Buno-Bonnevaux
commune française du département de l'Essonne De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Buno-Bonnevaux[1] (prononcé [byno bɔnǝvo] Écouter) est une commune française située à cinquante-six kilomètres au sud-est de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.
Buno-Bonnevaux | |||||
L’hôtel de ville. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Essonne | ||||
Arrondissement | Évry | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des 2 Vallées | ||||
Maire Mandat |
Bernardin Coudoro 2020-2026 |
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Code postal | 91720 | ||||
Code commune | 91121 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bonnevaliens | ||||
Population municipale |
493 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 31 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 21′ 37″ nord, 2° 23′ 17″ est | ||||
Altitude | Min. 63 m Max. 141 m |
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Superficie | 15,99 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Mennecy | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Essonne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | buno-bonnevaux.fr | ||||
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Ses habitants sont appelés les Bonnevaliens[2].
Buno-Bonnevaux est située à cinquante-six kilomètres au sud-est de Paris-Notre-Dame[3], point zéro des routes de France, trente-et-un kilomètres au sud-ouest d'Évry[4], sept kilomètres au sud-ouest de Milly-la-Forêt[5], quatorze kilomètres au sud-est de La Ferté-Alais[6], dix-neuf kilomètres au sud-est d'Étampes[7], vingt-sept kilomètres au sud-est d'Arpajon[8], vingt-neuf kilomètres au sud-ouest de Corbeil-Essonnes[9], trente-deux kilomètres au sud-est de Montlhéry[10], trente-trois kilomètres au sud-est de Dourdan[11], quarante-et-un kilomètres au sud-est de Palaiseau[12].
À l'ouest, le territoire communal est délimité par l'Essonne, affluent de la Seine, se divisant par endroits en plusieurs bras. Il y a un ancien moulin à chacune des trois intersections route/rivière : Paillard, Roijeau et le Petit Gironville[13]. Ce dernier a été détruit par l'armée allemande en août 1944 en même temps que le pont. On note également la présence de plusieurs étangs dont un de 1,5 ha, creusé en 1975, géré par l'association communale de pêche.
Le point le plus bas de la commune est situé à soixante-trois mètres d'altitude et le point culminant à cent quarante-et-un mètres[15]. Entre vallée et plateau, les pentes sablonneuses abritent de nombreux chaos de roches gréseuses. Les habitats de vallée sont séparés de la rivière, qui forme la limite ouest, par une bande de marécages.
Gironville-sur-Essonne | Maisse | Milly-la-Forêt | ||
Prunay-sur-Essonne | N | Oncy-sur-École | ||
O Buno-Bonnevaux E | ||||
S | ||||
Boigneville | Nanteau-sur-Essonne (Seine-et-Marne) | Tousson (Seine-et-Marne) |
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[17].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 663 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boigneville à 3 km à vol d'oiseau[18], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 615,6 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,7 | 1,4 | 3,3 | 5,3 | 8,7 | 11,7 | 13,6 | 13,4 | 10,4 | 7,9 | 4,4 | 2,1 | 7 |
Température moyenne (°C) | 4,3 | 4,8 | 7,8 | 10,6 | 14 | 17,3 | 19,9 | 19,6 | 15,9 | 12 | 7,4 | 4,6 | 11,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,9 | 8,2 | 12,3 | 15,9 | 19,4 | 22,9 | 26 | 25,8 | 21,4 | 16,1 | 10,5 | 7,2 | 16,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−19,7 17.01.1985 |
−12,6 07.02.1991 |
−11,6 01.03.05 |
−4,3 07.04.21 |
−0,1 06.05.19 |
1,4 05.06.1991 |
4 04.07.1984 |
4,6 31.08.1986 |
2 19.09.1994 |
−3,3 30.10.1997 |
−10,7 24.11.1998 |
−11,5 31.12.1985 |
−19,7 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15,5 30.01.02 |
21,4 24.02.1990 |
25,5 31.03.21 |
28,4 21.04.18 |
31,6 28.05.17 |
37,2 27.06.11 |
40,9 25.07.19 |
39,7 06.08.03 |
34,7 14.09.20 |
30,3 01.10.1985 |
21,8 07.11.15 |
17,2 16.12.1989 |
40,9 2019 |
Précipitations (mm) | 47,6 | 44 | 43 | 46,9 | 62,5 | 50 | 51 | 49,7 | 49,8 | 58,1 | 54 | 59 | 615,6 |
La commune dispose sur son territoire de la gare de Buno - Gironville desservie par la ligne D du RER d'Île-de-France.
