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constructeur japonais de motos De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Yamaha Motor Co., Ltd. (ヤマハ発動機株式会社, Yamaha Hatsudōki Kabushiki-gaisha ) est un fabricant de motos, de scooters, de motoneiges et de moteurs marins. Né le 1er juillet 1955, il est séparé de Yamaha Corporation fondée en 1897 qui s’est imposée comme fabricant d’orgues et de pianos. Elle est connue sous le nom de « La maison des trois diapasons ».
Yamaha Motor Company | |
Création | |
---|---|
Fondateurs | Genichi Kawakami (en) |
Forme juridique | Kabushiki gaisha |
Action | Bourse de Tokyo (7272) |
Slogan | Revs Your Heart |
Siège social | Iwata |
Actionnaires | Yamaha Corporation |
Activité | Construction automobile et génie mécanique |
Produits | Motos, Motoneiges, Moteurs hors-bords, Nautisme, VTT |
Société mère | Yamaha Corporation |
Filiales | MBK industrie |
Effectif | 53 306 ()[1] |
Site web | global.yamaha-motor.com |
Chiffre d'affaires | 2 414,8 G¥ ()[2] |
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Yamaha est le deuxième plus grand fabricant de motos au monde, après Honda.
L'histoire de Yamaha Motor commence par la 125 YA-1 de 1955, largement inspirée, comme d'autres avant elle (BSA, Harley-Davidson, etc.), de la DKW RT 125 allemande de 1939[3],[4]. Contrairement à Honda, Yamaha est, au début, un spécialiste du moteur 2-temps comme deux autres japonais (Suzuki et Kawasaki). Ses machines de série ont tout de suite été réputées pour leur vivacité et leur fiabilité.
Yamaha arrive sur le marché européen à la fin des années 1960, avec une gamme de petites et moyennes cylindrées 2-temps, cylindres en fonte, dont :
Ces machines sont originales, avec très tôt une lubrification par injection d'huile (système autolube) et non par mélange.
Dès 1970, ces machines évoluent par l'adoption de cylindres en aluminium :
Yamaha travaille beaucoup sur la technique du 2-temps, avec l'admission par clapets et les valves d'échappement YPVS étudiées afin d'ajuster l'accord admission/échappement.
Yamaha s'essaye avec succès au 4-temps. La 650 XS sort en 1969 et poursuit sa carrière jusqu'en 1982. Pour contrer le succès de la Honda CB 750 Four, Yamaha sort en 1972 la 750 TX, un échec à cause d'une mécanique fragile. Les années 1970 voient aussi l'arrivée de Yamaha en tout-terrain (modèles trail) : DT 360 en 1973, DT 125, qui évolue en DTMX (suspension cantilever).
En 1975, Yamaha relance la mode du gros monocylindre avec la Yamaha XT 500 trail et ses dérivés (XT 550, XT 600, XT 660 R et X, Ténéré, SR 500 (ja)).
En 1977, Yamaha sort la XS 500, bicylindre 4-temps à deux arbres à cames en tête et huit soupapes, et la XS 750, tricylindre 4-temps à transmission par arbre et cardan, qui évolue en 850 cm3.
En 1978 sort la 1100 XS reconnaissable par son phare rectangulaire. Sa cylindrée audacieuse en fait la plus grosse cylindrée japonaise de l'époque.
En 1983, Yamaha sort la 900 XJ qui évolue, en 1984, avec un carénage tête de fourche fixé au cadre, des simplifications techniques et une augmentation de la cylindrée au bénéfice de la souplesse et du couple. Existent également la 650 XJ, la 750 XJ Séca sans carénage, mais transmission secondaire par cardan également, la 400 et 600 (transmission secondaire par chaîne). Ils continuent à produire la 900 XJ jusqu'en 1994 et la remplacent ensuite par la 900 Diversion.
Yamaha continue à innover :
Yamaha récolte de nombreux succès en Grand Prix (Jarno Saarinen,Giacomo Agostini, Johnny Cecotto, Kenny Roberts, Patrick Pons, Christian Sarron, etc.) avec les TZ, proches des modèles de série au début. L'année 1971 vit en Jarno Saarinen et ça lui valut sa première victoire mondiale en 350cc lors du grand prix de Tchécoslovaquie. Il devint pilote officiel et en 1972 les succès s'enchaînent et en 250cc il remporta le titre devant le pilote Aermacchi Renzo Pasolini il conclut au deuxième rang la saison 350cc.
