Karin Tidbeck fait ses débuts avec le recueil de Vem är Arvid Pekon? en 2010[3], suivi du roman Amatka en 2012.
Son recueil de nouvelles Jagannath est publié en anglais, en 2012[4]. Il est reçu favorablement par la critique. Gary K. Wolfe décrit Karin Tidbeck comme «l'une des voix les plus intéressantes de nouvelles de science-fiction depuis Margo Lanagan»[5]. La nouvelle Augusta Prima remporte le prix Science-Fiction & Fantasy Translation en 2013[6].
La traduction en anglais de Amatka est publiée en 2017, la traduction française, en 2018. Il s'agit d'une dystopie inspirée de 1984 et qui dépeint un monde où le langage a le pouvoir de créer le monde[7]. On y suit Vanja, responsable d'une étude de marché sur les besoins en produits hygiéniques à Amatka, société collectiviste qui vit dans la glace[8].
Appel aux Armes pour la défense des droits des auteurs décédés, 2017((sv)Ett upprop för döda författares rättigheter, 2014), trad.Cécile Duquenne
Lue par Ségolène Janne d’Othée in Coliopod podcast, épisode 9[9]. Parue initialement en 2015 dans les pages de la revue Uncanny Magazine (no. 7, novembre/).