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Son travail est marqué par les thématiques de l’architecture, du cinéma notamment africain, la colonisation, les marginalités, la réflexion sur l’acte de création et en particulier le travail des créatrices.
Fille d’Yvonne Brac de la Perrière[1] et d’Henri Delorme décédé précocement, elle est élevée par sa mère avec ses six frères et sœurs.
Christine Delorme a vécu aux Pays-Bas de 1978 à 1982 avec son mari néerlandais pendant les cinq ans de son mariage. Elle y a appris le flamand et travaillé pour la radio publique néerlandaise.
Au cours des années 1980 elle se consacre au cinéma, principalement africain, de manière concrète en tant qu’assistante de production tout en déployant un travail critique et de journalisme au travers de multiples articles et documentaires. Elle publie notamment des articles à l'occasion du huitième FESPACO en 1983.
Christine Delorme a entretenu une relation importante avec le cinéaste Ousmane Sembene. Elle a également été sa collaboratrice sur le film Camp de Thiaroye et a travaillé à la production du projet de film sur l’Almany Samory Touré.
À partir des années 1990 et jusqu’à son décès, ses travaux se tournent vers la production documentaire radiophonique dans la lignée du cinéma direct.
Elle continue à allier la création aux travaux d’analyse et de réflexion sur l’élaboration d’œuvres culturelles et en particulier les conditions matérielles et sociales de leur réalisation. En 2011 elle s’engage dans une thèse sur le producteur Humbert Balsan avec le soutien de l'Adlerbertska, fondation suédoise.
«Ousmane Sembene, tout à la fois», 52’, tourné en 1992. Ouverture 20 th African Film Festival New-York, 2010, diffusé sur TV 5 Monde[16],[17],[18],[19]
«Vicente Pimentel: mémoire Souterraine», 1990, Paris films collections, Forum des Images. Prix FIFART, Lausanne,
Télévision
Scénariste série tribunal «infirmière privée» TF1 1990
Publications
«Regards sur le cinéma colonial», Sans Frontière juin 1983
«Au rendez vous de la Rue Cases-Nègres» Interview de Euzhan Palcy, Afrique- Asie N° 309 novembre 1983
Mory Akendengue, interview par Christine Delorme et Jean de Romanet, Afrique- Asie N°313 janvier 1984
«Amok le fou furieux» Interview de Souhel Ben Barka, Afrique-Asie N°316 septembre 1984
Première coproduction franco-égyptienne: Adieu Bonaparte (1984). Un producteur atypique et un cinéaste prolifique in L’internationalisation des productions cinématographiques et audiovisuelles, sous la direction de Claude Forest [24]
Camp de Thiaroye d’Ousmane Sembene: une coproduction Sud-Sud in Produire des films, Presses universitaires du Septentrion, 2018[25],[26]
New York University in France: La ville africaine au cinéma, des personnages en transit 1999
Université Columbia (Red Hall): Paris et ses espaces publics vus par le cinéma 2001
Chantal Ackerman "A la recherche du rythme idéal", Journée d’étude retours sur l’œuvre de C Ackerman, organisée par La Semaine des arts, l’ESTCA 2016[28].
Travaux inachevés
Thèse "Humbert Balsan les défis d'un producteur indépendant" Laboratoire EDESTA - Paris 8[29] sous la direction de Serge Lepéron, 2011
publication sous la direction de Caude Forest, Première coproduction franco-égyptienne : Adieu Bonaparte (1984). Un producteur atypique et un cinéaste prolifique in L’internationalisation des productions cinématographiques et audiovisuelles,, Septentrion, (ISBN978-2-7574-1581-8, lire en ligne), p 107-114
Christine Delorme ouvrage sous la direction de, Camp de Thiaroye d’Ousmane Sembene : une coproduction Sud-Sud in Produire des films Afrique et Moyen Orient , Presses universitaires du Septentrion, 2018, Camp de Thiaroye d’Ousmane Sembene : une coproduction Sud-Sud in Produire des films, Presses universitaires du Septentrion, (lire en ligne), p 275-280
Abdallah Azzouz, «Penser les cinémas africains au prisme des relations internationales et des politiques publiques de la culture», 1895, 2019/2 (n° 88),, page 11 (lire en ligne)