14 et : attaques françaises vers le bois de Beaurain.
7, 11 et : attaques allemandes vers le ravin de la Houyette.
14 - : retrait du front et repos dans la région de Sarry.
- : mouvement vers le front; éléments en secteur vers Souain et la ferme des Wacques[1]. À partir du 25 septembre, engagée dans la 2e Bataille de Champagne, à l'ouest de Souain: attaques françaises vers la ferme Navarin. Enlèvement de la 1reposition allemande, à l’ouest de la ferme Navarin[2].
- : retrait du front et repos vers la Cheppe. À partir du , transport par camions dans la région d’Épernay, puis, par V.F., dans celle d’Estrées-Saint-Denis; repos et instruction.
- : transport par camions dans la région Œuilly, Fismes, et, le , occupation d’un secteur vers Troyon et la ferme d'Hurtebise, étendu à gauche, le , jusqu’à Chivy.
- : mouvement vers le front et occupation d’un secteur vers la ferme d'Hurtebise et Chivy, réduit à droite, le , jusqu’à la route de Paissy à Ailles, et, à gauche, le , jusqu’à Troyon.
- : transport par camions vers la Meuse et occupation d’un secteur vers les Paroches et le bois Loclont.
1918
- : mouvement de rocade, et, à partir du [3], occupation d’un secteur entre Kœur-la-Grande et Maizey.
- : retrait du front; à partir du , transport par camions vers Arches; repos et instruction au camp. À partir du , mouvement par étapes vers Bruyères; repos et instruction. À partir du , transport par V.F. dans la région de Beauvais, puis mouvement vers celle de Breteuil; repos.
- : mouvement vers le front; occupation d’un secteur vers Thory et Mailly-Raineval, étendu à gauche, le , jusqu’au sud de Rouvrel: organisation du front et combats dans la région de Castel. En juillet, actions offensives fréquentes, particulièrement le 23, vers Mailly-Raineval.
- : mouvement vers le front et occupation d’un secteur au nord du bois des Forges; le , franchissement de la Meuse; progression sur les Hauts-de-Meuse.
Du 5 au 15 janvier 1918, la 15e D.I.C. et la 52e Division d'Infanterie exécutent des mouvements de rocade et changent de secteur entre elles, la 52e D.I. venant occuper le secteur nouvellement passé au 10e Corps d'Armée. Dans cette période ces deux divisions rattachées ici au 2e C.A.C., dépendent donc aussi du 10e C.A.
Bibliographie
AFGG, vol.2, t.10: Ordres de bataille des grandes unités: divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092p. (lire en ligne).