Le sentier de grande randonnée GR 1 traverse la commune et le village.
Le hameau de Bonnevaux possédait autrefois une église de même style et de même époque que celle de Buno. En 1794, pour éviter des réparations coûteuses, la commune de Buno fut autorisée à faire démolir la nef et le clocher de celle-ci et les deux paroisses furent réunies sous le nom de Buno-Bonnevaux.
Le hameau de Moignanville dépendait autrefois de Gironville et fut rapporté à Buno en 1815, en échange du Petit-Gironville. Ce hameau comprenait un château et trois ou quatre groupes de bâtiments fermiers. En 1818, à la constitution du cadastre, ce château appartenait au comte Philippe Victoire de Senneville, maréchal de camp d'artillerie, et alors âgé de 81 ans (décédé en 1824). Ce château a été rasé au cours du XIXe siècle, car trop humide, et remplacé par une grande demeure bourgeoise encore visible actuellement.
Situé à un kilomètre au sud du bourg, le hameau de Chantambre s'étire sur le côté droit de la route, en allant vers Nanteau. Il est formé de deux groupes d'habitats distincts, séparés par le château. Au bord de la route allant à Chantambre, une croix en fer rehaussée par une effigie du Christ est plantée sur un rocher. Elle donne son nom au lieu-dit la Croix Frappeau qui figurait déjà sur le cadastre de 1814. Une légende y est attachée : un voyageur y aurait été attaqué par des brigands qui se mirent à le frapper. Le voyageur, pour montrer son courage et leur lâcheté, leur aurait dit "Frappez haut", d'où le nom donné à cette croix.
En 1668, le hameau de Mézières dépendait déjà de la paroisse de Buno. Actuellement, ce hameau est formé de trois fermes alignées sur le côté nord de la route allant à Tousson et d'un corps de ferme sur le côté sud.
Jusqu'à l'époque de son rattachement à la commune de Gironville en 1815, le hameau du Petit-Gironville faisait partie intégrante de la paroisse de Buno. Un château a très probablement été construit en ce lieu par un membre de la famille d'Arbouville entre le 13e et le 15e siècles. Louis XI y a séjourné les 7 et 1e12-5-1480[pas clair], et il a vraisemblablement été détruit en 1570. Un moulin à grains perpendiculaire à l'Essonne et situé sur sa rive gauche, dépendait de ce château. Il faut attendre le début du XXe siècle pour voir se construire sur ces vieilles ruines, une villa de style néo-médiéval elle-même détruite, ainsi que le moulin et le pont, en 1944 par l'armée allemande en retraite. Après sa destruction, elle a été acquise par M. Larquetoux, architecte parisien, qui la reconstruisit dans un style plus strict.
Au , Buno-Bonnevaux est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22]. Elle est située hors unité urbaine[23]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[23]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].
Le village s'appelait Bunetum Castrum en 1263[26], Bonavallis[26], Bunou[26], Bunnou[26]. L'appellation définitive de Buno daterait de 1495[réf. nécessaire].
Le mot castrum se rapporte à un hameau dit les Mazures des Bureaux (dans la plaine de Buno), aujourd'hui disparu, et que l'on suppose avoir été construit sur les ruines du Castrum (camp fortifié) gallo-romain[réf. nécessaire].
