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La page Personnalités de Polynésie française est une annexe des pages Tahiti, Polynésie française, Histoire de la Polynésie française et Politique en Polynésie française.
[Natif du Roseau (La Dominique) Marie Nicolas François Auguste Morau est décédé à Paris en 1897. Il s'était marié en 1858 à Basse-Terre à Marie Gabrielle Joséphine Caillet, née à Cayenne en 1839 et remariée en 1899 à Paris à Jules Prosper Léonard (1844-1908). - Source David Quénéhervé]
Lagarde, Émile Martin, Teriieroo a Teriierooiterai (1875-1952).
Le haut commissaire est président du conseil de gouvernement jusqu’au .
La Constitution de 1946 attribue aux Établissements français d'Océanie un siège au Conseil de la République, l'équivalent du Sénat des IIIe et Ve Républiques[14].
Les sénateurs actuels de la Polynésie française sont Lana Tetuanui et Nuihau Laurey
La Polynésie française a un représentant qui fait partie du groupe de l’Outre-Mer. Les membres de ce groupe sont nommés par le gouvernement français sur proposition du ministre de l’Outre-Mer, après consultation des organisations professionnelles du territoire concerné.
Le statut de commune est accordé à Papeete seulement en 1890.
L'Assemblée territoriale, devenue Assemblée de la Polynésie française, est créée en 1946, lorsque les Établissements français de l'Océanie deviennent un Territoire d'Outre-Mer.
La liste ci-dessous ne tient pas compte des réélections immédiates (celles-ci sont indiquées sur la page Assemblée de la Polynésie française).
Les biographies proposées ci-dessous sont des ébauches qui pourront servir de base à la création de pages spéciales, si cela paraît utile.
Né à Tahiti, fils d'un missionnaire métropolitain, Charles Vernier finit ses études secondaires en France, puis fait des études de théologie (1903-1908) à Montauban et à Édimbourg. En 1911, il revient à Tahiti où il est pasteur. en 1937, il est élu président du Synode de l'Église évangélique. Il travaille aussi sur l'enseignement de la langue tahitienne. En 1940, il fait partie du Comité de la France libre. En 1945, alors qu'il se trouve en France, il est sollicité pour devenir député à la première Constituante (-) et est élu. Il cède ensuite le siège à Georges Ahnne. De 1945 à 1948, il occupe pendant trois ans une chaire de tahitien à l'École des Langues orientales. À la mort de Georges Ahnne, en 1949, il se présente contre Pouvanaa Oopa, mais à ce moment, le mouvement pouvaniste est devenu majoritaire et Charles Vernier est battu. Il quitte Tahiti pour la métropole en 1951 et continue de travailler sur la langue tahitienne. Il meurt à Romans-sur-Isère en 1966.
Durant son mandat, il était lié au groupe de l'UDSR, ainsi que Georges Ahnne. Ce lien avec l'UDSR sera repris par l'Union tahitienne pendant quelques années. Cf. Assemblée Nationale .
Rudy Bambridge est issu d'une famille notable de Tahiti, d'origine anglaise. Avocat, il fonde l'Union tahitienne au cours des années 1950[15], comme organisation destinée à s'opposer au RDPT de Pouvanaa Oopa. D'abord lié à l'UDSR, l'Union tahitienne se rapproche du parti gaulliste de métropole en 1957-58 (ce parti est alors appelé Centre national des Républicains sociaux). Rudy Bambridge en est le président, mais ne semble pas avoir eu de mandat électoral remarquable[16]. Il échoue en effet aux élections législatives de 1958, de 1959 et de 1962. Il se retire de la vie politique en 1971, laissant sa place à Gaston Flosse.
Maire de Papeete de 1942 à 1965 (à titre provisoire de 1942 à 1945) ; membre de l'Union tahitienne, puis de l'UT-UNR ; quitte (ou est exclu de) ce parti en 1962 ; sénateur de 1962 (contre Gérald Coppenrath) à 1971 (n'est pas candidat contre Pouvanaa Oopa). Cf. Sénat .
