Brebières
commune française du département du Pas-de-Calais De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Brebières est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Brebiérois.
Brebières | |||||
La mairie. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | cc Osartis Marquion | ||||
Maire Mandat |
Lionel David 2020-2026 |
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Code postal | 62117 | ||||
Code commune | 62173 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Brebiérois | ||||
Population municipale |
5 210 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 482 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 20′ 15″ nord, 3° 01′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 25 m Max. 48 m |
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Superficie | 10,8 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Brebières (bureau centralisateur) |
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Législatives | 1re circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.brebieres.fr/ | ||||
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La commune fait partie de la communauté de communes Osartis Marquion qui regroupe 49 communes et compte 42 651 habitants en 2021.
Géographie
Résumé
Contexte
Localisation
Brebières, commune de l'Artois limitrophe du département du Nord, est située à 5 kilomètres au sud-ouest de Douai (aire d'attraction), 18 kilomètres au nord-est d'Arras (chef-lieu d'arrondissement) et à 17 kilomètres au sud-est de Lens.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes, dont deux situées dans le département du Nord :
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 10,8 km2 ; son altitude varie de 25 à 48 m[1].
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par deux cours d'eau :
- la Scarpe canalisée, d'une longueur de 67 km, qui prend sa source dans la commune d'Arras et se jette dans L'Escaut canalisée au niveau de la commune de Mortagne-du-Nord dans le département du Nord[3] ;
- le Filet de Noyelles, d'une longueur de 4,66 km, qui prend sa source dans la commune de Noyelles-sous-Bellonne et se jette dans la petite Sensée au niveau de la commune de Courchelettes[4].

Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 712 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 6 km à vol d'oiseau[7], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Milieux naturels et biodiversité
La commune est surtout entourée de zones d'agriculture intensive, et de zones industrielles et urbaines (à l'est). Elle a souffert de lourdes séquelles physiques et environnementales lors des deux guerres mondiales.
La renaturation des friches industrielles et des terrils et des cavaliers miniers situés dans le proche bassin minier sont aussi devenu un atout environnemental, avec notamment l'inscription d'une partie des milieux renaturés dans la trame verte du bassin minier dont le prolongement est le parc de la Deûle et la trame verte de Lille-LMCU qui déclineront ou complèteront localement le Réseau écologique paneuropéen dans le cadre de la trame verte et bleue nationale à la suite du Grenelle de l'environnement.
La commune qui en 2008 disposait d'environ 8 personnes pour la gestion de 40 ha d'espaces verts a depuis l'an 2000 engagé une démarche de gestion différenciée, notamment pour entretenir l'ancienne voie ferrée transformée en coulée verte et améliorer ses fonctions de corridor biologique. On y pratique en particulier le désherbage thermique[11].
Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : les bassins de Brebières et bois du grand marais. Cette ZNIEFF bénéficie de zones humides et est situé à une altitude de 32 à 35 m). Ces zones humides sont souvent artificielles (bassins de décantation, fossés…) mais néanmoins garnis de vasières et roselières eutrophes abritant une richesse ornithologique. Selon le ministère chargé de l'Environnement, ces sites jouent un rôle important pour le « stationnement migratoire, nidification, hivernage d’Anatidés »[12].

Urbanisme
Résumé
Contexte
Typologie
Au , Brebières est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[15]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (67,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (17,1 %), zones urbanisées (17 %), zones agricoles hétérogènes (5,7 %), forêts (2,6 %), prairies (2,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %), eaux continentales[Note 6] (1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports
Voies de communication
La commune est desservie par la D 950 (ex-RN 50) qui relie Arras à Douai et la frontière belge.
Transports en commun
La gare de Brebières-Sud, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, est desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares : d'Achiet et de Douai ; d'Arras et de Douai ou Lille - Flandres.
Toponymie
La première mention de Brebières est faite dans un document de Charles II le Chauve le .
Le nom de la localité est attesté sous les formes Berbiariæ (871) (Histor. de Fr., t. VIII, p. 634 ; dipl. Caroli Calvi), Berbera (1038), Berbere (1081), Bierberiæ (1096), Berbire (XIIe siècle), Berberia (1208), Breberia (1228), Brebiere (1242), Berbiere (1264), Brebiere (1289), Brebyère (1311), Brebieres lez Douay (1507), Brebierre (XVIIIe siècle)[19], Brébiére (1793) puis Brebières depuis 1801[1].
