À partir du 26, mouvement par la région d'Issoncourt, vers celle de Saint-Mihiel.
– : engagée dans la Bataille de Flirey: Combats au nord de Saint-Mihiel et vers la Forêt d'Apremont. Puis stabilisation, et occupation d'un secteur vers le Bois d'Ailly et la Meuse: nombreuses actions locales et guerre de mines[7].
1915
– : engagée dans la 1re bataille de la Woëvre: du 5 au , du 22 au , et le , violentes attaques françaises au Bois d'Ailly; puis stabilisation[7].
- : légère réduction du front, à droite.
27 – : retrait du front, et transport par VF. dans la région de Sainte-Menehould[7].
– : retrait du front et mouvement vers le camp de Saffais; instruction[8].
– : transport par VF. dans la région de Crèvecœur-le-Grand; repos (à partir du , des éléments de la D.I participent à l'occupation d'un secteur vers Belloy-en-Santerre)[8].
– : occupation d'un secteur à l'est de Belloy-en-Santerre et de Berny-en-Santerre[8].
1917
8 - : retrait du front et repos vers Grandvilliers. À partir du 16, transport par VF. dans la région de Châlons; repos[9].
– : occupation d'un secteur vers l'est de l'Epine de Vedegrange et Auberive-sur-Suippe; , mouvement de rocade, et occupation d'un nouveau secteur vers Maisons de Champagne et la Courtine: actions locales, particulièrement violentes les 24, 29 et [9].
– : retrait du front, et, à partir du 1er juin, occupation d'un secteur vers Nampcel et le mont de Choisy, réduit, le , au front bois Saint-Mard, ferme Quennevières: combats vers la ferme Puiseux (3ebataille de l'Aisne)[9].
– : engagée, en direction de l'Oise, dans la 2e Bataille de Noyon, et, à la fin août, dans la poussée vers la ligne Hindenburg: progression sur la rive gauche de l’Oise jusqu'à la haute forêt de Coucy; organisation des positions conquises entre le sud de Servais et l'Oise[9].
La loi du , sur l’organisation générale de l’armée et la loi des cadres et effectifs du , fixent le nombre des divisions d’infanterie métropolitaines à vingt. Ces dernières sont considérées comme des forces de territoire affectées à la défense du sol métropolitain.
Ces grandes unités d’infanterie sont de trois types, dix divisions d’infanterie de type «nord-est», sept divisions d’infanterie motorisées et trois divisions d’infanterie alpine. La 15e division d'infanterie est stationnée à Dijon.
«• Le général Saulnier reçoit une cinquième étoile • Le général Barthez est gouverneur militaire de Paris • Le général de la Motte commande la région de Bordeaux • Le médecin général Juillet dirige le service de santé», Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
«Au conseil des ministres M. Pierre Joxe installe les titulaires des grands commandements du plan " Armées 2000 "», Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
«Sur proposition de M. Pierre Joxe Le général Michel Guignon devient commandant militaire en Ile-de-France», Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
«Avant la conférence de Londres sur le conflit dans l'ex-Yougoslavie La France et l'Allemagne s'efforcent de coordonner leurs positions», Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
Emmanuel Gepeyre, «Armée de terre - Mobilisation et dérivation - L'exercice Saône 79 - L'approvisionnement en rechanges», Revue de la Défense nationale, no394, , p.156-159 (lire en ligne)
«Un bataillon français en Bosnie 1 350 soldats, avec des blindés, escorteront les convois de l'aide humanitaire aux réfugiés», Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
«DÉFENSE Pour accompagner des formations blindées dans des combats urbains Deux divisions d'infanterie vont fusionner», Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
Bibliographie
Les armées françaises dans la Grande guerre (AFGG), vol.2, t.10: Ordres de bataille des grandes unités: divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092p. (lire en ligne).