Martin Suter naît le à Zurich[1]. Son père, d'origine bourgeoise[2], est ingénieur et travaille dans le domaine de la chimie photographique[1]; sa mère, d'origine paysanne[2], est commerciale[1]. Il grandit au sein d'une fratrie de trois enfants à Zurich et à Fribourg[1].
Il épouse le peintre Vivian Suter en premières noces, puis la créatrice de mode et architecte Margrith Nay Suter, morte en 2023[2].
Après avoir travaillé dans le domaine de la publicité, période pendant laquelle il était déjà l'auteur de reportages pour des magazines (notamment Geo) et la télévision, il décide de se consacrer à l'écriture (de romans) à partir de 1991[réf.nécessaire].
De 1992 au début 2004, il a signé la chronique Business Class dans l'hebdomadaire sur papier journal Die Weltwoche, colonne qui, depuis, a été transférée dans le supplément hebdomadaire Das Magazin(de) du quotidien Tages-Anzeiger. Pour ces textes, dont certains ont été publiés sous forme de recueil en allemand, il a reçu en 1995 le Prix autrichien de l'industrie.
Pour son roman Small world, il a reçu, en 1997, le Prix du canton de Zurich et, en 1998, le Prix du premier roman étranger[3] (France).
La traduction de ses romans et son succès international lui ont permis d'aller vivre de manière permanente à Ibiza et au Guatemala avec son épouse Margrith Nay Suter, qui est styliste.
En 2007, il écrit trois textes pour Stephan Eicher sur son album Eldorado: Weiss Nid Was Es Isch, Charly et Zrügg Zu Mir et deux autres en 2012 pour L'Envolée.
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