3 août: Adhémar de Monteil, évêque de Metz, approuve la fondation, prévue dès 1334 dans le testament de Jean de la Court, d'un hospice réservé aux «pauvres femmes en gésine» et connu par la suite sous le nom d'hôpital de la Chapelotte[2].
Fondation de l'université d'Angers, spécialisée dans le droit, et où la faculté de médecine ne sera créée qu'en 1432, avec celles des arts et de théologie[3].
Fondation probable de l'hôpital Saint-Barthélemy (Bartholomaei Spital) de Dresde, en Saxe[4].
Un hôtel-Dieu Saint-Jacques est mentionné à Béziers sous le nom d'hôpital des pauvres du Christ; uni à d'autres établissements à la fin du XVe, il sera dès lors qualifié d'hôpital mage[8].
Les lois édictées pour le gouvernement de la maison de Jacques III, roi de Majorque, et qui seront reprises en 1344 par Pierre III d'Aragon, prévoient de nombreuses dispositions pour parer au risque d'empoisonnement, tant en ce qui touche aux remèdes qu'à la nourriture; l'apothicaire royal est tenu d'essayer les électuaires et les lotions capillaires, et même le vin d'ablution doit être goûté[11],[12].
Pierre Meignan, «Au XIVesiècle, première césarienne réussie à la cour de Bohême», Faits et événements, sur les archives de Radio Prague (mis en ligne le 13 septembre 2016, consulté le 30 novembre 2016, lire en ligne).
«Top 10 des universités françaises les plus anciennes, 6: Université d'Angers», sur le site de l'université Panthéon-Sorbonne[lire en ligne(page consultée le 16 juillet 2017)].
Jean Ekkenstein, Guide de la ville de Dresde ou Tableau topographique de la capitale de Saxe et voyage pittoresque de ses environs, Dresde et Leigzig, chez Arnold, libraire, , 268-[4] (lire en ligne), p.122.
Isabelle Guyot-Bachy, «La Géographie urbaine des chroniqueurs parisiens de Philippe le Bel à l'avénement de Charles V», dans Claude Gauvard (dir.) et Jean-Louis Robert (dir.), Être Parisien, Publications de la Sorbonne, coll.«Homme et société», , 618p. (ISBN978-2-85944-857-8, lire en ligne), §13, n.28.
(en) Stephen Lock (dir.), John M. Last(en) (dir.) et George Dunea (dir.), The Oxford Illustrated Companion to Medicine, Oxford University Press, (lire en ligne), p.103.
Jean-Gabriel Gigot, Annette Sahraoui, Yvette Aubail et Rafaël Hyacinthe, «Hôpitaux de Béziers (1337-1968). Répertoire de la sous-série 4 HDT», sur le site Pierres vives, archives départementales de l'Hérault, 2008 (lire en ligne).
«Article I: Continuation des Mémoires de littérature et d'histoire [compte rendu, référence: Continuation des Mémoires de littérature et d'histoire, vol.2, Paris, chez Simart, , partie2, p.265-511]», Bibliothèque française, ou Histoire littéraire de la France, Amsterdam, Jean-Frédéric Bernard, vol.9, 1repartie, , p.21 (lire en ligne).
Maur-François Dantine et François Clément, L'Art de vérifier les dates des faits historiques et des chartes, des chroniques et autres anciens monuments depuis la naissance de Notre-Seigneur, t.1, Paris, Alexandre Jombert jeune, , 3eéd., 850p. (lire en ligne), «Des rois de Majorque», p.753.
Laurence Moulinier, «Un aspect particulier de la médecine des religieux après le XIIesiècle: L'Attrait pour l'astrologie médicale», dans Luc Berlivet, Sara Cabibbo, Maria Pia Donato, Raimondo Michetti et Marilyn Nicoud, Médecine et religion: Compétitions, collaborations, conflits (XIIe – XXesiècles), Rome, École française de Rome, (lire en ligne), p.3.