La partie située entre les rues Étex et Marcadet est ouverte par un décret du
Aux numéros 15/17, Jo Attia, figure controversée du banditisme parisien, y tenait le bar "Gavroche"[1]. Un double crime y est perpétré le , par un petit voyou nommé Christian Jubin qui tue la barmaid et son ami.
Dans un ancien atelier du no8 vécut le poète d'origine roumaine Ghérasim Luca, de 1955 à 1990, au troisième étage, sous les toits.
No17 bis: bureaux, réalisés en 1991 par l'architecte Didier Maufras.
No21: logements sociaux, construits en 1999 par les architectes François Gruson et A. Hachemi Yazdi et gérés par l’OPH Paris Habitat.
No23 et nos4-6, rue Carpeaux: hôpital Bretonneau, construit par Paul Héneux, ouvert le . C'est d'abord un hôpital pédiatrique jusqu'à son transfert à l'hôpital Robert-Debré. Fermé en 1988, il devient l'«Hôpital Éphémère» de 1990 à 1997, centre artistique pluridisciplinaire. Une partie des bâtiments sont détruits pour permettre la construction du nouvel hôpital gériatrique Bretonneau conçu par le cabinet Valode et Pistre, ouvert au printemps 2001. Les bâtiments le long de la rue Carpeaux datent de 1901.
No74: immeuble d'activités Dupon, construit en 1900. Son activité industrielle a conduit l'architecte, inconnu, à concevoir un bâtiment exempt de toute recherche dans sa représentation. Tout le dispositif constructif est visible, avec une ossature poteau-poutre-dalle en béton armé.
No76: crèche collective Joseph-de-Maistre, modifiée en 2005-2007 dans un bâtiment existant par les architectes de RH+, Alix Héaume et Adrien Robain. Ils l'agrandissent en lui ajoutant un étage supplémentaire construit avec un revêtement bleu avec des motifs de feuilles.