Pluriel de l'adjectif latin *vervicaria (casa) « cabane à brebis » , qui a donné en ancien français *berchière « bergerie »[20].
Histoire
Résumé
Contexte
Fouilles archéologiques
L'occupation du lieu par les êtres humains est bien ancienne puisque : En 2008, la nouvelle ZAC des Béliers de 60 hectares fait l'objet de fouilles et révèle un important site occupé par des Gaulois et des Celtes. 17 hectares ont été fouillés et trois sites confirment cette présence :
- le premier site révèle trois enclos agricoles d'époque gauloise datant du IIe siècle av. J.-C., composés chacun de cinq bâtiments ;
- le deuxième, un enclos entouré de deux fossés concentriques datant du Ier siècle av. J.-C. Une activité métallurgique est prouvée par des résidus de fonte de fer. On trouve également des perles en pâte de verre, de la céramique et des ossements d'animaux et humains ;
- le troisième site appartient à l'époque celtique, vers le Ve siècle av. J.-C., avec cinq bâtiments et à proximité une concentration de fosse ayant servi à chauffer ou à cuire[21],[22].
Dans les années 1960, un grand village mérovingien est découvert près de la Scarpe qui traverse le village. De nombreuses céramiques sont trouvées comme des céramiques sans décor (90 pour cent des céramiques trouvées) sûrement utilisées quotidiennement, des céramiques tournées, des cruches, des bols et des plats[23]. La construction de bâtiments en 2003 permet de trouver des objets similaires et de terminer de repérer le village.
Première Guerre mondiale
La commune est décorée de la croix de guerre 1914-1918 par décret du , distinction également attribuée à 276 autres communes du Pas-de-Calais[24].
Seconde Guerre mondiale

Politique et administration
Résumé
Contexte
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
Brebières était membre de la communauté de communes Osartis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des prescriptions du schéma départemental de coopération intercommunale approuvé par le préfet du Pas-de-Calais le [25], cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former la communauté de communes Osartis Marquion, dont est désormais membre la commune.
Circonscriptions administratives
La commune faisait partie depuis 1793 du canton de Vitry-en-Artois[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur du canton de Brebières.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais .
Élections municipales et communautaires
Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 3 966 inscrits, dont 2 026 votants (51,08 %), aucun vote blanc et 1 958 suffrages exprimés (96,64 %). Quatre listes s'affrontent au premier tour, et à l'issue de celui-ci, aucun siège n'a été pourvu :
- la liste menée par Jean-Pierre Moreau recueille 411 voix (20,99 %) ;
- la liste étiquetée divers droite menée par Lionel David recueille 486 voix (24,82 %) ;
- la liste étiquetée divers gauche menée par Jocelyne Cieslak recueille 464 voix (23,70 %) ;
- la liste étiquetée divers gauche menée par Nicolas Cicoria recueille 597 voix (30,49 %)[26].
Liste des maires
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Maires avant 1945
| ||||
1945 | 1947 | Henri Ducrocq | PCF | Ouvrier papetier |
octobre 1947 | mars 1965 | Maurice Grossemy[29],[30] | SFIO | Boucher Conseiller général (1947 → 1967) Commandeur de la Légion d’honneur |
mars 1965 | mars 1983 | Georges Lefebvre | UNR-RPR | Marchand de grains |
mars 1983 | juillet 2020 | Jean-Pierre Hecquet[31] | PS | Retraité de la fonction publique Vice-président de la CC Osartis Marquion (2014 → 2020) Suppléant de la députée Catherine Génisson (1997-2002) |
juillet 2020[32] | En cours (au 14 octobre 2020) |
Lionel David | DVD[33] | Médecin |
Équipements et services publics
Espaces publics
La commune est labellisée « 1 fleur » au concours des villes et villages fleuris[34].
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[35].
Population et société
Résumé
Contexte
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Brebiérois[36].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].
