Coalition internationale en Irak et en Syrie
coalition internationale contre les groupes armés terroristes implantés en Irak et en Syrie / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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La coalition internationale en Irak et en Syrie, aussi appelée coalition contre l'État islamique ou coalition anti-EI, est formée en 2014 lors de la seconde guerre civile irakienne et la guerre civile syrienne afin d'intervenir militairement contre l'État islamique et le Front al-Nosra en Irak et en Syrie. Elle intervient à partir d', et rassemble initialement vingt-deux pays[18],[19],[20]. Ces interventions militaires, principalement aériennes et américaines, s’inscrivent dans le contexte de la seconde guerre civile irakienne et de la guerre civile syrienne. Elles visent à contrer l'expansion des djihadistes salafistes de l'État islamique qui ont conquis durant l'année les villes de Raqqa, Falloujah, Mossoul, ou encore Tikrit.
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en Irak et en Syrie
Pendant la seconde guerre civile irakienne et la guerre civile syrienne.
- Territoire contrôlé par le gouvernement irakien
- Territoire contrôlé par le gouvernement syrien
- Territoire contrôlé par le gouvernement libanais
- Territoire contrôlé par le Hezbollah
- Territoire contrôlé par l'État islamique
- Territoire contrôlé par le Front al-Nosra/Front Fatah al-Cham, puis le Hayat Tahrir al-Cham
- Territoire contrôlé par les rebelles syriens
- Territoire contrôlé par les Forces démocratiques syriennes
- Territoire contrôlé par les Peshmergas kurdes irakiens
La coalition dirigée par les États-Unis rassemble les principales armées européennes, l'Australie, le Canada, l'Arabie saoudite, la Jordanie, le Qatar, Bahreïn et les Émirats arabes unis[21]. L'Iran intervient également pour soutenir les gouvernements irakiens et syriens mais indépendamment de la coalition[22].
Les premières frappes contre des positions de l'État islamique débutent le en Irak et le en Syrie[18],[19]. Au début d', l'armée américaine affirme être à l'origine de 90 % des 2 000 raids menés depuis le début du conflit. La Russie mène parallèlement sa propre intervention (cantonnée à la Syrie), depuis .
Entre et , la coalition mène 35 404 frappes aériennes[23]. Selon l'organisation indépendante Airwars, les actions de la coalition en Irak et en Syrie sont responsables de la mort de 8 199 à 13 259 civils[24]. Pour sa part, la coalition reconnaît avoir « tué involontairement » 1 437 civils « au moins »[23]. La France est le seul membre actif de la coalition à ne reconnaître aucune victime civile[25].
Le , le président français Emmanuel Macron propose de mettre la coalition au service d'Israël (qui n'en est pas membre) pour l'aider dans sa lutte contre le Hamas[26].