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73e division d'infanterie (France)

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73e division d'infanterie (France)
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La 73e division d’infanterie est une division d’infanterie de l’Armée française qui a participé à la Première Guerre mondiale.

Faits en bref Création, Dissolution ...
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Les offensives menées à Bois-le-Prêtre le et le le furent par la 73e division.

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Les chefs de la 73e division d’infanterie

  • -  : général Châtelain[1]
  • -  : général Martin de Laporte[1]
  • -  : général Lebocq[2]
  • juillet 1918 Le Colonel SIMON, commandant l'infanterie de la 73ème Division, 346ème régiment

Première Guerre mondiale

Résumé
Contexte

Composition

Infanterie[3]

Du début de la guerre jusqu’en février 1917, les 346e, 353e et 356e RI sont regroupés dans la 145e brigade d’infanterie et les 367e, 368e et 369e RI dans la 146e brigade d’infanterie.

Cavalerie[3]
Artillerie[3]
Unités mises à disposition de la 73e DI

Historique

1914

22 -  : combats vers Lironville et sur le plateau de Mamey.
26 -  : attaques vers Fey-en-Haye.
  •  : stabilisation et occupation d’un secteur vers le Bois-le-Prêtre et le bois de Mort Mare (guerre de mines) : , puis le , attaque sur le bois de Mort Mare ; conquête du Bois-le-Prêtre[11].
 : réduction du front, à gauche, jusque vers Fey-en-Haye.
 : attaque allemande au bois le Prêtre.

1915

1916

  •  : retrait du front vers Liverdun, et transport au camp de Saffais : instruction. À partir du , transport par voie ferrée dans la région de Revigny ; repos vers Laheycourt. À partir du , transport par camions à Verdun et stationnement[15].
  •  : occupation d’un secteur vers le bois de Vaux Chapitre et la ferme Dicourt[15] :
 : attaque allemande. Accident dans un dépôt de munitions au tunnel de Tavannes, un incendie tue plus de 500 hommes[16].
 : attaque française sur le bois de la Vaux Régnier.
  • 11 –  : retrait du front, repos vers Vavincourt. À partir du 14, transport par voie ferrée dans la région de Rambervillers et repos[15].
  •  : mouvement vers le front, occupation d’un secteur dans la région de la Vezouze, Emberménil, étendu à gauche, le , jusqu’au Sanon[15].

1917

  •  : retrait du front, repos et instruction au camp de Saffais[15].
  • 19 –  : transport par voie ferrée, de Bayon vers Nançois-le-Petit et Longeville[15].
  •  : occupation d’un secteur entre la Hayette et la lisière est du bois d’Avocourt[15] :
28 et  : attaque allemande sur la cote 304.
 : attaque des positions allemandes vers la cote 304 ; organisation des positions reconquises.
  •  : retrait du front, transport dans la région de Ligny-en-Barrois, puis dans celle de Belfort ; repos[15].
  •  : mouvement vers le front et occupation d’un secteur entre la frontière suisse et Fulleren, étendu à gauche, à partir du , jusqu’au canal du Rhône au Rhin : , attaque allemande locale[14].

1918

4 et  : attaques violentes, poursuite vers l’Aisne, atteinte le 12 à Attigny. Organisation du front à l’est d’Attigny.

Rattachements

Affectation organique: Isolée, d’ à [1]

[11]
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[15]
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[14],[17]
17 – [11]
[14]
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19 – [14]
25 – [14]
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[15],[14]
  • 8e armée (initialement détachement d'armée de Lorraine)
[15]
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[17]
17 – [14]
28 – [14]
2 – [11]
22 – [11]
18 – [17]
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L’entre-deux-guerres

La division est dissoute en mars 1919[réf. souhaitée].

Notes et références

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Voir aussi

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