Issu d'une autre famille notable de Tahiti, d'origine allemande. Né à Papeete, il fait ses études secondaires et supérieures (droit et anglais) à Poitiers. Il participe à la Résistance en 1943 et 1944 (maquis Joël). Il revient ensuite à Tahiti où il exerce la profession d'avocat (1948-1987). En 1957, il est élu à l'Assemblée territoriale pour l'Union tahitienne, puis il est élu sénateur en 1958 et réélu en 1959. Mais il est battu par Alfred Poroi en 1962. Cf. Sénat Il quitte ensuite l'Union tahitienne et fonde le mouvement Iaora o Polinesia ; en 1970, il fusionne avec ceux de Frantz Vanizette et Charles Taufa pour créer Te Autahoeraa, qui joue un rôle assez important dans les années 1975-1980 en ralliant le Front uni de John Teariki et Francis Sanford.
Né à Afareaitu (île de Moorea). Son grand-père paternel était pasteur ; il épouse une "demie" du lignage des chefs d'Afareaitu, où il détient une importante propriété foncière. Membre du RDPT dès 1949, il est élu chef du district d'Afareaitu en 1952, puis conseiller territorial pour Moorea en 1953. Après l'arrestation de Pouvanaa, il est suppléant de Marcel Oopa, élu député en 1960, le remplace en 1961 et est réélu en 1962. Le RDPT est dissout en 1963 ; John Teariki fonde le Pupu Here Aia) en 1965. Il est battu en 1967 par Francis Sanford, avec qui il va cependant s'allier assez rapidement pour fonder un peu plus tard (1975) le Front Uni. Il meurt en 1983 à Papeete des suites d'un accident de tracteur survenu à Taravao. Cf. Assemblée Nationale .
Métropolitain arrivé à Tahiti en 1947 ; crée un syndicat de marin ; adhère à l'Union tahitienne dont il est secrétaire général à la fin des années 1950. Quitte l'UT et participe comme leader à la création de Te Autahoeraa. Dans le cadre de l'alliance avec Gaston Flosse, il devient président de l'Assemblée territoriale en 1973, puis le reste après qu'Autahoeraa a rallié le Front uni () ; il joue un rôle essentiel pendant la crise institutionnelle de 1975-1977. Après l'adoption du nouveau statut (), il cède le poste à John Teariki lorsque celui-ci renonce à la députation () ; Frantz Vanizette devient président de la Commission permanente de l'Assemblée.
L’ancienne famille royale se perpétue de nos jours ; ses membres actuels descendent de Pōmare IV par les branches Pōmare V (1839-1891), Prince Tamatoa (1842-1881) et Prince Teriitua (1847-1875)[17].
Dans la lignée son arrière-petit-fils Ariipaea (1898-1947), petit-fils du prince Teriitua figurent des acteurs de la vie publique ou médiatique polynésienne, notamment :
Sans oublier la famille Taumi qui fait partie de la descendance Pōmare IV, les familles de la branche de la dynastie des Pōmare est de nos jours présente autour des Tuamotu
Référence générale : le tombeau familial à Papara (commune du sud-ouest de Tahiti)[19].
Cette famille est issue du mariage entre un commerçant anglais, Alexander Salmon, et la princesse Ariitaimai. Au XIXe siècle, elle a donc des liens avec la famille royale de Tahiti ; elle est aussi liée sur le plan économique avec un négociant important en Polynésie, l'écossais John Brander.
La famille Pambrun en Polynésie : Sources officielles et familiales[28][source insuffisante]
On retrouve le patronyme Pambrun en Amérique du Nord. Les Pambrun du Canada et de la Polynésie française sont originaires de la Bigorre dans les Hautes-Pyrénées où ce nom est fortement concentré. En Polynésie française, le premier Pambrun y fait souche en 1900 s'appelait Eugène. L'un de ses fils Georges a été maire de Papeete de 1966 à 1977.
