Hautmont
commune française du département du Nord De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Hautmont est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Hautmont | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Avesnes-sur-Helpe | ||||
Intercommunalité | CA Maubeuge Val de Sambre | ||||
Maire Mandat |
Stéphane Wilmotte 2020-2026 |
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Code postal | 59330 | ||||
Code commune | 59291 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Hautmontois | ||||
Population municipale |
14 197 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 1 157 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
108 866 hab. (2022) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 14′ 55″ nord, 3° 55′ 31″ est | ||||
Altitude | Min. 123 m Max. 184 m |
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Superficie | 12,27 km2 | ||||
Type | Centre urbain intermédiaire | ||||
Unité urbaine | Maubeuge (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Maubeuge (partie française) (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Avesnes-sur-Helpe | ||||
Législatives | 12e circonscription du Nord | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Hautmont comme beaucoup de villes du Nord, a connu une histoire mouvementée du Moyen Âge à la Révolution française. Elle est en conflit lors de la guerre franco-autrichienne et durement éprouvée par les deux conflits mondiaux du XXe siècle.
Hautmont est une ville du Hainaut français située dans la vallée de la Sambre, frappée depuis les années 1970 par la désindustrialisation et la crise de la sidérurgie du Nord-Pas-de-Calais.
Elle est située à 5 km au sud-ouest de Maubeuge, à 14 km de la frontière franco-belge, à 23 km au sud de Mons, à 31 km au sud-est de Valenciennes et à 64 km au nord-est de Saint-Quentin, et est desservie par la route nationale 2 qui contourne la ville en 2 × 2 voies.
La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le Cligneux, le ruisseau de Wargnories, le ruisseau des Près à Forêt et le ruisseau du Paradis[1],[2],[Carte 1].
La Sambre canalisée est un canal, chenal et un cours d'eau naturel, d'une longueur de 101 km, qui prend sa source dans la commune de Rejet-de-Beaulieu, s'écoule vers le nord-est et franchit la frontière belge au droit de Jeumont[3]. Les caractéristiques hydrologiques de la Sambre canalisée sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 11,5 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 91,8 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 94,6 m3/s, atteint le même jour[4].
Le Cligneux, d'une longueur de 11 km, prend sa source dans la commune de Beaufort et se jette dans la Sambre canalisée à Boussières-sur-Sambre, après avoir traversé six communes[5].
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sambre ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 253 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Sambre. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis modifié le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte du Parc naturel régional de l'Avesnois[6].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 875 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 10,2 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe à 13 km à vol d'oiseau[9], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 802,4 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Au , Hautmont est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Maubeuge (partie française)[Note 3], une agglomération internationale regroupant 22 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 5],[15]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (47,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (44,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (36,4 %), terres arables (26 %), prairies (15,1 %), forêts (10,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %)[18]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
La gare d'Hautmont, située sur la ligne de Creil à Jeumont (section des anciennes liaisons internationales Paris-Bruxelles-Amsterdam et Paris-Cologne-Berlin avant la mise en service de Thalys par la LGV Nord), est desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre Valenciennes et Jeumont. Les voyageurs ont accès à une offre ferroviaire plus importante en gare de Maubeuge.
La commune est desservie, en 2024, par les lignes A, B, D, 21, 24, 57, 61, 62, 63, 64, Citadine de Hautmont et par le service de transport à la demande du réseau Stibus[19]. Elle est également desservie par les lignes 952, 979 et 986 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 4[20].
L'étymologie du nom Hautmont vient d'après la construction d'un petit oratoire, dédié à Saint-Waast, sur un petit monticule situé sur la rive droite de la Sambre au lieu-dit « Mont-Aigu » que le village d'Hautmont paraît avoir pris son nom[réf. nécessaire].
Bien que l'adjectif haut (comme dans le haut et le bas) et les mots qui en dérivent (par exemple la hauteur) prennent un h aspiré, le nom propre Hautmont prend un h muet, comme dans Gare d'Hautmont et dans Ligne d'Hautmont à Feignies (frontière).
C'est après la construction d'un petit oratoire, dédié à Saint-Waast, sur un petit monticule situé sur la rive droite de la Sambre au lieu-dit « Mont-Aigu » que le village d'Hautmont paraît avoir pris son nom. Onulphe d'Hautmont, ou Onulfus Altimontensis, est moine bénédictin de l'abbaye d'Hautmont, vers 1050. Il est connu par son œuvre hagiographique[réf. nécessaire].
