Loading AI tools
écrivain français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Le baron Louis de Caters, dit Saint-Georges, né le à Maisons-Laffitte et mort le à Paris[1], est un sportif, écrivain et chroniqueur français, propriétaire de haras.
Baron |
---|
Naissance | |
---|---|
Décès |
(à 75 ans) 17e arrondissement de Paris |
Nom de naissance |
Louis Pierre Ernest de Caters |
Pseudonymes |
Saint-Georges, Rapière |
Nationalité | |
Activités | |
Famille | |
Père |
Ernest de Caters (d) |
Mère |
Marie-Isabelle Lablache (d) |
Fratrie |
Marie de Caters (d) |
Enfant | |
Parentèle |
Pierre Joseph de Caters (grand-père) Luigi Lablache (grand-père) |
Propriétaire de |
Haras de Lamorlaye (d) |
---|---|
Membre de | |
Sports | |
Genre artistique |
Louis Pierre Ernest de Caters est le fils du baron Ernest de Caters, un gentleman-rider qui prend part à la création de la Société des steeple-chases de France, et le petit-fils du baron Pierre Joseph de Caters et de Luigi Lablache.
Marié à Mlle Seif Dahan, fille de Seif Dahan bey, conseiller d'Ismaïl Pacha et petite-fille du baron Raïss[2], il est le père de Christian de Caters et d'Alain de Caters (1895-1971), ingénieur centralien et officier d'artillerie, chevalier de la Légion d'honneur[3], époux de Marie Thérèse de Penfentenyo de Cheffontaines (remariée au banquier Pierre-Edouard Hentsch).
D'une famille liée au monde hippique, il est propriétaire du haras de Lamorlaye, situé entre Chantilly et l'abbaye de Royaumont (propriété de Jules Goüin, qui est marié à sa cousine germaine Marie-Thérèse Singer). Il a vingt-cinq chevaux dans son écurie, dont plusieurs participent avec succès à des courses (Saint-Georges, en derby ; Capucin, Fort-en-Gueule, Vaillance, Avermes et Ismaël, en steeple-chase).
Pratiquant également l'escrime, il est l'un des meilleurs tireurs de la salle de Lucien Mérignac, qui dit à son sujet : « À mon meilleur élève et ami ».
Chroniqueur d'escrime, journaliste et critique hippique réputé, mais également critique littéraire, il collabore notamment au Pays, à Paris, au Musée des familles, à La Revue des sports, à L'Événement, à L'Écho de Paris, au Soir et à L'Escrime et le tir[4].
Il est admis en tant que membre de la Société des gens de lettres en 1896.
Ses obsèques ont lieu en l'église Saint-François-de-Sales de Paris.
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Every time you click a link to Wikipedia, Wiktionary or Wikiquote in your browser's search results, it will show the modern Wikiwand interface.
Wikiwand extension is a five stars, simple, with minimum permission required to keep your browsing private, safe and transparent.