Yamaha produit également des scooters. En France, Yamaha commercialise également ses scooters 50 et 125 cm3 sous la marque MBK (Booster, Skycruiser, Evolis et Skyliner, Tryptik, identiques aux Yamaha BW'S, X-Max, X-City, Tricity).
Giggle, NEOs, Aerox R, Aerox Race Replica, BW's Naked, BW's 12 pouces, BW's Original, BW's Next Generation, Slider Naked Tzr.Breeze Jog R, Jog RR, Dt50x, Dt50r et TZR 50.
X-Max 125, Majesty 125, Cygnus X, X-City 125, Vity, BW'S 125, YZF R125[6], Wr 125, SR 125, YBR 125 125 yze, mt125, 125tzr N max 125
Tricity 125, tri-z 250, tri-z 350, tri-moto, ytm.
TMAX 530, Majesty 400, X-Max 250, X-Max 300, X-Max 400, X-City 250.
Yamaha s'est lancée dans la fabrication de motoneiges en 1968. Voulant profiter de la popularité croissante de ce véhicule, la compagnie produit la SL-350 propulsée par un moteur 2-temps bicylindre. C'était la première motoneige avec un carburateur à valve latérale. En 1971, le modèle SR433 de haute performance est introduit pour les courses. En 1976, le modèle SRX440 place ce fabricant à l'avant-garde dans les circuits de courses.
Le quartier général de la division des motoneiges se trouve à Cypress en Californie.
Aujourd'hui[Quand ?] Yamaha est le leader mondial des motoneiges 4-temps.
Yamaha s'est lancée dans la fabrication de moteurs pour vélo à assistance électrique dès 1993. L'entreprise a ainsi développé sa propre gamme de vélos et propose des moteurs pour les fabricants de vélo à assistance électrique. La dernière version de leur moteur sera produite dans l’usine de MBK industrie, à Saint-Quentin (02) dans les Hauts-de-France[7]. Ses moteurs équipent de nombreuses marques de vélo à assistance électrique telles que Cycles Gitane, Lapierre, Solex et Matra.
Yamaha Motor Company est une société d'ingénierie automobile filiale de Yamaha qui a développé des moteurs de compétition destinés à la Formule 1. De 1982 à 1997, la société a été dirigée par John Judd, qui possédait déjà sa propre officine de conception de moteurs (Judd). De fait, à partir du moment où Yamaha a décidé de s'investir sous son nom propre en F1, les moteurs conçus par Judd étaient soit baptisés « Judd », soit badgés « Yamaha ». Les écuries de F1 ayant couru avec un Yamaha sont les suivantes :
Des moteurs Yamaha animent certains modèles d'automobiles Volvo, Ford, Noble (moteurs V8). Surtout, Yamaha a étudié plusieurs moteurs à caractère sportif pour Toyota (les Celica) et la voiture de sport Lexus LFA, dotée d'un V10 (2010-2012).
Yamaha est un des leaders dans le moteur hors-bord ; la gamme comprend une cinquantaine de modèles de moteurs 4-temps et 2-temps, et des petits moteurs électriques[8].
Les moteurs sont dotés notamment de Starter PrimeStart pour démarrer, d'un système de commande de régime variable, de jauges réseau numérique et de microprocesseur de commande de moteur ECM (Engine Control Module).
Yamaha Motor Company a créé une société d'ingénierie automobile qui a développé des moteurs de compétition destinés à la Formule 1. De 1982 à 1997, la société a été dirigée par John Judd, qui possédait déjà sa propre officine de conception de moteurs (Judd). De fait, à partir du moment où Yamaha a décidé de s'investir sous son nom propre en F1, les moteurs conçus par Judd étaient soit baptisés Judd, soit badgés Yamaha.
Moteur engagé en 1989.
Moteur engagé en 1991 et 1993.
Moteur conçu par Judd sous le nom Judd GV, engagé en 1993 et 1994.
Moteur conçu par Judd sous le nom Judd HV, engagé en 1995.
Moteur conçu par Judd sous le nom Judd JV, engagé en 1996 et 1997.
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