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https://en.wikipedia.org/wiki/History_of_Macau#1637%E2%80%931844:_Decline
- expulsion du Japon
- Perte de Malacca
- Fin dynastie Ming
- Restauration portugaise
En 1641, les Néerlandais prennent cependant Malacca aux Portugais et surtout obtiennent le monopole du commerce avec le Japon dans le cadre de la politique isolationiste du sakoku (鎖国?, littéralement « fermeture du pays »).
1640 est également l'année de la restauration de l'indépendance de la couronne espagnole. Le gouvernement de Lisbonne se retrouve cependant face à ses limites financieres et face a l'impossibilite de maintenir le controle d'un empire aussi étendu, il choisit la proximité géographique et "abandonne" l'orient pour développer ses colonies africaines...[1]. source not good tese mestrado, outra: António da Silva REGO, Macau entre duas Crises 1640-1688, Lisboa, Academia Portuguesa de História, 1977 (not available on line)
Em 1644, quando as Coroas de Portugal e de Espanha já estavam de novo separadas, o comércio com Manila e com os espanhóis sediados lá encerrou-se, causando mais problemas economico-financeiros para a Cidade de Macau.
Les années 1640 signalent aussi la fin de la dynastie Ming face à la progression des Bannières mandchoues. La période de 1644 à 1653 est particulièrement trouble dans le sud de la Chine et la reprise de Guangzhou par les Mandchous en 1650 est suivi du massacre de 60 000 à 100 000 habitants[2],[3],[alpha 1] et les autorités de Macao maintiennent initialement leur allégiance aux loyalistes Ming qui se réfugient dans le Guangdong. 600 à 800 soldats portugais quittent Macao en 1649 pour rejoindre l'armée du dernier empereur Ming, Yongli, à Zhaoqing. Cependant, fin 1650, conscient que la résistance Ming s'essoufle, certains font pression pour empêcher le départ de l'ambassade du père Michal Boym portant les lettres adressées au Pape et au général des Jésuites par la femme du père de Yongli, récemment baptisée, et le visiteur jésuite Sebastião da Maia doit menacer d'excommunication le gouverneur pour que celui-ci ne s'y oppose pas[4].
Pour anéantir toute résistance, les Qing imposent des contrôles sur le commerce maritime à partir de 1656 puis, en 1662, interdisent toute navigation maritime. A partir de 1661, un décret impérial ordonne l'évacuation des populations côtières 50 lis (30 km) à l’intérieur des terres ; une politique de la terre brûlée pour que les troupes de Koxinga ne trouvent aucun soutien à leur vélléité de reprendre pied sur le continent[5]. Le sénat de Macao essaye de négocier avec les autorités du Guangdong, mais sans succès ; de 1662 à 1668 la population chinoise quitte Macao qui se retrouve privé de cette main d'oeuvre essentielle et souffre de famine en 1667. Les marchands Chinois ne sont autorisés à retourner légalement à Macao qu'en 1679 après l'ambassade de Bento Pereira da Faria à Pékin (qui offrit un lion vivant à l'empereur Kangxi)[6]. Le pays finalement unifié et en paix, l'empereur établit des postes de douanes (海关, hǎiguān) en 1683-1684 puis en 1685, les marchands étrangers sont autorisés à vendre et acheter dans les ports chinois. Avec cette libéralisation cependant, tous les marchands étrangers, qui devaient auparavant aller à Macao et se soumettre au bon vouloir des intermédiaires portugais, peuvent maintenant aller directement à l'île de Whampoa pour y commercer[5].
PAULINO DA SILVA BARBOSA O BAIANO QUE LIDEROU A REVOLUÇÃO CONSTITUCIONAL EM MACAU E CRIOU O JORNAL A ABELHA DA CHINA (1822-1823) Pablo Magalhães Afro-Ásia, 51 (2015), 275-310 ISSN: 0002-0591 Universidade Federal da Bahia Bahía, Brasil https://www.redalyc.org/articulo.oa?id=77050451009
Em 1685, apesar das sucessivas embaixadas portuguesas a Pequim, deu-se o fim do monopólio português no comércio com a China porque o Imperador chinês autorizou o comércio com todos os países estrangeiros em Cantão, pelo menos uma vez por ano durante a feira anual.
1849?: in accordance with the instructions received from Lisbon, Ferreira do Amaral had propelled the application of a com-pulsory tax for all the inhabitants of Macao, including the Chinese who until then had been outside the Portuguese jurisdiction. (Wu, Zhiliang, Segredos da Sobrevivência. História Política de Macau, Macau, Associação de Educação de Adultos de Macao, 1999, pp. 95-96)
1868: ROBERT HART suggested a plan for the recovery of MACAO consisting on a monetary compensation in exchange for the definitive abandonment of any Portuguese claim on that territory, thus taking advantage of the economical difficulties that the Portuguese administration was facing. Hart’s proposal was well accepted by Prince Gong and the Zongli yamen. Besides the monetary payment, Hart had in mind that the negotiations for the transference would be held directly with the Lisbon government. in the middle of 1868, after reaching a generous economic agree-ment with the Zongli yamen, Sinibaldo de Mas secretly left China towards Europe bearing imperial credentials ( guoshu) authorizing him to negotiate on behalf of the Chinese government. He died shortly after arriving in Lisbon and could not carry out his mission (CHAPITRE: "Aproximar Portugal e a China num entendimento amistoso". As ofensivas diplomáticas chinesas para a compra de Macau -- Contributo para o estudo das missões do Zongli Yamen ao Ocidente (1868-1891) / António Vasconcelos de Saldanha IN {{Estudos de história do relacionamento luso-chinês : séculos XVI-XIX, Publisher: Macau : Instituto Português do Oriente, 1996, Series: Colecção Memória do Oriente.ISBN= 9728013183
island of Xiangshan – “ Anção”, “ Amção” or “ Ansam” in some of the Portuguese sources of that period