En 643, Vincent Madelgaire, comte et gouverneur du Hainaut (né vers 610 à Strépy), membre de la cour du roi Dagobert Ier, aide l'action missionnaire et entreprend de faire bâtir un monastère en un lieu appelé Altus Mons. Dagobert lui offre en outre les reliques du pape saint Marcel, mort martyr en 309. Vincent Madelgaire épouse Waudru avec laquelle il aura quatre enfants, Landry, Madelberte, Aldetrude et Dentelin. Waudru, après leur décision commune de se séparer pour se consacrer à la vie monastique, fait construire un monastère sur un vaste domaine qui deviendra le berceau de la ville belge de Mons. L'abbaye accueillit saint Ansbert, évêque de Rouen, exilé par Pépin de Herstal. En 829, création d'une école à l'abbaye d'Hautmont et en 880 a lieu le sac de l'abbaye par des pillards danois.[réf. nécessaire]
Entre 1565 et 1625, c'est l'âge d'or du Grand Hautmont[C'est-à-dire ?] sous le règne de l'abbé Gaspard Hanot. L'abbaye de Hautmont est rénovée et de nouveaux bâtiments sont construits. Une brasserie s'installe également. En 1589, Gaspard Hanot fait ramener à Hautmont les reliques de saint Marcel, déposées précédemment dans le refuge de l'abbaye de Mons pour les préserver des pillages[réf. nécessaire].
Lors de la Révolution française, le village d'Hautmont compte 552 habitants. L'abbaye est l'une des plus prospères du Hainaut. Contrairement à de nombreuses autres, l'abbaye n'a pas été totalement détruite à la Révolution française, grâce à Dom Ghuislain Dusart qui, le , a réussi à calmer les paysans venus pour piller et détruire l'abbaye. Dom Ghuislain, en leur ouvrant la porte, leur demanda de respecter les lieux et leur offrit la nourriture qu'ils demandaient.[réf. nécessaire]
Lors de la monarchie de Juillet, en 1843 est créée à Hautmont la nouvelle usine de la Société Anonyme des laminoirs, forges, fonderies et usines de la Providence. La création de cette usine va susciter de nombreuses autres[réf. nécessaire].
Pendant la Première Guerre mondiale, la ville se trouve en zone occupée par les troupes allemandes. Certains Hautmontois sont internés dans le camp de prisonnier allemand de Stargard comme Adelson Dubois qui prend part au Siège de Maubeuge en 1914 avec le 145e régiment d'infanterie et qui est fait prisonnier à la suite de la capitulation de la ville[21]
La ville d'Hautmont est libérée le . Le , les troupes anglaises entrent dans le bois d'Hautmont. Tout au long de la journée, la ville est arrachée à l'ennemi. Le fort sera quant à lui reconquis dans la nuit.
Dans l'entre-deux-guerres, Amand Goubert participe au Tour de France durant les années 1928 à 1933. Il tient ensuite à Hautmont, avec son épouse, un magasin de cycles et mobylettes[réf. nécessaire]. Alfred Steinmetz, gagne la XIe édition de Paris-Strasbourg en 1936[22].
Jeanne Leroux, artiste et chef d'entreprise aux Ateliers Leroux, est résistante pendant la Seconde Guerre mondiale[réf. nécessaire].
Le , la Tornade en Val-de-Sambre de 2008, tornade d'au moins de catégorie F3 sur l'échelle de Fujita améliorée, peut-être F4, frappe la ville en faisant 3 morts et 18 blessés. Elle provoque de gros dégâts à travers la ville et ses alentours avec 700 logements endommagés dont 200 rendus inhabitables[23],[24]. Un odonyme local (Boulevard du 3-Août-2008 ) rappelle cet événement.
Hautmont se trouve dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la douzième circonscription du Nord.
La commune se trouvait depuis 1910 dans le canton de Maubeuge-Nord, qui a été scindé en 1958 pour former le canton d'Hautmont[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton d'Avesnes-sur-Helpe.
Hautmont était membre de la communauté d'agglomération Maubeuge Val de Sambre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération Maubeuge Val de Sambre dont Hautmont est désormais membre.
Joël Wilmotte devient maire à la suite des élections de mars 1989 et est réélu dès le premier tour jusqu'en 2020[26].
Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Nord, la liste UMP menée par le maire sortant Joël Wilmotte remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 3 377 voix (29 conseillers municipaux élus, dont 8 communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par[27],[28] :
Lors de ce scrutin, 47,19 % des électeurs se sont abstenus.
Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans le Nord, deux listes sont opposées[29] : celle LR du maire sortant Joël Wilmotte, qui obtient 1 748 voix (47,03 %, 7 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires) et est devancée de 220 voix par la liste DVD menée par son fils Stéphane Wilmotte — qui bénéficie du ralliement de la liste LFI du premier tour menées par Antony Larroque[26] —, qui obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 968 voix (52,96 %, 26 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires).
Lors de ce scrutin, marqué par la crise de la pandémie de Covid-19 en France, 60,55 % des électeurs se sont abstenus[30],[31].
À la suite du rejet de ses comptes pour la campagne des élections municipales 2014 par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) le , Joël Wilmotte a été déclaré inéligible par le Tribunal administratif le . Il a fait appel, ce qui suspend la mise en œuvre de ce jugement jusqu'à l'intervention de cette nouvelle décision. De plus, afin de « contourner » cette inéligibilité, dix-neuf conseillers municipaux ont démissionné, ce qui entraine l'organisation de nouvelles élections municipales, organisées les 1er et [32],[33].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1944 | 13 mai 1945 | Antoine Barrière | CFLN | |
13 mai 1945 | 19 novembre 1947 | Marcel Depecker | PCF | Ingénieur |
19 novembre 1947 | mai 1953 | Paul Trouillet | SFIO | |
mai 1953 | mars 1954 | Roland Princelle | PCF | Lamineur |
14 mars 1954 | 14 octobre 1965[35] | Marcel Aimé[36] (1912-1965) |
SE (Soc.ind.) | Employé Conseiller général d'Hautmont (1958 → 1965) Décédé en fonction |
1965 | mars 1977 | Jean Damien | DVD | Ancien premier adjoint Conseiller général d'Hautmont (1965 → 1976) |
mars 1977 | 25 mars 1989 | Jean-Claude Wasterlain | PCF | Electromécanicien Conseiller général d'Hautmont (1976 → 1988) |
25 mars 1989 | 25 juin 2015[37] | Joël Wilmotte[38],[39] | PS puis SE puis RPF puis UMP |
Chef d'entreprise Conseiller général d'Hautmont (1994 → 2015) Président de la CC Sambre - Avesnois (1994 → 2013) Déclaré inéligible pendant 1 an[40] |
4 juillet 2015[41],[42] | 1er juin 2016[43] | Stéphane Wilmotte | LR | Directeur des ressources humaines, fils du précédent Démissionnaire |
29 juin 2016[44] | 7 octobre 2016 | Daniel Devins[45] | LR | Retraité de l'Éducation nationale, ancien premier adjoint |
7 octobre 2016[46] | 3 juillet 2020 | Joël Wilmotte[47] | LR | Chef d'entreprise Conseiller départemental d'Avesnes-sur-Helpe (2015 → 2021) |
3 juillet 2020[48] | En cours (au 3 août 2020) |
Stéphane Wilmotte | UDI | Directeur des ressources humaines, fils du précédent Vice-président de la CC Maubeuge Val de Sambre (2014 → ) Élu à la tête d'une liste dissidente face à son père |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[50],[Note 6].
En 2022, la commune comptait 14 197 habitants[Note 7], en évolution de −2,41 % par rapport à 2016 (Nord : +0,51 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
2021 | 2022 | - | - | - | - | - | - | - |
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14 182 | 14 197 | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 7 052 hommes pour 7 549 femmes, soit un taux de 51,7 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
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0,3 | 1,3 | |
5,7 | 9,0 | |
12,5 | 13,8 | |
17,4 | 17,4 | |
17,7 | 18,5 | |
20,0 | 18,6 | |
26,4 | 21,4 |
L'Association sportive hautmontoise est un club de football ancien, qui a notamment disputé les championnats de France professionnels de 1936 à 1939[réf. nécessaire].
La société Vicat dispose d'une unité de production de béton.
Les forges Dembiermont, créées en 1881, 190 p., appartiennent depuis 2002 au groupe Forgital (groupe italien de 1200 p.); elles produisent des couronnes d'aluminium laminées sans soudure pour les marchés de l'aéronautique et du spatial[55].
Cécile Demarquet (1973) Athlète Championne de France des 24 heures en 2017
Les armes de Hautmont se blasonnent ainsi : D'or à trois chevrons de sable. |
.
Elles sont identiques aux premières armoiries du comté de Hainaut.
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