Woëvre (Four de Paris, Saint-Hubert, ravin du Mortier).
1915
Woëvre (Four de Paris),
Champagne,
Meuse (Maizeray, Sonvaux, Les Éparges),
Champagne (secteur du Grill).
1916
Verdun (tranchée de la Morchée, Douaumont, Thiaumont),
Somme (Gentelles, Estrées Berny-en-Santerre).
1917
Champagne,
Aisne,
Verdun (Avocourt).
1918
Verdun,
Ourcq (Chézy-en-Orxois),
la Marne,
la Vesle,
la Champagne (Mesnil-lès-Hurlus),
Lorraine (Morainvillers).
Entre-deux-guerres
1919 - 1926: occupation en Allemagne (garde sur le Rhin, Palatinat)
Jusqu'en 1939 en garnison à Antibes. Il forme une demi-brigade avec les 18e (Grasse) et 20e (Antibes).
Seconde Guerre mondiale
1939: Alpes (massif de l’Arpette, Sospel)
1940: Alsace (Dambach, Otterswiller), désigné pour participer à l'expédition de Norvège mais reste à Glasgow, Seine (Orgeval), Somme (Orival-Offignies), Seine-Maritime, anéanti à Saint-Valery-en-Caux le .
1944: le bataillon n'est pas recréé après 1940 mais le bataillon Estérel 9, formé début septembre à Antibes, reprend les traditions du 9eBCA. Il fusionne le dans le bataillon 22/XV[2],[3].
Devise
"Ne recule ni ne dévie"
"Je brise tout"
Insigne
Drapeau
Comme tous les bataillons de chasseurs, le 9eBCA ne dispose pas d'un drapeau propre mais a un fanion, en plus du drapeau des chasseurs.
Le 9ebataillon de chasseurs à pied pendant la guerre de 1914-1918: souvenir à tous ceux qui en ont fait partie, Paris, H. Charles Lavauzelle et Cie, , 103p., lire en ligne sur Gallica.
Joseph Girard, «La participation des F.F.I. à la libération des Alpes-Maritimes», Cahiers de la Méditerranée, vol.12, no1, , p.17–28 (DOI10.3406/camed.1976.1418, lire en ligne, consulté le )