En 1793, la commune fut créée sous le nom de Bonnevant Bano, le nom actuel a été introduit en 1801 dans le Bulletin des lois[27].
L'occupation du territoire de la commune dès le Néolithique est attestée par la présence de deux hypogées (dont l'hypogée du Champtier des Bureaux) et de deux polissoirs : polissoir de Grimery[28] et polissoir des Sept coups d'épée[29], encore visibles.
Des urnes cinéraires de l'âge du bronze (-2300 à -1600), dont certaines contenaient encore quelques ossements humains calcinés, ont également été découvertes[30].
Un très important ensemble sépulcral de cette époque abritant plus de quatre-cents inhumations a été découvert en 1975[31].
Buno-Bonnevaux a été libérée le par l'armée des États-Unis d'Amérique, dont une première patrouille avait traversé le village dès le 17 août[32]
Depuis la Révolution française jusqu’à la loi du 10 juillet 1964, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et son arrondissement d'Évry à la suite d'un transfert administratif effectif le . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Essonne.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Milly-la-Forêt[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais intégrée au canton de Mennecy.
La commune fait partie depuis le de la communauté de communes des 2 Vallées.
À la suite de dissensions au sein du conseil municipal, le maire Jean-Claude Cochet a démissionné le 15 novembre 2016, et, après des élections municipales partielles organisées les 22 et 29 janvier 2017[49], Bernardin Coudoro est élu maire le [50].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1806 | 1815 | M. Cousinet | ||
1815 | 1826 | M. Doré | ||
1826 | 1829 | M. François | ||
1829 | 1831 | M. Theet | ||
1831 | 1852 | Étienne Herblot | ||
1852 | 1865 | Armand Trousseau | ||
1865 | 1868 | Georges Trousseau | ||
1868 | 1871 | Auguste Nicot | ||
1871 | 1874 | M. Minier | ||
1874 | 1878 | Louis Herbron | ||
1878 | 1917 | Adrien Aubin Martin | ||
1919 | 1928 | Émile Gaurat | ||
1928 | 1931 | Alphonse Multon | ||
1931 | 1935 | Dominique Colleau | ||
1935 | 1937 | Victor Cochet | ||
1937 | 1940 | Dominique Colleau | ||
1945 | 1983 | Georges Brégé | ||
1983 | 2008 | Jean-Marie Ferry | DVD | |
2008 | novembre 2016[49] | Jean-Claude Cochet | SE | Informaticien Démissionnaire |
février 2017[50] | En cours | Bernardin Coudoro |
La commune de Buno-Bonnevaux n'a développé aucune association de jumelage.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[53].
En 2021, la commune comptait 493 habitants[Note 2], en évolution de +7,64 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2021 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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493 | - | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,7 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 221 hommes pour 216 femmes, soit un taux de 50,57 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,98 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
1,0 | 1,0 | |
5,2 | 7,7 | |
17,0 | 17,7 | |
26,7 | 28,1 | |
16,1 | 14,4 | |
18,6 | 16,2 | |
15,4 | 14,9 |
Les élèves de Buno-Bonnevaux sont rattachés à l'académie de Versailles. Elle dispose d'une école élémentaire publique[57].
Une bibliothèque existe à la mairie
Centre de vol à voile de l'Association aéronautique du Val d'Essonne Buno-Bonnevaux
La paroisse catholique de Buno-Bonnevaux est rattachée au secteur pastoral de Milly-la-Forêt et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Léger[58]. Un pèlerinage avait lieu, jusque dans les années 1960, à la Saint-Guerluchon le 4 juin, vers les hauteurs du village, dans la propriété du chateau de Moignanville, où .[réf. nécessaire] Le cimetière se situait autrefois aux abords de l'église. C'est en 1883 que son déplacement s'est effectué dans la « vallée ».
L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.
