagerie médicale[60].
La ville dispose d'un poste de police municipale[61].
Une caserne de CRS est également installée sur le territoire de la commune.
La ville compte plusieurs lieux de cultes :
Deuil-la-Barre possède une zone d'activité commerciale (ZAC) : la ZAC du Moutier, comptant une vingtaine d'entreprises et un pôle de radiologie de pointe.
Il existe par ailleurs sur le territoire de la ville un marché couvert aux Mortefontaines, ouvert les mardi, jeudi et samedi matin. Par ailleurs, de nombreux commerces offrent de nombreux services aux Deuillois, dont 2 supermarchés, des commerces de restauration, coiffeur, boulangerie traditionnelle, caviste, retoucherie, opticiens, plusieurs boucheries, des entreprises d'aide à la personne, de domiciliation d'entreprise…
Enfin, un marché de Noël, ainsi qu'un marché de la Nature (à l'occasion de la Fête de la nature) sont organisés chaque année, de même que plusieurs brocantes et vide-greniers.
La commune compte un monument classé monument historique[65] :
On peut également signaler :
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