Principaux membres de la famille :
1/ Aimé Eugène Victor Tera'ituatini Pambrun( Papeete - 1996 Papara), marié le à Nohoraae juillet Richmond Décédée en 1965. Épouse Nora Frida Tenini Richmond en . Imprimeur puis Directeur de l'imprimerie officielle de Papeete (Polynésie française), jusqu'à sa retraite en 1964. 2/ Henri Charles Punuaaitua Pambrun (1904 Papeete - 1988 Punaauia), marié avec Andrée Teraiharoa. Administrateur; Chef du service du cadastre et Conservateur des Hypothèques à Papeete dans les années cinquante/soixante. 3/ Georges Antoine Teriihauatua Pambrun, dit "Tetua"( Tahuata, îles Marquises - Mataiea), épouse en 1937 Henriette Thompson. Préparateur en pharmacie, il est conseiller municipal de Papeete en 1947 et devient premier adjoint, puis est élu maire en 1966 (les élections de 1965 ayant été annulées) puis réélu en 1971. 4/ Ernest Vincent Moe Ariitai Pambrun ( Papeete - décédé à Papeete 1992), marié en avec Yvonne Plossot-Baseau à Tarbes (Hautes-Pyrénées). Sculpteur sur bois et professeur de sculpture sur bois.
Les liens de filiation sont connus pour les suivants :
Études d’anthropologie à Paris (1975-1979) ; président de l’Association des étudiants tahitiens (1976-1978) ; perd sa bourse en raison de désaccords avec les autorités territoriales ; de retour à Tahiti, il est employé au Musée de Tahiti et des Iles au Centre polynésien des Sciences humaines (Te Anavaharau), puis il deviendra directeur du département des Traditions du Centre Te Anavaharau (de 1982 à 1992) ; Fondateur des Nouvelles Éditions Polynésiennes PUNA HONU en 2010; auteur-compositeur-interprète ; poète ; auteur prolifique il est également connu sous le pseudonyme d'Étienne Ahuroa pour son livre "Les Parfums du silence (prix « Fiction » lors de la 6e édition du Livre Insulaire (Ouessant 2004). Parmi ses écrits un roman le "Bambou noir" 2005; une biographie d'un héros polynésien "Henri Hiro" 2010.
Expulsé vers 1996-97 de l’atoll de Tetiaroa (propriété à l'époque de Marlon Brando); s’étant installé sur l’îlot Ahi, il crée le "Lagoonarium", un parc marin, dont il est le gérant de 1997 à 2008 ; très vite un conflit apparait entre lui et le propriétaire George Handerson, et après plusieurs années de procès, il est expulsé par intervention de la gendarmerie (2008). En 1999, il effectue en trois mois une traversée du Pérou aux Marquises sur le "Matarangi 2" (avec équipage). En 2010, il est engagé comme navigateur sur le "Upoo Tahiti", "va'a motu" à balancier de Clément Pito et Joseph Laine, pour faire un trajet de Tahiti à Shanghai en 50-60 jours (départ fin ).
Bengt Danielsson (anthropologue et historien), 1921-1997. Voir page dédiée.
Patrick O'Reilly, ( ethnologue) 1900-1988.
Jean Guiart (anthropologue et ethnologue), 1925-2019. Voir page dédiée.
Pierre Vérin (anthropologue, linguiste), 1934-2010. Voir page dédiée.
Michel Charleux[29] (archéologue) : né le à Paris ; doctorant en archéologie.
1973 : restauration du marae Ta’ata (Paea)
1999-2001 : éco-musée de Mayotte
2003-2007 : restauration de sites d’habitation à Rurutu
2007-2008 : participe à l’exposition « Eric de Bisschop » (collège de Rurutu)
: début d’une mission archéologique à Eiao.
Louise Peltzer, linguiste, est professeur à l'Université de Polynésie française (Langue et littérature polynésienne), ayant démissionné du poste de présidente, écrivain et membre de l'Académie tahitienne. Voir la page dédiée.
Eric Conte[30] (archéologue) : professeur d’ethnoarchéologie à l’UPF, directeur du CIRAP (Centre international pour la Recherche archéologique en Polynésie), directeur adjoint du GOPS (Grand Observatoire du Pacifique sud) ; responsable de l’enseignement de l’archéologie océanienne à l’université Paris-I (Panthéon-Sorbonne).
2007 : fouilles à Huahine.
Alessio Guarino, Physicien, enseignant-chercheur à l'Université de Polynésie français, directeur du département des Sciences.
Christine Langevin, anthropologue, auteur de "Tahitiennes, de la tradition à l'intégration culturelle", L'Harmattan, 1990, rééd. 2000.
Jean-Marc Pambrun (anthropologue) : directeur du Musée de Tahiti.
Bruno Saura (anthropologue), professeur à l'Université de Polynésie française.
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