Le prix de la Casa de Velázquez qu'il emporte en 1961 lui vaut d'y effectuer un séjour à Madrid de 1961 à 1962 au titre de membre de la 32e promotion[3].
Il se suicide à Paris le .
Horacio Quiroga (traduction d'Anne Boule), Histoires d'animaux, dessins de Claude Grosperrin, Rochefort-du-Gard, Imprimerie AB, 2004.
Les peintres impressionnistes français contemporains (Claude Grosperrin, Bernardino Toppi…), Meinhard Galleries, Houston (Texas), mai 1981[10].
«Dans la variété des thèmes traités, une rare unité de style, grâce sans doute à la qualité de la lumière qui baigne toutes ses compositions […] Claude Grosperrin laisse des paysages où se reconnaît bien l'élève de Brianchon dont il suivit les cours aux Beaux-arts où il entra à 20 ans: une grande force, un rythme puissant animent ses corridas, ses haras, ses champs de courses, ses bords de mer traités dans une gamme de tons volontairement limitée et qui rappellent parfois ceux de Brasilier.» - Gérald Schurr[11]
Registres d'état-civil de Charenton-le-Pont. Le Dictionnaire Bénézit et le Panorama de la Jeune Peinture d'Éric Mercier donnent la date de naissance erronée de 1939.
Jean-Marc Delaunay, Des palais en Espagne - l'École des hautes études hispaniques et la Casa de Velázquez au cœur des relations franco-espagnoles du XXe siècle (1898-1979), Éditions de la Casa de Velázquez, 1994.