En 2022, la commune comptait 5 210 habitants[Note 7], en évolution de +6,15 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
2021 | 2022 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
5 169 | 5 210 | - | - | - | - | - | - | - |
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 420 hommes pour 2 663 femmes, soit un taux de 52,39 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,4 | 0,8 | |
5,2 | 8,9 | |
14,9 | 15,6 | |
22,6 | 20,3 | |
20,7 | 20,6 | |
15,7 | 15,4 | |
20,6 | 18,3 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 1,6 | |
5,6 | 8,9 | |
16,7 | 18,1 | |
20,2 | 19,2 | |
18,9 | 18,1 | |
18,2 | 16,2 | |
19,9 | 17,9 |
Vie associative
La commune dispose d'une importante vie associative, dans le sport, la chasse, la pêche, l'aide sociale, la mémoire, la culture ainsi que d'autres associations[42].
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Monument historique
- L'ancien château de la Bucquière. Ce bâtiment fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [43].
Autres lieux et monuments
- L'église Saint-Vaast, reconstruite après 1918.
- La gare de Brebières-Sud.
- Le champ d'aviation de la Brayelle
- Le château Pilat
- Le château Prévost
- Le monument aux morts[44].
- Le monument à la mémoire du capitaine Louis Gabriel Madiot, avec la citation suivante : « Ici, le 23 octobre 1910 / Le capitaine L.G. Madiot / trouve la mort dans une chute d'aéroplane / victime de la science / mort pour la Patrie / 1867-1910 »[45].
- Le Brebières British Cemetery au lieu-dit chemin de la Brayette[45].
- Le parc municipal
- Le stade et complexe sportif
- L'église Saint-Vaast.
- La gare.
- Le champ d'aviation.
- Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Louis Joseph Pilat (1735-1809), député suppléant du tiers-état aux États généraux en 1789, né et mort dans la commune.
- Maurice Grossemy, né en 1897 à Gavrelle et mort en 1975 à Brebières, boucher.
- Durant la Première Guerre mondiale, il est porté mort pour la France en 1918 mais retrouvé vivant dans un camp de prisonniers en Pologne, blessé il est pensionné à 100 %. En 1934, il est élu conseiller municipal socialiste de Brebières.
- Pendant la Seconde Guerre mondiale, il s'engage dans la résistance française dans le groupe « Voix du Nord », au sein du réseau « CENTURIE ». Arrêté en , il est incarcéré à la prison Saint Gilles de Bruxelles, puis déporté en Allemagne dans les prisons de différentes villes. Le , il est transféré au camp de concentration de Buchenwald puis évacué au camp de concentration de Flossenbürg. Ce camp est évacué en avril et 14 à 15 000 prisonniers partent à pied vers le sud, plus de la moitié seront décimés. Maurice Grossemy est libéré le par les Américains dans la région de Cham.
- De retour de captivité, il est élu de à 1967, conseiller général du canton de Vitry-en-Artois, maire de Brebières en 1947 et réélu en 1953 et 1959, et délégué cantonal de l’Éducation nationale en 1962.
- Il est commandeur dans l'ordre national de la Légion d'honneur et est décoré de la médaille militaire, de la croix de guerre 1914-1918 avec citations, de la croix de guerre 1939-1945, de la médaille de la Résistance française, il est officier d’académie, chevalier du Mérite social et chevalier du Mérite agricole. En 2014, la commune lui rend hommage en posant une stèle à son nom au monument aux morts[46],[47],[48].
Héraldique
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Blason | De gueules à dix losanges d'argent accolées et aboutées, 3, 3, 3 et 1, surmontées d'un label d'azur ; au chef cousu d'azur chargé d'une roue de moulin d'or accostée de deux moutons affrontés d'argent[49].
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Détails | * Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : azur sur gueules Les deux brebis sont le symbole de l'élevage qui fut la première richesse du village. La roue de moulin est le symbole de la première industrie qui fut ruinée par la Première Guerre mondiale, donnant naissance aux usines actuelles.. Adopté par la municipalité en 1920. |
Pour approfondir
Bibliographie
Ouvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[50] :
- J.-P. Brémard, Brebières et ses environs, Joué-lès-Tours, Alan Sutton, 1999.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 8]
- « Brebières » sur Géoportail.
Notes et références
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