Les carriers : l'origine de l'exploitation des grès se perd dans la nuit des temps ; elle s'éteignit progressivement après la Première Guerre mondiale. La corporation des carriers bénéficie d'un vieux droit d'usage à partir du XIIe siècle. Les pavés extraits étaient payés au mille (150 francs en 1846) et le métier était particulièrement pénible compte tenu de la poussière. Bien peu d'ouvriers passaient la cinquantaine. De Bonnevaux à Chantambre, on peut voir de nombreux vestiges d'ateliers d'extraction.
À la fin du XIXe siècle, le territoire communal se divisait ainsi : terres labourables, 72 % ; vignes 1,25 % ; prés et pâtures 3,4 % ; friches et murgers, 10,6 % ; bois, aulnaies, 7 %. Quatre propriétaires possédaient ensemble 41 % de la surface totale. Le commerce était alors limité à deux épiceries. La branche artisanale comprenait : un entrepreneur de battage avec trois machines à vapeur, un maréchal-serrurier, un menuisier, un charron, un maçon, une petite carrière d'extraction de grès à Chantambre.
Au XXe siècle et entre les deux guerres on comptait deux cafés dont l'un faisait débit de tabac, une épicerie, et dans les années 1930 se créa une charcuterie. Un boucher et un boulanger de communes voisines assuraient des tournées régulières. L'activité artisanale comprenait : un forgeron maréchal-ferrant, un menuisier, un charron, un maçon, un exploitant forestier, négociant de bois d'œuvre, un gravelière exploitée à Chantambre par M. Armand Fauvin, M. Paul Goudou était à la fois cordonnier, coiffeur et professeur de violon.
En 1986, l'activité est redevenue purement agricole avec un nombre d'exploitants en régression ; les cultures dominantes sont le blé, le maïs et la betterave. Il n'y a plus de commerce hors un pseudo-café, et sur le plan artisanal ne subsistent que deux maçons et à Chantambre, un négociant de bois et une fabrique de petits meubles de cuisine qui n'emploie que quelques ouvriers. Cette dernière a été rasée fin 2006.
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 41 679 €, ce qui plaçait Buno-Bonnevaux au 1 771e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[59].
Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006. | ||||||
Agriculteurs | Artisans, commerçants, chefs d’entreprise |
Cadres et professions intellectuelles supérieures |
Professions intermédiaires |
Employés | Ouvriers | |
---|---|---|---|---|---|---|
Buno-Bonnevaux | - | - | - | - | - | - |
Zone d’emploi d’Évry | 0,3 % | 4,0 % | 20,2 % | 29,6 % | 28,2 % | 17,7 % |
Moyenne nationale | 2,2 % | 6,0 % | 15,4 % | 24,6 % | 28,7 % | 23,2 % |
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006. | ||||||
Agriculture | Industrie | Construction | Commerce | Services aux entreprises |
Services aux particuliers | |
Buno-Bonnevaux | - | - | - | - | - | - |
Zone d’emploi d’Évry | 0,9 % | 13,5 % | 5,4 % | 14,6 % | 16,2 % | 6,9 % |
Moyenne nationale | 3,5 % | 15,2 % | 6,4 % | 13,3 % | 13,3 % | 7,6 % |
Sources : Insee[60],[61],[62] |
Les berges de l'Essonne et les bois les bordant ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[63].
Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Buno-Bonnevaux :
Blason | D'or à deux crosses de gueules passées en sautoir, accompagnées aux flancs de deux arbres de sinople ; à la champagne ondée d'azur chargée de deux épis de blé d'argent et d'une abeille volant en bande du même brochante[69]. |
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Détails | Les deux arbres soulignent l'appartenance de la commune au canton de Milly la Forêt ; les deux crosses rappellent la fusion des deux paroisses ;
l'onde = l'Essonne qui arrose la commune ; l'abeille et le blé reprennent le logo du parc régional du Gâtinais Français. Armoiries conçues par M. Jean-François BINON, adoptées à une date inconnue. |
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